La Philosophie S Accorde T Elle Avec La Religion

« Le Roi te touche, Dieu te guérit »). Couper la tête du Roi est à cette époque complètement impensable et est presque considéré comme un déicide. Robert-François Damiens tente d’assassiner (ou plus réellement écorcher) le Roi (soi disant avec son accord afin de réveiller l’attention du peuple) et est condamné à mort. Les Philosophes des Lumières en discutent et trouvent normal le fait de le condamner à mort mais jugent l’exécution (et la torture) beaucoup trop cruelle (os brisés, membres coupés,

Magnard, p. 126 et Lagarde et Michard, p. 17. Le droit de critique, l'esprit d'examen s'étend à tous les domaines, en vue de construire un monde éclairé : il s'agit de perfectionner les méthodes qui permettent d'atteindre la vérité. Kant, La Philosophie de l'histoire, Bordas, p.71. L'Encyclopédie va jouer un rôle important : - Lire Dumarsais, art. "Philosophe" (FMH, p. 108a ; Hatier, L. 1°, p. 120-1) : "La raison détermine le philosophe." - D'Alembert, "Discours préliminaire", Magnard, p

assimilable par nature à un animal esclave, victime de ses passions et de ses caprices, manipulable, inconstant ; accepter le gouvernement du peuple, c'est accepter la tyrannie d'un animal incapable de réflexion et constance. L’idée-force de sa philosophie politique est: « le savoir conditionne l’action ». C’est-à-dire, qu’il faut éduquer avant de gouverner. Pour Platon, le peuple ne choisit pas ses magistrats en fonction d’une capacité politique mais en fonction de compétences apparentes. (Par

rencontrons le concept du Devoir. Faut-il faire son devoir, faut-il faire le bien, fait-il être quelqu'un de "bien" pour "réussir sa vie" et ainsi être heureux, ou au moins mériter d'être heureux ? L'éthique des Anciens se présentait résolument comme une philosophie du bonheur. Tandis que les philosophes modernes, influencés par le christianisme comme Kant, donc a priori plus universalistes que les Anciens, voient éventuellement dans le bonheur une récompense mais non une conséquence de la conduite vertueuse

qui n'étaient pas d'accord avec leurs principes, aussi bien verbalement que physiquement. Leur discourt de charité, lorsqu'il est appliqué au Prince des enfers, devient vide de sens. Tout aussi logiquement, que sans leur ennemi satanique, leurs religions même s'effondreraient. Face à toutes les critiques que le diable a subit, lui, n'a jamais répondu à ses détracteurs. Il est toujours resté gentleman alors que ceux qu'il sponsorise divaguent et fulminent contre lui. Il s'est montré un modèle de retenu

qui n'étaient pas d'accord avec leurs principes, aussi bien verbalement que physiquement. Leur discourt de charité, lorsqu'il est appliqué au Prince des enfers, devient vide de sens. Tout aussi logiquement, que sans leur ennemi satanique, leurs religions même s'effondreraient. Face à toutes les critiques que le diable a subit, lui, n'a jamais répondu à ses détracteurs. Il est toujours resté gentleman alors que ceux qu'il sponsorise divaguent et fulminent contre lui. Il s'est montré un modèle de retenu

------------------------------------------------- LE SYNCRETISME, RELIGIONS, SPIRITUALISTES EN CHINE ET AU TIBET Dieu les dieux le divin -> TIBET (BOn, bouddhisme tibétain -> Chine ( taoïsme, confucius , bouddhisme chinois ) Ecritures ,traditions -> confucius Pratiques -> bouddhisme chinois , tibétain, Dieu les dieux le divin -> TIBET (BOn, bouddhisme tibétain -> Chine ( taoïsme, confucius , bouddhisme chinois ) Ecritures ,traditions -> confucius

nous sommes quelque chose, et ne sommes pas tout » (Fragment 72 – section II – édition de Léon Brunschvig). Ce qui est méprisable, d'après lui, c'est la vanité : vanité de la science, de la philosophie, de la logique, vanité qui surgit du cœur de l'homme. Pascal dénonce la vanité des sciences et des philosophies qui se complaisent dans la jactance : « Curiosité n'est que vanité. Le plus souvent on ne veut savoir que pour en parler » (Fragment 152 – Section II). Cette vanité nous est agréable, nous

dénoncer Nietzsche c’est la sacralisation de la création, qui est pour lui un « enfantillage de la raison », expression forte, et qui peut nous permettre de prendre la mesure des enjeux de ses remarques. Le problème est donc de se demander pourquoi on accorde un tel privilège qui fausse totalement la perception du génie, et que Nietzsche traite « d’enfantillage de la raison » ;nous pouvons repérer deux axes de la critique nietzschéenne :
L’intuition a une dimension

connaissance Basée sur le principe de non-contradiction Vérité en chacun de nous, il faut faire l’effort de le comprendre (voir Allégorie de la caverne) Mayotique Kant (XVIII) : « on ne peut apprendre la philosophie, on ne peut qu’apprendre à philosopher » 3. La raison comme présupposé de la philosophie Philosophie n’est pas basée sur des opinions perso, des préjugés Il faut convaincre et non persuader Pour cela le philosophe s’appuie sur sa raison. a Opposition entre ‘persuader’ et ‘convaincre’ ¤ Persuader :