La Pitié Dangereuse

peuvent pas jouir de leur enfance, qu’ils ne peuvent pas jouer entre eux, mais ils doivent travailler pour être payés au lance-pierre, on le voit par exemple « Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue ». Victor Hugo nous laisse à penser qu’il a pitié de ces jeunes enfants, qui se retrouvent seuls sans famille ni foyer, par exemple dans le poème Melancholia « Ces petites filles de huit ans »  « Pauvre petits » qu’il répète souvent dans son poème. Il se demande qui va s’occuper des enfants lorsqu’ils

1. Crime et châtiment – Dostoïevski 2. Madame Bovary – Flaubert 3. Guerre et paix – Tolstoï 4. Le journal d’un curé de campagne – Bernanos 5. Les liaisons dangereuses – Laclos 6. Les faux monnayeurs – Gide 7. Le maître et Marguerite – Boulgakov 8. Le lys dans la vallée – Balzac 9. La pitié dangereuse – Zweig 10. Portrait de femme – James 11. Quatre-vingt-treize – Hugo 12. Le choix de Sophie – Styron 13. L’éducation sentimentale – Flaubert 14. Belle du seigneur – Cohen 15. L’idiot – Dostoïevski 16

mécanique. I) Sentiments, émotions, passions Le romain lutte contre les passions qui sont des émotions excessives, de manière à contrôler ses sentiments. Le sentiment : quelque chose qui pour le romain est tout à fait souhaitable et noble, l'amour la pitié le chagrin la honte, la souffrance, la colère : sentiments qu'il est normal d'éprouver. En revanche il faut se métier de l'émotion, et sa forme extrême, la passion Emotion: moveo : mettre en mouvement d'où le sens d'émouvoir (mouvement de l'âme)

cette petite fille sombre et mystérieuse y arriva. Le jeune homme fut tellement blessé au cœur qu'il voulut se tuer. Les compétences de cette petite étaient remarquables.  Avant que le jeune homme ne mette un terme à sa vie, la petite fantaisiste eu pitié de lui. Elle l'empêcha de mourir. Alors il vécu et il vécu pour les trois petites filles. Il souffrait et les petites avaient accompli leur vengeance. Les jeunes filles décidèrent de ne jamais se séparer.  Elles vivaient dans une maison blanche

animaux sont liés. Ils sont tous deux souvent utilisé comme image usuelles du mal. Celui-ci pourrait représenter le discours qui s’enroule autour d’Œdipe « je garrotte, je sangle» (l.35). Œdipe serait en quelques sortes envouté et engourdi par les dangereuses paroles du Sphinx. Dans ce passage l’emploi du vocabulaire se rapportant au serpent souligne l’étouffement et l’engourdissement d’Œdipe, « toutes les boucles d’un seul reptile dont la moindre respiration coupe la tienne » (l.37). Dans son discours

côtoyé tout les jours. L’Afrique, lieu d’enfance : Thème d’étude 1 : L’Afrique vu par le narrateur enfant est une Afrique libre comme pour les corps et indépendante mais à la fois sauvage qui est tout de même cruelle et risquée voir dangereuse ou tout de même lui et son frère vont grandir, il l’a voyait tout de même belle et attirante. Quand J.M.G le Clézio arriva en Afrique il la décrivait comme immense, gigantesque et grande mais il remarqua aussi la violence de la nature

critique des hommes. Il est utilisé par Montesquieu dans ses Lettres Persanes « pour joindre de la philosophie, de la politique et de la morale à un roman », selon Montesquieu lui-même. Le roman épistolaire connait son apogée avec Les Liaisons dangereuses de Laclos qui constitue une condamnation sans appel du libertinage. _Le roman véhicule la pensée de son auteur qui dissèque le comportement humain et nous fait ainsi réfléchir_ Le roman fournit une analyse psychologique de l’homme et peut

parfaitement représentée par la formule populaire qui dit que si le malheur rapproche les êtres humains, le bonheur les divise. Cela peut s’expliquer par la jalousie occasionnée par l’obtention du bien-être, alors que le malheur des autres touche la part de pitié présente en chacun. Sans s’éloigner trop du sujet, cette dichotomie entre ces deux types de sentiments peut également être illustrée par l’attitude humaine qui a toujours, instinctivement, évité soigneusement tout ce qui engendre le déplaisir, en recherchant

future, action plutôt dangereuse. Une situation du danger qui s’illustre dans la tonalité du discours même avec la récurrence des phonèmes « oin » et « oie » aux vers 6 à 10. Par ailleurs, il en découle un certain divertissement du spectateur qui tenu en haleine, retient son souffle. Face à la beauté du héros et aux valeurs qu’il véhicule, le spectateur peut être admiratif face à ce personnage qui choisit pour l’honneur de défendre sa cité. Il peut ressentir également de la pitié pour ce « personnage

vérité   est   donc  ce  qui  a  obtenu  l’assentiment et l’accord de tous.  Face  à  cette  situation,  un  sceptique  dirait  que  quiconque pourrait rapporter l’opinion publique  dans   la  direction  qu’il  souhaite  grâce  à  une  rhétorique  dangereuse,  qui  ne  s’intéresse   en  aucun  cas  à  la  vérité.  Tout  comme  ce  groupe  de  personne  peut  parfaitement  dire  quelque  chose  de  complétement  faux  ou  au  contraire une seule personne peut très bien conduire  à la  vérité.     Au