La Poudre Aux Yeux Labiche

. . . . . . . . . . . . . . . 25 Labiche, Embrassons-nous Folleville ! 39 Feydeau, Notre futur 91 ■ Dossier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109 Avez-vous bien lu ? Exercices de langue Le mariage arrangé (groupement de textes no 1) Rire sur scène (groupement de textes no 2) La mise en scène Images du vaudeville au XIXe siècle 111 115 117 129 140 146 PRÉSENTATION La comédie du vaudeville Labiche et Feydeau ont principalement écrit des

vins hors de prix, des cépages centenaires ou des boissons exotiques, telle que le curaçao, avec sa couleur bleue claire. Les bourgeois, et les petits principalement, étaient souvent raillés par le Vaudeville, dans des pièces comme La Poudre aux Yeux d’Eugène Labiche (1861), où l’apparence et la vue de l’Autre est moqué dans le monde bourgeois, d’où le titre de la pièce de théâtre. 3) Alcool et littérature : du réalisme de Zola aux Poètes Maudits L’alcool est aussi

une tribune à partir de laquelle il peut réclamer et montrer un théâtre destiné à moraliser les mœurs, à soutenir les réformes sociales, à représenter les grandes espérances de l’âme. (le Fils naturel). Dans le registre du vaudeville, Eugène Labiche, successeur de d’Eugène Scribe, domine le genre de 1815 à 1850 en écrivant deux cents pièces qui mettent en scène le type du bourgeois du second Empire, pétri de certitudes et de sottise, celui des dessins de Daumier. “Pendant vingt-cinq à trente

l’Evangile) | |Chance |-Les chanceux sont ceux qui arrivent à tout ; les malchanceux, ceux à qui tout arrive. Eugène LABICHE | |Chemin |-Les plus courts chemins ne sont pas toujours les meilleurs. | |Cheval |-Quand le foin manque

quatre-vingt jours ; Voyage d'étude | Inclassable | Moinaux | Georges Victor Marcel (nom de plume : Georges Courteline) | 1858-1929 | Les Gaietés de l'escadron | | Labiche | Eygène | 1815-1888 | Un chapeau de paille d'Italie ; Le Voyage de monsieur Perrichon ; La poudre au yeux ; La Cagnotte ; Doit-on le dire ? | | Feydeau | Georges Léon Jules Marie | 1862-1921 | Séance de nuit ; Dormez, je le veut | | Bernard | Paul (dit Tristan)

Acte I, scène 14 : « Par quel tour d’adresse est-il connu de Madame ?»  Acte I, scène 17 : « Ne trouvez-vous pas que ce petit galant-là fait les yeux doux ? » ; « Allons faire jouer toutes nos batteries » Acte II, scène 10 : « J’ai vu par hasard un tableau où Madame était peinte, et j’ai cru qu’il fallait l’ôter ». Acte II, scène 12  : « Madame, j’ai cru la chose sans consé- quence » ; « c’est

comédie à la mode au XIXe siècle. Il repose très fréquemment sur une intrigue amoureuse. Le vaudeville (ou « théâtre de boulevard ») comporte généralement de nombreux rebondissements et quiproquos. Les personnages sont souvent des bourgeois. Cf. Eugène Labiche ou Georges Feydeau. Le drame Le drame romantique est apparu dans la première moitié du XIXe siècle. Refusant les trois règles du théâtre classique, il peut mêler plusieurs intrigues, et les époques et les lieux peuvent être multipliés. L’histoire

les genres en rejetant les règles classiques, sauf l’unité d’action. Dans la seconde moitié du siècle naît un théâtre symboliste par opposition à un théâtre réaliste bourgeois. C’est aussi l’époque des vaudevilles, comédies complexes (Feydeau, Labiche). Le XXe siècle est marqué par la place croissante du metteur en scène. Au début du siècle Claudel continue dans la voie du symbolisme tandis que Jarry se livre à des provocations (Ubu Roi). Durant l’entre-deux-guerres, de nombreux dramaturges

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le théâtre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 VERS LE BAC Question sur un corpus : Musset, Labiche, Beckett . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44-49 14 15 16 17 18 19 20 « Je » et l’Autre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Elle fut trs impressionne par cette rgion situe louest de Qubec, quon allait reconnatre dans une grande partie de son oeuvre. Elle confia Jeune, jaimais lire lombre des arbres, participer des sances de la salle paroissiale o lon jouait Molire ou Labiche avec mon cousin Saint-Denys Garneau, mes frres, ma soeur au beau temps des vacances. Elle appartenait une grande famille de la bourgeoisie intellectuelle de Qubec, o rgnait latmosphre lourde de la socit canadienne-franaise et catholique de lpoque