La Pléiade Alain

transparent à lui-même, sans zone d’ombre ni obscurité, un petit dieu vivant dont la connaissance serait sans limites. Or l’existence même de la question (Qui suis-je?), le seul fait qu’elle se pose, nous rappelle que "l’homme est obscur à lui-même" (Alain). Ce serait aussi confondre l’humanité de l’homme et son savoir et prétendre qu’être humain, c’est d’abord être savant. Or, l’expérience triviale nous montre que biens des "ignorants" sont largement aussi humains que certains doctes (il faut ici se

XVIIe siècle (1623-1666), thèse de doctorat sous la dir. de Michèle Rosellini et Dominique Moncond’huy, soutenue le 24 novembre 2012, Université de Poitiers, p.465. 4 BERTAUD, Madeleine, « La Place Royale ou le Jaloux extravagant » , in NIDERST, Alain et alii, Pierre Corneille: actes du colloque, Presses universitaires de France, 1985, p. 325. 5 Ibidem, p. 326. Moulin Nicolas Le Comique au XVIIe Prof. Marc Escola 4 Phylis, se réjouit du fait qu’on lui restitue son « bien » : « Tu me la rends

livres de notre temps les plus généralement lus, et même, dans les plus estimés16. » Le plaisir implique un certain degré de vertu, car comme dit Alain : « Rien au monde ne plaît de soi. Il faut prendre beaucoup de peine pour se plaire à la géométrie, au dessin, à la musique. Et cette liaison de la peine au 16 Paul Valéry, Œuvres, Gallimard, La Pléiade, tome I, 1957, p. 939-940. 12 plaisir se voit bien clairement dans les jeux des violents… Si l’on réfléchit assez sur ce paradoxe de l’homme

Révolutionnaires sans révolution, Paris, Le Pré aux Clercs, 1972, rééd. Arles, Babel, Actes Sud, 1999.  Alain et Odette Virmaux, La Constellation surréaliste, Lyon, La Manufacture, 1987.  Luc Vigier, Le Surréalisme , Bibliothèque Gallimard, Paris, 2006. Notes et références[modifier] 1. ↑ André Breton, « Manifeste du surréalisme », 1924, in « Œuvres complètes, tome 1 », Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris, 1988, page 328. 2. ↑ Jean-Bertrand Pontalis « Les Vases non communicants. Le malentendu

| |L'aventure de l'Eclaireur débute par l'ouverture d'une échoppe de 28 |Crée par Liliane Jossua et Alain Celhay, ce vaste magasin est situé sur | |m², au sous-sol d'une galerie marchande des Champs-Elysées, où Martine|la très élégante avenue Montaigne où l'on trouve une pléiade de marques | |et Armand Hadida font découvrir à leurs clients les premières lignes |de créateurs. C'est d'ailleurs l'une des premières boutiques |

le libérateur qu’elle attendait. Oreste s’en 1. Eschyle, L'Orestie, in Tragiques grecs, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1967, trad. Jean Grosjean, p.360-365. 2. Sophocle, Électre, in Tragiques grecs, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1967. 3. Euripide, Électre, in Tragédies complètes, Paris, Gallimard, 1962, « Bibliothèque de la Pléiade », trad. Marie Delcourt-Curvers, p.914-918. 4. Voir la Pièce (dé)montée consacrée à L’Orestie mis en scène par Olivier Py. 5. Cocteau :

sa vive intelligence et à ses lectures assidues, Louise Labé put s’entourer d’un grand nombre de beaux esprits qui formaient, lors de leurs réunions régulières, une sorte de « salon littéraire ». Olivier de Magny, poète et membre du groupe de la Pléiade, était, tout d’abord, l’un de ses invités. De grands écrivains comme Clément Marot, Jacques Pelletier, François Rabelais, ne manquaient pas, en passant par Lyon, de descendre chez la Belle Cordière. Louise Labé participait ainsi activement à la vie

- Ex- ( origine - Ré- ( soit faire une seconde fois soit revenir à l’état antérieur Révoquer = voix ( revenir sur l’Edit de Nantes (révoqué par Louis XIV) Le 17ème est un siècle important pour la langue. Non seulement apparaît la Pléiade (ont codifié la langue a cette époque, se sont occupés de la poésie) qui ont codifiés le théâtre (règle des 3 unités, règle de bienséance,…) mais apparaît également le premier grammairien Vaugelas. De plus, c’est le siècle durant lequel Richelieu

Chroniques, « romans » qui mettent, selon Giono lui-même, non plus la nature mais l’homme au premier plan (voir l’entretien avec R. Ricatte évoqué par ce dernier dans sa préface aux Œuvres romanesques complètes, éditées dans la bibliothèque de la Pléiade, volume I, p. XLVII). Or, cette « promotion », le personnage humain la paye chèrement, puisqu’à l’évidence des éléments naturels succède la menace inéluctable de l’ennui et du néant. Robert Ricatte situe le passage de la première à la seconde «

Poetique de l'allegorie dans les Fables de La FontainePOÉTIQUE DE L'ALLÉGORIE DANS LES FABLES DE LA FONTAINE Alain Génetiot Presses Universitaires de France | « Revue d'histoire littéraire de la France » 2012/2 Vol. 112 | pages 315 à 334 ISSN 0035-2411 ISBN 9782130593829 DOI 10.3917/rhlf.122.0315 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-d-histoire-litteraire-de-la-france-2012-2-page-315