La Pitié Dangereuse

Ainsi souhaitetil voir le malheur général s'amplifier et durer. La fin du fléau signifie pour lui la fin de son trafic et la reprise des poursuites dont il a déjà été l'objet. Il est battu, traqué, assiégé, mis à mort. L'auteur n'a pas beaucoup de pitié pour lui, car son malheur est mérité. Rambert : Décidé à refuser l'injustice et les concessions, c’est un journaliste, il n'est pas seulement un homme de plume, il a un passé de militant, il a combattu, pendant la guerre d'Espagne, comme républicain

pas les bras, il est l'âme de la résistance contre le fléau. Témoin et militant : il est ce qu'a été Camus pendant l'Occupation. C'est un homme d'action aux yeux de qui l'essentiel est de bien faire son métier, il s'endurcit contre la pitié quand elle devient dangereuse et sa philosophie est assez simple, enseignée dans son enfance par la misère : il faut soigner avant d'en démontrer l'excellence. Il préfère l'honnêteté à l'héroïsme et à la sainteté et c'est la santé de l'homme qui l'intéresse, plus

drapeaux qui sont déposés (« guidons et enseignes au bord des murs ») ou détournés de leur fonction (…tambours pour les remplir de raisons » / « les trompettes étaient chargées de branches »)On peut constater qu’il ne s’agit pas vraiment d’une armée dangereuse ce qui accentue encore la lâcheté des moines réfugiés dans l’abbaye et occupés à prier…L’auteur joue aussi sur le décalage avec le personnage de Frère Jean : on n’attend pas ce comportement de la part d’un moine. (aspect comique)73 à 77 : Phrase

c’est qu’ils croyaient voir deux lions ou deux léopards, au bout du pont, sur l’autre rive, liés à une grosse pierre. L’eau, le pont et les lions les mettent en telle frayeur qu’ils tremblent tous deux de peur, et disent : « Beau sire, (…)ayez donc pitié de vous et retournez-en avec nous ! Vous seriez coupable envers vous-même, si en péril certain de mort vous vous mettiez volontairement. » Mais il leur répond en riant : « Seigneurs, je vous remercie et je vous sais gré de tant vous émouvoir pour moi

Mélancholia » ? Plan détaillé I. L’image des enfants à l’usine 1) La description s’appuie sur des éléments réalistes : -L’âge des enfants (v.3) -La durée journalière du travail (v.4) -La nature du travail : des taches répétitives, dangereuses, épuisantes (v.5,6) Conséquences sur les enfants : -Physiques: « que la fièvre maigrit » « Pâleur » (v.12) métaphore de la cendre et/ou notation réaliste. Fatigue : v.13 Rachitisme : v.18 -Morales : aucune joie, aucun rire (pourtant

médiévale les poètes ont eu le choix entre la phraséologie de la chanson courtoise et celle de la sotte chanson, donc Villon s'inspirée de l'une et de l'autre. Villon est revenu à Paris janvier, 1456. Mais il a déjà fait quelques connaissances dangereuses avec les clercs qu'ont été de la vie mauvaise et tricheurs. Avec ses copains ils ont volé 500 écus d'or du collège de Navarre et Villon s'exila autre fois. Cet alors quand il a écrit "Le Lais" ou "Le petit testament". Cette œuvre est surtout pleine

I l'archétype du libertin Le Vicomte de Valmont est avec la marquise de Merteuil le deuxième modèle libertin des _liaisons dangereuses , mais il incarne le libertin masculin modèle du dix-huitième siècle. Il n'est pas sans rappeler certains personnages dans d'autres œuvres comme Les égarements du cœur et de l'esprit_ de Crebillon fils. Le vicomte de Valmont est un séducteur hors pair, libertin de talent qui parvient à tromper la société de l'époque par l'art du regard, de la tenue, de la parole

sociale, le point culminant _______..étant cette fuite : _________♠ Elle perd d'abord l'estime de ses « ennemis » : « ses plus grands ennemis sont partagés entre __________..l'indignation qu'elle mérite, et la pitié qu'elle inspire » (l.3-4) ____________- Le fait qu'elle puisse inspirer de la pitié à quelqu'un (d'autant plus à ses ennemis) est _____________extrêmement dévalorisant pour quelqu'un qui avait une si haute opinion d'elle-même, un si _____________grand orgueil _________♠ Elle a perdu ensuite

il divorce avec Friderike et fait la tournée des conférences aux Etats-Unis .En 1939 à Berlin des autodafés « d’arts dégénéré » sont organisés . Zweig fait les démarches pour se naturalisés anglais, il se mari avec Lotte et écrit le roman « La pitié Dangereuse ».En 1941 Zweig quitte New York en paquebot pour Rio .il s’installe à Petrópolis au Brésil avec Lotte .Il achève la nouvelle « le joueur d’échecs ». En Allemagne il est ordonnée de déportés tous les ennemis et opposants du Reich .En janvier 1942

« huit ans ». Le nombre d'heures qu'ils passent à travailler « quinze heures sous les meules » et le type de travail qu'ils effectuent « De l'aube au soir, faire éternellement, dans la même prison le même mouvement ». Ce sont des tâches répétitives, dangereuse et épuisante pour un enfant. Tous cet acharnement à des conséquences physiques sur eux. « Que la fièvre maigrit »,  « Pâleur ». Ils ont un timbre mourant, ils sont fatigués, épuisés. Ils y a aussi des conséquences sur leurs morales. « Jamais on