La Philosophie Parle Grec

de Philo. Numéros 1 Sujet : La science peut elle tenir lieu de philosophie ? Tenir lieu de quelque chose signifie que l’on peut remplacer l’objet duquel on parle par un autre, de même équivalence. La science étant elle-même une partie de la recherche du savoir philosophique on peut dire qu’elle y tient un tant soit peut sa place dans la démarche visant à approfondir ses connaissance du cosmos. Ici l’objet serait la philosophie qui est synonyme de recherche du savoir qui ne peut commencer qu’à

évènements car on risquerait de les rapporter de manière partiale. Le sens actuel de l’histoire, va être celui de faits et d’évènements passés. * L’expression de « pères de l’Histoire » vient de CICERON. HERODOTE est un père de l’Histoire, écrivain Grec du Vème siècle (484-420), c’était un voyageur qui va rapporter dans un ouvrage, ses enquêtes. Il s’intéresse aux guerres Médiques (Grèce contre Perse). Il va conter ce qu’il a appris en questionnant les gens. C’est aussi un travail de reporters. Il

Le théâtre a une origine sacrée : c'est au cours des cérémonies consacrées au Dieu grec Dionysos qu'il fit ses premiers pas. Mais le théâtre est aussi (et avant tout !) un art lié à la fête. Le théâtre est avec la philosophie, l'héritage le plus vivant que nous a légué l'Antiquité. Il n'a pas cessé de nourrir l'imaginaire  des auteurs, des metteurs en scènes et des spectateurs. Le théâtre grec est né et s' est développé au cours des VIe et Ve siècles avant Jesus-Christ. Il remonte à la

jouissance et souffrance, puis plénitude et manque. Schopenhauer lui, avance que l'amour n'est qu'une illusion de la Volonté. Nous voyons que l'amour est donc un thème abordé avec profondeur par la philosophie, mais sous plusieurs formes. Nous pouvons alors nous demander, «Comment l'amour est-il perçu en philosophie?» (problématique). I- L'amour chez les trois dieux grecs, Eros, Philia et Agapé, dans Petit traité des grandes vertus de André Comte-Sponville. II- L'amour, une production dans la beauté

§ Sganarelle s’appuie sur « Aristote et toute la philosophie », en un argument d’autorité dont le caractère hyperbolique a de quoi faire sourire, d’autant plus qu’il est liminaire. Cette hyperbole repose sur plusieurs éléments, qu’il est intéressant de commenter. D’une part, Sganarelle convoque Aristote, philosophe du IVe siècle avant Jésus-Christ, celui qui a le plus marqué la civilisation occidentale. Bien évidemment, Aristote n’a jamais parlé du tabac, et la tournure emberlificotée de l’entrée

Philosophie des sciences 1 PRÉSENTATION Sciences, philosophie des, branche de la philosophie de la connaissance qui cherche à définir, à comprendre ou à montrer ce que le savoir scientifique et les activités qui lui sont associées ont de distinctif. La philosophie des sciences s’inscrit dans la tradition philosophique occidentale née en Grèce vers le Ve siècle av. J.-C : qu’est-ce que le savoir scientifique ? quel doit-être le rapport entre la science et la politique ? Telles sont les

Détienne Épistémologie des mythes Après la grande marée structuraliste, sans doute faut-il interroger le statut ambigu de ce que nous appelons « mythologie », d'un mot où, dans notre usage linguistique, s'entrecroisent deux discours dont le second parle du premier et relève de l'interprétation. Car, par mythologie, nous désignons aussi spontanément un ensemble d'énoncés discursifs et de pratiques narratives – récits et histoires que tout le monde connaît au xviiie et au xixe siècle – que le discours

général, est un sentiment d’affection qui nous attire vers autrui, on parle de la philosophie de l’amour. C’est cette philosophie de l’amour qui nous amène à tenter d’expliquer la nature même de l’amour bien qu’elle ne soit pas universelle et que chacun puisse l’interpréter de sa façon. Cette recherche philosophique de l’amour cherche à distinguer les différentes sortes d’amour à travers l’étymologie même de l’amour, qui vient du grec PHILEIN, qui regroupe trois sous parties de l’amour : Éros (l'amour

tyyyyyyyyyyyyyyyyyyhUn philosophe est au sens large une personne pratiquant la philosophie. Au sens populaire, est « philosophe » celui qui, face aux petits ou grands événements de l'existence, fait preuve de patience, de courage, de sérénité, et cherche une existence paisible, à la façon des anciens stoïciens ou épicuriens ; en ce sens, on parle de « vivre en philosophe », de « se montrer philosophe ». Au sens antique, est « philosophe » la personne qui « cherche la vérité et cultive la sagesse »

coutume, en s'adressant à ses élèves, de rappeler cette vérité. Chacun, demain, sera peut-être plus instruit ou plus habile, mais sa faculté de penser restera la même. Résultat : inutile d'attendre, pour réfléchir, c'est toujours maintenant ! La philosophie n'a pas à être soumise à des conditions d'âge, pas plus que de température ou de pression. Rappel utile quand on vient d'apprendre que des initiations à la réflexion philosophique se mettront en place, dès la rentrée prochaine, dans des classes