La Pitié Dangereuse

Lettre 21 (Le Vicomte de Valmont à La Marquise de Merteuil) , Les Liaisons Dangereuses, Laclos. I. Un récit mis en scène a) Valmont, un conteur averti * Une structure de la lettre organisée l.8 à 10 : justification de l’action ; l.10 à l.73 : récit de l’action charitable ; l.73 à l.77 : effet attendu du plan Valmont met en valeur la réussite de son plan de séduction. * Emploi imparfait «souvenez » l.8 puis passé simple « voulu »l.9 + emploi du verbe vouloir puis passé

pas livrer ses amis (« Au lieu de faire cela Mathilde raconte que nos gens changent sans cesse de domicile... Qu'il lui faut retrouver les liaisons... n'importe quoi. Bref, elle se fait mettre en liberté ») en plus de ça, le lecteur ressent de la pitié pour Mathilde, sa situation étant tellement horrible. Par ailleurs, la mort de Mathilde est racontée très brièvement, et sans détails, contrairement à la mort de Dounat dans le chapitre II. Elle est racontée comme une sorte de formalité, très rapide

il le recompose, de manière à amuser le lecteur. II Un récit burlesque. La narration du souvenir relève principalement du registre burlesque 1) La survalorisation de l’évènement. Posé comme une aventure « chasse aux pommes ». Quête dangereuse d’un objet précieux. Vol présenté comme une activité noble. Champ lexical de la chasse. Un narrateur seul, courageux. Valorisation du personnage. Aventure suggérée par tous les verbes d’actions juxtaposés, grand mouvement. Complètement hyperbolique

présentée ?· Elle est aimée : « ma dame »· Elle est sourde à ses sentiments : v 2-3· Propos sans doute blessants pour lui v 5-6 : image du scorpion àses paroles sont comme du venin + terme « dédain » v 10 qui signifie le mépris. · Femme dangereuse et duplice : « Son doux regard abrite un basilic » =  antithèse : association de deux idées contradictoires.· Femme cruelle : s’amuse de la situation : suggéré par les verbes « s’amuse et se réjouit » v 14 àplaisir à le voir souffrir

Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803) nait dans une famille noble, mène une vie mondaine, écrit des poèsie, des opéras comiques. La rédaction des liaisons dangereuse l’occupe pendant 4 ans (1778 -1782) Ce roman épistolaire, écrit par Pierre Choderlos de Laclos en 1782, nous raconte une partie du monde libertin du XVIIème siècle, ainsi qu’une liaison qui se forme entre deux jeunes amoureux. C’est une histoire de pouvoir et de séduction, les lettres révèlent les passions et désires de chacun des

donné Schopenhauer du mot tragédie, nous pouvons identifier celle-ci, minucieusement dans la pièce. Dans un premier temps, le tragique produit par des éléments extérieur sollicitent fortement l'attention du public et ainsi créer de l'émotion comme la pitié ou encore la peur. Ensuite, Schopenhauer nous cite cette partie de définition : origine de la souffrance "dans la nature même de l'homme, dans le croisement des efforts et des volutions des individus, dans la perversité et la sottise de la majorité

femmes ds la soc. Intro En 1782, Pierre Choderlos de Laclos, officier d’artillerie parfaitement inconnu que les hasards de la vie ont conduit de Besançon à Paris, publie un ouvrage dont la parution fait l’effet d’une bombe : Les Liaisons dangereuses. En écrivant ce roman épistolaire, Laclos a-t-il voulu comme il le prétend « rendre un service aux mœurs » en inspirant de la répulsion pour le mal ? A-t-il cherché à discréditer une aristocratie corrompue dont les héros incarnent tous les vices 

Critique de la justice qui condamne à mort : La justice qui condamne à mort est mauvaise, il chosifie le prisonnier. Il se moque de la justice. Texte argumentative : elle est mauvaise. -Il insiste sur les personnes faibles. -Il essaye de créer la pitié. -Texte descriptif à visée argumentatif : elle est mauvaise car le prisonnier souffre. -Il présente son cachot (-). -Maltraitance matérielle. -Il souffre moralement par les regards. 4. 1er moyen d’évasion : la lecture de mur. La lecture de mur. Il

son addiction sur d'autres facteurs (ex: “les trompeurs, cette sale race”). Rutebeuf joue sur le côté sentimentale pour faire comprendre au lecteur que le jeu de hasard peut devenir une passion très dangereuse; la manière dont parle le narrateur fait que l'on ne peut que avoir pitié de lui.

beauté est dangereuse : « yeux animés d’un feu tendre » l.48-49. b) Cette femme qui incarne le désir et la tentation cache un stratagème et manipule ses proies. Elle tente d’amadouer les prêtres par sa beauté mais aussi par son intégrité (l.30-31), tout en apostrophant le premier prêtre dans le plus grand des respects : « Fils aîné de la Grande Ourse » l.28. Elle use de l’hyperbole pour montrer son sentiment de culpabilité : « péché énorme » l.31, « mon cher mari » l.32 et appeler la pitié et la compassion