La Pitié Est Elle Une Vertu Ou Une Faiblesse

(Aricie). III. Hippolyte, héros tragique malgré lui. A. Acceptation de son sort : la fatalité. Selon Aristote, le genre dramatique cherche à inspirer la crainte et la pitié, c'est pour cela que le héros tragique ne peut être ni totalement bon, ni totalement méchant. Il se doit d'être un homme qui, « sans être un parangon de vertu et de justice, tombe dans le malheur non pas à cause de ses vices ou de sa méchanceté mais à cause de quelque erreur ». (Aristote, Poétique.) Cette facette humaine d’Hippolyte

bienséance et la vraisemblance exigent qu’on donne à cette passion une place de choix dans la tragédie, à condition de ne pas choquer la vraisemblance historique et de laisser à l’amour sa force dramatique ; que la peinture de l’amour comme « une faiblesse et non une vertu » peut servir de mise en garde morale (cf. Boileau, Art Poétique, III ; Racine, Préface de Phèdre). 2. première thèse : l’amour exclu de la tragédie en laissant de côté le problème moral (cf. Théâtre), on peut remarquer, en faveur de

du personnage. Son éducation est fondée sur la quête de la vertu. Déjà Mme de Chartres apparaît comme une figure austère de la retraite : elle a été veuve très jeune, et surtout absente de la Cour pendant « plusieurs années ». Sa fille suivra ses pas en essayant plusieurs fois de se retirer de la Cour. Ses qualités d’éducatrice célébrées au superlatif « extraordinaires » sont livrées avec un rythme ternaire « le bien, la vertu et le mérite » : même si « bien » peut signifier la « fortune

vice et la vénalité qui habitent l’héroïne. *Les romans de Jules Verne, où souvent le protagoniste a un caractère difficile, Nemo et son « mobilis in mobile » mais qui entraîne cependant le lecteur dans un monde fantastique. Nemo tenaillé entre la pitié et la haine cherche si la justice est dans la vengeance ou dans le pardon. *Le conte et son univers féérique qui entraînent le lecteur dans des cadres magiques, où souvent il assiste à la libération du personnage. Ceci est très présent dans La Belle

éprise d’amour pour son beau fils Hyppolite. Tout au long de la pièce celle-ci va lutter contre cet amour incontrôlé et inéluctable, qui va la mener à une perte totale de la raison puis a la mort. De plus, j’ai voulu tout au long de ma vie, montré la faiblesse de l’Homme agité par ses passions car j’ai moi-même connu cela durant ma vie, à plusieurs reprises. Ensuite, la passion est un sentiment quelque peu unique et extrême qui montre sa perfidie derrière différents visages. Y a-t-il en effet un sentiment

Rousseau critique ceux qui affirment que le langage extérieur, la parole, permet simplement aux hommes d'exprimer leurs besoins. Car selon lui, le langage est né des passions des hommes : « Ce n'est ni la faim, ni la soif, mais l'amour, la haine, la pitié, la colère qui leur ont arraché les premières vois » (Essai sur l'origine des langues). La langage est ainsi au départ le moyen pour l'homme d'exprimer ce qu'il ressent, ses passions. Des chercheurs, à la suite de Vigotski (1934) ont mis l'accent

face à Pyrrhus. Informations globales • Chaîne amoureuse à sens unique : Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime toujours son défunt mari. • Le malheur fait la catastrophe de la tragédie • Pitié du spectateur • Vertu capable de faiblesse • On les plaint sans les détester • 1667 à 28 ans • Un an après la guerre de Troie. • Épire, Buthrote • Mécanique infernale • Situation explosive • Situation explosive • Entremêle les intrigues galantes • Langue

l’âme du pécheur pour lui ouvrir les portes du ciel. Phèdre réhabilite Hippolyte pour mener sa propre réhabilitation ceci en plaçant Thésée dans le rôle de confesseur. On notera qu’Hippolyte n’est nommé que par une périphrase « je laissais mourir la vertu soupçonnée », comme si jusqu’au bout, Phèdre redoutait, en prononçant son nom, de redonner à la passion une force. b) L’aveuglement de Phèdre Bien qu’elle affirme « c’est moi qui », Phèdre s’attache tout le long de sa tirade à attirer l’attention

antique : - Comédie de mœurs : trait de société - Comédie de caractère : ridicule - Comédie romantique - Comédie héroïque - Comédie de farce : mari trompé, arroseur/arrosé - Comédie dell-arte : jeu de masque, léger sénario, grosse impro., vertu morale - Comédie larmoyante : fait réfléchir sur le fonctionnement de la société Castigat ridendo mores = Elle corrige les mœurs par les rires COMÉDIE = CORRECTION a) La constitution du type comique : Le fonds d’inspiration des auteurs

loi:condamnant,annoncer,jugeait) qui mène à la gloire( renommée, régner), Rome (métonymie du pouvoir)apostrophe et condamne Titus et la faiblesse de son amour) “Ah!Lâche!+ 3 derniers vers du passage). Rome gagne le combat ,Bérénice est presque effacée Importance de la raison d’état: il faut renoncer à soi-m^me pour devenir empereur.Pour donner la preuve de sa vertu romaine Titus doit faire le sacrifice de son amour. Sacrifice où il ne trouve que douleur.(“triste devoir”= épithète affectif) La délibération