La Poupée qui fait non

le sang, un Anglais fétichiste avait beaucoup insisté pour garder cette pochette. Quelques jours après, le narrateur reçoit la poupée qui ressemble à Elisabeth. Cela rend l’écrivain fou de penser à elle sans cesse alors que elle est marié et dans les bras d’un autre. Il s’était juré de ne plus chercher à lui parler, malgré cela, le narrateur fait une demande à la poupée : celle qu’Elisabeth reprenne contact avec lui. Le lendemain, il reçoit une lettre de celle-ci qui lui demande une rencontre pour

dégager) : Tu ne me sauveras pas, Torvald ! Helmer : (reculant) : c’est donc vrai ! C’est vrai, ce qu’il écrit ? Horreur ! Non, non c’est impossible, ca ne peut pas être vrai. Nora : C’est vrai. Je t’ai aimé plus que tout au monde. Helmer : Oh ! Ne cherche pas à t’en sortir par des niaiseries. Nora (un pas vers lui): Torvald… ! Helmer : Malheureuse… qu’est ce que tu as fait là! Nora : Laisse-moi m’en aller. Tu ne porteras pas le poids de ma faute. Tu ne dois pas te charger de cela. Helmer :

engendre. En premier lieu, Satoshi Kon, dans son film Paprika, utilise des images liées au royaume du jeu, du ludique, pour mettre en lumière la problématique identitaire du Japon. Dès le début, le réalisateur montre une arène de cirque au spectateur. Non seulement cet élément rappelle-t-il le jeu, l’onirisme et la célébration des illusions et de l’amusement, mais il est aussi un des nombreux éléments occidentaux qui se mélangent à la réalité nipponne. Le parc d’attractions Dreamland où, les deux protagonistes

– exhortent les enfants au sens du devoir et du sacrifice. L’enfant-héros est né, en Angleterre, en France ainsi qu’en Allemagne. Le mot « poupée » est d’origine latine (puppa) et signifie mamelle ce qui retrace bien la connotation maternelle que la poupée représente, le lien entre le monde des adultes et celui des enfants. Le jouet et, en particulier la poupée, sont les premiers et les inséparables compagnons de l'enfance. L’enfant étudie ses jouets dès le plus jeune âge (par exemple le bébé avec

roman paru en 2005, très bien reçu par la critique. - cet extrait fait partie de l’incipit du roman : ° arrivée de M. Linh avec d’autres réfugiés, dans une ville froide et grise, après un long voyage en bateau. ° Monsieur Linh = vieil homme qui a quitté son village dévasté par la guerre, avec une valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays et une poupée dans les bras, Sang Diû, qu’il prend pour sa petite-fille. Lecture

Ariane, l’architecte. Ariane, architecte italienne établie à Paris, a pour spécialité de dénicher des ruines prometteuses et de les transformer en demeures de grand standing. C’est ainsi que la chaîne internationale d’hôtels japonaise Repos et Loisirs fait appel à ses talents en vue de transformer une immense grotte près de Florence (Italie) en résidence de luxe. Ariane s’investit avec énergie dans ce projet et produit en peu de temps des plans magnifiques. Du siège social à Tokyo, le directeur japonais

En Arabie saoudite, pour justifier l'interdiction des poupées Barbie dans le royaume, le Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice (organisme chargé de la police religieuse) déclara : « Les poupées Barbie juives, avec leurs vêtements révélateurs, leurs postures, accessoires et outils honteux sont un symbole de la décadence de l'Occident perverti. Prenons garde à ces dangers et faisons très attention41. » Pour les psychiatres, Barbie est un fantasme d'adulte mais pas de petites

la critique. Cet extrait fait partie de l’incipit du roman, et nous présente l’arrivée de M. Linh avec d’autres réfugiés, dans une ville froide et grise, après un long voyage en bateau. Le narrateur explique ici ce qui l’a amené à quitter son pays. Monsieur Linh est un vieil homme qui a quitté son village dévasté par la guerre, il n’a emporté avec lui qu'une valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays et une poupée dans les bras, Sang Diû, qu’il

proposent un gros plan sur l’enfance : l’album fait parler un compagnon muet du petit d’homme, dans un monde où les adultes n’ont pas de nom, apparaissent de dos, sont comme effacés. Toto, compagnon d’une enfance heureuse, est en fait l’objet de lien entre générations : comme si l’amour et la tendresse emmagasinés dans l’enfance constituaient autant de réserves affectives pour les futurs parents ; tout ceci dans une attitude pudique, en tout cas, non-envahissante : Lola devenue maman, ne confie

toujours attirée, je ne sais pas pourquoi. Dans mon entourage, il n’y a personne qui est en contact avec le monde du théâtre ou de la comédie. « Sarah, tu es si drôle, tu dois devenir actrice ! », me disaient certaines collègues. Mais pour moi, le fait d’être actrice, c’était plus que ça, plus que de la comédie. Le premier contact avec le théâtre, je l’ai eu à l’école primaire. Une copine de ma mère nous invitait parfois à des spectacles de l’école connue de danse et de théâtre de Claudia Corti