La Personnification Du Temps

sans transition vers la fiction, c’est-à-dire « l’arrivée du train ». L’énumération « son vacarme, sa vapeur brûlante, ses énormes yeux qui brillent » permet d’évoquer les clichés narratifs repris par l’enfant. Les « yeux » suggèrent une personnification du train, propre à la vision de l’enfant. La dernière phrase du paragraphe évoque l’image pathétique à laquelle le devoir devait aboutir. La contraste « poils blancs » / « flaque de sang » participe à ce pathos que l’enfant cherche à faire

héros. Elle a pour effet de mettre l’accent sur le fait que ceux qui croient en Dieu suivraient des principes insensés. Les croyants sont présentés comme des êtres absurdes. Par conséquent, le libertin ne croit pas à l’institution du mariage. La personnification donne la capacité humaine à une notion abstraite comme l’âme de ne pas se refuser aux charmes d’une femme. Or, le procédé insiste sur le fait que le mariage n’empêche pas le locuteur de rester ouvert aux autres opportunités qui s’offrent à lui

en Dieu, dans les poèmes de Lamartine, ce dernier a su installer d’autres thèmes importants comme celui de la nature, que l’on va vous présenter. Celle-ci est représentée dans divers poèmes sous formes de procédés stylistiques (métaphore, personnification…) et grâce également à des images suscitant des effets de bonheur, de sécurité etc. La nature est aussi exposée sous forme de titres (ex : « Le Vallon ») I- La représentation de la nature chez Lamartine Comme on vous l’a dit précédemment

sonorités, ses allitérations. Ce Buffet est-il pour Rimbaud une façon de se questionner sur ses origines ? Nous observerons dans une première partie la personnification du Buffet, puis dans une deuxième partie que ce Buffet est un vieil ami pour Rimbaud. Pour finir, nous verrons que ce buffet est témoin du temps qui passe I. La personnification du buffet Emploi de la seconde personne dans la dernière strophe : humanisation, dialogue. Le buffet peut raconter les histoires qu'il contient, comme

II)La portée d'un incipit *temps : imparfait de description "voyait" , "suivait" *point de vue :exterrne« pleine rase »,  « nuit sans étoiles » *figure de style : « une rafales de vent comme sur une mer » → comparaison de fumée,une seule voix montrait,la respiration grosse ..» =Personnification *champ lexical : sentiments « crainte », « l'espoir » de l'usine : « masse lourde », « écrasé de construction » , « cheminée d'usine »

des personnages :  portrait  paroles rapportées  rapports entre eux (conflit / fusion)  fonction  La narration (= comment l’histoire/la fiction est racontée) : 1. 2. 3.   Organisation : • Temps :  rapport narration / histoire (antériorité, simultanéité, postériorité)  valeur des temps verbaux • Ordre narratif (analepse, prolepse) • Rythme narratif (pause, ralenti, scène, sommaire, ellipse, digression) • Mots de liaison (subordonnants, adverbes) Enonciation : • Le point de vue du narrateur

niveau du temps, chronologie. 1 ère partie : Je ris au wasserfall. Milieu : je reconnus la déesse 2ème partie : Au réveil il était midi Le poète participe au réveil de la nature, progression : Les haleines →les animaux. Les ailes → les oiseaux. Les pierreries → les yeux des oiseaux. Transition, il reconnait l’aube, il court après l’aube dans la seconde partie. On se déplace dans un univers féérique, fantastique. Il rattrape l’aube, au réveil tout à disparu. 2-Les images du temps : L’aube

moquerie + dénonciation implicite Voltaire de manière implicite va montrer ce qu’il va dénoncer dans cette œuvre. II. Les éléments propres au conte - « un jour » : revient à dire ‘’il était une fois’’ - passé simple : temps du conte - personnification de la montagne « une petite montagne vogua » = légende - présentation d’un héros = domine les autres par sa beauté, son agilité. Il est mystérieux et différent. C’est un sauvage. Mythe du bon sauvage. III. Une mise à distance

ne veut pas tenir compte du temps qui passe car il dit : aimer à loisir. FIGURES DE STYLES : Au pays qui te ressemble! : Personnification. Les soleils mouillés: oxymore. Tout y parlerait: personnification. Dormir ces vaisseaux : personnification. HISTOIRE : Ce poème raconte l’histoire d’un homme, d’un homme, mais surtout d’un poète qui invite une femme pays, inspirant luxe, calme et volupté. Un pays loin des regards, interrogateurs, et même loin du temps. Baudelaire se crée un monde

temporel pour parler du moment ou la rose avait déclose. Ici, c’est le matin. Ensuite nous avons un terme archaïque pour déclose qui indique que la rose venait de s’ouvrir le matin même. C’est du plus que parfait. Dans le 3ème vers, on retrouve une personnification de la femme avec le nom "robe" qui la compare à Cassandre. La couleur "pourpre" suggéré la lumière, l’éclat, la couleur royale très chaude mais aussi le rouge vif. Ce groupe nominal signifie les pétales. Avec l’apparition du soleil, on a un renforcement