La Politique Culturelle En France

Culture et mondialisation : enjeux culturels internationaux Discours de Barbara Loyer, Hôtel de Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à 9.30h, le 24 octobre 2008 Je ne chercherai pas à répondre ici à la question de savoir si la mondialisation est une bonne ou une mauvaise chose pour la culture. Je souhaite plutôt proposer une façon d’aborder la question. La première partie de l’exposé brossera un bref panorama de ce qu’on appelle « mondialisation », ensemble de phénomènes et d’interactions à l’échelle

La République | Le mot république qualifie des organisations politiques très différentes qui se sont succédées dans l’histoire, de la République romaine aux Républiques de Gênes et de Venise, puis aux Républiques françaises. Il est attribué, dans l’histoire contemporaine, à des organisations politiques très diverses. Aujourd’hui, deux Etats sur trois environ(1)  comportent le qualificatif de République dans leur intitulé, parfois complété d’un autre qualificatif : islamique, populaire, démocratique

d'ouvrages d'histoire politique, intellectuelle et religieuse de la France aux XIXe et XXe siècles. Il était âgé de 88 ans. [pic] René Rémond en juin 2006 (Sipa) L'historien et politologue français René Rémond est décédé dans la nuit de vendredi 13 à samedi 14 avril à Paris, à l'âge de 88 ans, des suites d'une maladie, a-t-on appris samedi auprès de sa collaboratrice. René Rémond, grand témoin du XXe siècle, né en 1918, était président de la Fondation nationale des sciences politiques de 1981 à janvier

[pic] .Jeune homme lançant des pavés sur les CRS. Plan: Slogans en images et photos de mai 1968 : Leurs représentations dans la presse des années 1970 aux années 2010 en France Problématique : Quelle est l'évolution de la perception des slogans en images de Mai 68 dans les médias et des impacts qu’ils on apporter en France des années 1970 jusqu'aux années 2010 ? Introduction | Page 4 ( Les événements de Mai 68 I Dans quel but les slogans

L’enracinement de la République en France (1848-1914) « À reculons, nous entrons dans la République » a écrit Léon Gambetta dans son journal La République française en 1875. Son ton ironique montre bien cette ambiguïté que l’on retrouve lors du processus de mise en place de la Troisième République et plus généralement de l’idée de République. Finalement, même si la France avance dans la direction du régime politique républicain, les moyens mis en oeuvres ne s’en approchent pas ou peu au début. Pour

distinguer deux premières grandes phases, scandées par ce que Jean Baubérot a appelé des seuils de séparation 2 : La laïcité – et, ici, la notion précède le terme, apparu seulement vers 1860 – a d’abord signifié la subordination du religieux au politique, la mise sous tutelle de l’Église, à travers le Concordat de 1801. Alors que la Révolution avait dépossédé l’Église catholique de ses plus importantes prérogatives, notamment en instaurant la constitution civile du clergé, Napoléon invente un

176-177 : « Les débuts de la Vème république »B)Une Politique de Grandeur et d'Indépendance nationaleQue se passe-t-il au niveau de l'Empire, en 1958 ?En 1958, le général de Gaulle engage la Décolonisation de l’Afrique, il va jouer un rôle fondamental pour la France. Il met en place une politique de Grandeur et d’Indépendance Nationale : la Constitution remplace l'Union française par la Communauté. Il s’agit d’un régime d’association politique entre la France et ses colonies qui acquièrent en 1958 le statut

crise de l'État français, de la crise de la citoyenneté, de la crise de la conscience nationale, de la régression de l'esprit civique et au bout du compte de la crise de la société française dans son ensemble, tendent à se généraliser tant chez les politiques que chez les intellectuels. Les causes évoquées sont multiples et variées et peuvent d'ailleurs entrer en conjonction : l'Europe, la mondialisation, l'immigration incontrôlée, les mouvements régionalistes... Si l'on souhaite tenter quelque analyse

langue, par l'apprentissage d'une culture, par la volonté de participer à la vie économique et politique », explique la sociologue Dominique Schnapper ; - La conception ethnique de la nation allemande met l'accent sur les liens du sang, qui fondent le groupe et l'organisation autour d'un passé commun ; - La conception communautaire américaine est plus proche de la tradition républicaine de la France (l'image du melting pot n'est pas très différente du « creuset » français), mais elle tend à considérer

 des  définitions  politiques,  soumises  à  variations  et   interprétations.  Mais  une  définition  existe,  à  peu  près  consensuelle,   utilisée  à  la  fois  en  science  politique  et  dans  le  droit  international   public.  Met  l’accent  sur  souveraineté,  gouvernement,  territoire,   population     Nation  :  une  définition  politique,  soumise  à  nombreuses