La Productivité Favorise T Elle Le Chômage

Document 2 Quelques indicateurs pour les principaux pays de l'OCDE Taux de croissance annuel réel du PIB (%) 1990/1995 (2) Etats-Unis Allemagne France Royaume-Uni Japon 2,4 3,6 1,0 1,6 1,4 1997 4,2 1,5 1,9 3,5 1,6 1999 4,2 1,5 2,9 2,1 0,3 Taux de chômage (% de la population active) 1990/1995 (2) 6,4 7,1 10,7 8,8 2,5 1997 4,9 9,8 12,4 6,9 3,4 1999 4,2 9,0 11,1 5,9 4,7 Solde budgétaire des administrations publiques (1) (% du PIB) 1990/1995 (2) -4,5 -2,7 -4,3 -5,2 0,0 1997 -0,9 -2,6 -3,0 -2,0 -3,3 1999

croissance économique suffit-elle à résorber le chômage ? La production de biens et de services nécessite la mobilisation de facteurs de production comme le capital et le travail. Par conséquent, un accroissement de son volume pourrait se matérialiser par une demande de travail plus forte de la part des agents économiques qui ont pour fonction principale de produire. En effet, la croissance économique ne suffit pas à résorber entièrement le chômage mais elle y contribue. Dans un premier temps

FICHES REPERES. Emploi et chômage, Jérôme Gautié et Yannick L’Horty. IV. La macroéconomie du chômage Chômage classique et chômage keynésien. 1) Durant ces cinquante dernières années, l’évolution du chômage a connu 3 périodes. Tout d’abord une période de stabilité jusqu’en 1970 : 500 000 chômeurs, un taux de chômage égal à 2.5. Puis du milieu des années 1970 jusqu’au milieu des années 1980, le chômage est en forte hausse, il y a 670 000 chômeurs. Enfin du milieu des années 1980 jusque

importante durant les 30 glorieuses. La productivité du L à augmenter, le taux d’emploi s’est accru, l’emploi des femmes s’est développé. A partir des années 70, la situation se dégrade en Europe, par rapport à la situation d’autres pays comme les Etats-Unis. En effet la productivité du L, ne croit plus aussi vite en raison du faible nombre d’habitants (40 millions en Europe). Si la productivité horaire est plus forte dans certains pays européens que la productivité globale. S’agissant de l’emploi des

quatre avait un père cadre) alors que l’hérédité sociale est forte (plus d’un enfant de cadre sur deux devient cadre). Cette mobilité « forcée » est appelée mobilité structurelle. Pour évoluer la « fluidité » de la société (sa capacité à favoriser les changements de statuts sociaux au-delà des seules contraintes) il faut retrancher de la mobilité brute constatée la mobilité structurelle, ce qui permet d’obtenir la mobilité nette. ⇨ Une mobilité sociale plutôt ascendante Un

développement ................................................. fiche schéma 06. Croissance et développement durable .............................................. fiche schéma Accumulation du capital, progrès technique et croissance 07. La productivité - Origines et effets ..................................................... fiche schéma 08. L’investissement ................................................................................ fiche concept 09. L’investissement - Des déterminants

Chapitre 3 : Organisation du travail et croissance Problématiques : Dans quelle mesure les différentes formes de la division du travail favorisent-elles une hausse de la productivité ? Quels sont les effets de l'organisation du travail sur la croissance ? Après avoir analysé en quoi le Toyotisme apporte des changements notables dans l'organisation du travail, vous montrerez qu'il s'inscrit largement dans la logique Taylorofordiste. Quels sont les effets des changements dans l'organisation du travail

zone euro et un peu partout dans le monde, le pouvoir d’achat a stagné, voire régressé depuis 2000, ceci n’est pas uniquement dû à la hausse des prix à la consommation, mais au ralentissement de la croissance de la productivité. Par ailleurs, le progrès technique engendre la productivité qui est source de richesses nouvelles ; il permet, à cet effet, de varier les besoins en travail des entreprises. Nous montrerons, à travers les effets du progrès technique, l’influence de la rentabilité sur

Croissance, progrès technique et emploi Avec 8,7 % de la population active au chômage, en novembre 2006, la France est loin de connaitre une situation de plein emploi. Face à ce constat, différentes questions se posent : Le progrès technique serait t il a l origine de cette situation ? Faut il favoriser la flexibilité du marché du travail pour lutter contre le chômage ? La flexibilité n'est elle pas néfaste pour la qualité de l'emploi ? I Marché du travail et emploi La segmentation du

fort profit + faible salaire ↗investissement ↘chômage NAWRU ↘ profit ralentissement … * MINSKY s’appuie sur les variations du crédit. 3. Mais les fluctuations peuvent également résulter de chocs exogènes * Pour les néoclassiques le cycle est la conséquence de perturbation exogène : * Pour LUCAS (NEC) l’information imparfaite après un choc monétaire conduit à des arbitrages inter temporels à l’origine des fluctuations et du chômage volontaire. * Pour l’école des cycles réels