La Pitié Est Elle Une Vertu Ou Une Faiblesse

Puisque l'homme a ce qu'il lui faut, pourquoi attaquerait-il autrui ? Hobbes n'est arrivé à son système qu'en prêtant à l'homme naturel la sensibilité complexe du civilisé ; 2° Hobbes a refusé à tort à l'homme primitif tout sentiment de pitié. Comme une telle vertu précède toute réflexion, on n'est pas fondé à la nier dans l'état de nature. On en retrouve d'ailleurs des signes chez les animaux. Tout ce qu'implique la commisération, c'est une identification « de l'animal spectateur ... avec l'animal

moines le sont aussi.Prière : « Je me donne au diable […] et raisins que »Phrase interrogative : « Ventre Saint Jaques que boirons nous pendant ce temps-là ? »Présent de vérité générale : «  Jamais un homme noble ne hait le bon vin » Ivrognerie = Vertu Maxime : «  C’est un précepte monacale. » III- La violence du combat, une parodie des romans de chevalerie (l. 18 à 22)Rabelais cherche à parodier les romans de chevalerie.Accumulation : l. 18 à 22 → violence trop exagéréeComique

essentiel et dramatique Pourquoi la princesse veut-elle avouer ? Pour se protéger d’elle-même, en s’éloignant de la cour. De plus elle veut s’élever au dessus de sa passion et faire quelque chose que personne n’a jamais fait : elle veut préserver sa vertu, garder son cœur pur et transparent en respectant son mari. Cet aveu est aussi une façon d’expliquer son comportement : elle veut « éviter les périls » (ligne 5) ; c’est également une occasion d’avouer des sentiments : le malheur, la jalousie, l’amour

choisit d’interpréter rigoureusement les textes sacrés. Doctrine de la prédestination, les Hommes avant même leur naissances sont condamnés et d’autres sont sauvés. La nature humaine est considérées comme profondément coupable. Nul n’est innocent, la vertu même est suspecte. L’ennemi principal des jansénistes est le libertin. Tout ça est ramené à la misère à la nature pécheresse de l’homme. « La grandeur de l’Homme est grande en ce qu’il se connaît misérable » Pascal Les jansénistes étaient attachés

fils (« garde à la scie » l1), opposées à celles de son fils (« poste officiel » l3-4)· mépris de la carrière ecclésiastique de Julien (« perdre ton temps chez le curé » l2) · altercation théâtralisée : registre tragique, CL violence, prend JS en pitié· père : langage familier l1-2 (répétition autour de « livres », expressions « scie » l2 à la place de scierie, « quand » l2 plutôt familier, « à la bonne heure » l2 = de bonne heure, phrases de ponctuation marque caractère autoritaire), homme d’action

Mme à vous dire la vérité ») montre que c’est une personne cruelle et perverse. * Dom Juan contre attaque : - Discours cruel « je ne suis parti que pour vous fuir » - Hypocrisie : il utilise un argument religieux : pour montrer à Done Elvire sa faiblesse, il dit qu’elle a préféré lui par rapport à la religion, il lui dit qu’elle a pris la mauvaise décision. -> Ce discours est peu crédible car Dom Juan parle de la religion (alors qu’il ne croit nullement en Dieu) et il utilise des hyperboles, des

s’installa à la maison. Livré à lui-même, Jean-Jacques put puiser sans discernement dans les romans d'amours laissés par sa mère, et ‘’L’astrée’’ éveilla de bonne heure son esprit romanesque. Mais il lut aussi Plutarque (qui lui donna le goût de la vertu), Ovide, Bossuet, La Bruyère, Fontenelle. En 1721, son frère aîné, voué au vagabondage, disparut. En 1722, le père, obligé de s’expatrier à la suite d’une rixe, le mit en pension chez le pasteur Jean-Jacques Lambercier, à la campagne, à Bossey. Lui

moraux de premier ordre, il avait résolu d'entr'ouvrir le gouffre de l'iniquité et de s'y précipiter pour reparaître enveloppé des ailes du génie du mal et de s'immortaliser en étouffant toute vertu et divinisant publiquement tous les vices. Cependant, on apercevait encore de lui des traces de quelque vertu, telle que la bienfaisance. Cet homme frémissait à l'idée de la mort et tombait en syncope en voyant ses cheveux blancs. Parfois il pleurait en s'écriant dans un commencement de repentir qui «

elle un amour légitime. Il la vit. Mais au lieu d'offrir à ses beautés Un hymen, et des vœux dignes d'être écoutés, Il crut que sans prétendre une plus haute gloire, Elle lui céderait une indigne victoire. Tu sais par quels efforts il tenta sa vertu, Et que lassé d'avoir vainement combattu, Absent, mais toujours plein de son amour extrême, Il lui fit par tes mains porter son diadème. Juge de mes douleurs, quand des bruits trop certains M'annoncèrent du Roi l'amour et les desseins, Quand

victime un criminel ? (PFVS 45) De même Macbeth n’ignore rien de l’immoralité de son projet homicide lorsqu’il se demande: « pourquoi dois-je céder à l’idée dont l’image d’horreur hérisse mes cheveux ? » (I,3 49). Mais là où Rousseau insiste sur la faiblesse de la volonté comme source du mal, il faut en revanche reconnaître la détermination et la force de la volonté dans la méchanceté : choisir le mal c’est le vouloir délibérément. Or, dans la tragédie de Shakespeare, l’idée de choix est omniprésente