La Pyramide Feodo Vassalique

des Vassaux (des serviteurs, des guerriers) prêt à se battre pour lui en échange d’une protection mais aussi d’une sorte de salaire payé en terres, en biens fonciers. Cette vassalité se généralise après l’effondrement de l’état. On a n contrat féodo-vassalique entre deux hommes : le seigneur et un jeune guerrier : le vassal qui cherche à intégrer une armée en tant que chevalier. Il va passer par une cérémonie ou le chevalier prête serment au seigneur : Le jeune guerrier d’agenouille devant le seigneur

d'ordre judiciaire Le pouvoir législatif Les droits d'ordre militaire Les droits fiscaux et économiques Les impôts directs Les impôts indirects Les autres droits seigneuriaux Les relations féodo-vassaliques Le lien personnel: la vassalité a) La formation du contrat de vassalité. L'hommage, rite païen Le serment de fidélité (ou la foi): le rite chrétien b) Les obligations nées du contrat de vassalité. Des obligations quasi illimitées:

petites affaires en générale, il a un droit de correction comme le maraudages. § II : Les liens féodo-vassaliques Cette solidarité exprime la nécessitait de commander un groupe de fidèle. Celui qui a le pouvoir doit avoir un groupe de fidèles sur lesquelles comptait. Se développe un engagement entre le seigneur et le vassal. Cet engagement est scellé par un contrat. Le contrat vassalique. A. Le contrat vassalique (cf. le service d’ost) Ce contrat détermine une hiérarchie. La hiérarchie féodale (date des

donc au Moyen Âge synonyme de chrétienté latine et s'étend de façon remarquable grâce à l'action des missionnaires et des croisés, avant de conquérir des mondes nouveaux, avec les grandes découvertes du XVIe siècle. Le système social constitue une pyramide, au pied de laquelle se trouvent les paysans qui représentent 90% de la population et au sommet le roi. On distingue deux branches : la féodalité et le clergé. Sur ces branches, le prince et l'évêque sont au même rang. Dessous se trouvent les nobles

révolution. « La monarchie absolue est la monarchie pure, mais elle est possible là seulement où la plupart des questions d’intérêts publics ne sont pas de la compétence de l’Etat et relèvent de corps organisés et hiérarchisés formant d’une manière une pyramide dont le souverain occupe le fait. Il est alors nécessaire que celui-ci soit absolu, car pour maintenir l’union et l’harmonie entre les corps intermédiaires, pour défendre l’individu de l’oppression des puissants et de la pression des collectivités

regales : des vassaux royaux qui prêtent un serment de type commendatio qui engage à la fois le vassal et le seigneur. Le vassal doit fidélité et dévouement à son seigneur, qui en retour lui doit soutient et protection. Il se constitue alors une pyramide de fidélité qui converge vers le Prince. Section 2 : Droit et justice sous les Carolingiens §1. Les capitulaires carolingiens L’évolution des Carolingien et des Mérovingiens est aussi sensible à travers le Droit. Les Carolingiens ont beaucoup légiféré

toujours de manière similaire. Les religions conventionnés ont souvent moins accès au support que ce soit qualitativement et quantitativement comparé à la religion catholique. C’est comme une pyramide où l’on trouve au sommet la religion catholique puis les religions conventionnées et en bas de la pyramide on trouve les religions non conventionnées. L’intérêt pour les religions conventionnées de se faire enregistrer est qu’au terme de cet enregistrement, elles pourront bénéficier d’avantage tel un

pas complètement l’égalité religieuse. Dans ces pays le statut des cultes se présente en trois niveaux : en haut l’Eglise catholique, au milieu les relions conventionnés et en bas de la pyramide, les relations confessionnaux non conventionnés. Pour ces dernières, tout ce qui se trouve en bas de la pyramide, les différents droits nationaux ont dégagé des procédures d’enregistrement, de reconnaissance en fait. L’intérêt pour ces religions est qu’au terme de cette enregistrement elles pourront bénéficier

carolingiennes 226 Paragraphe 2. Les sources du droit : les capitulaires impériaux 230 Chapitre II. La féodalité ( IXème – XII ème siècles ) 235 Section I. Les seigneuries 236 Paragraphe 1. Les relations féodo-vassaliques 236 Paragraphe 2. La seigneurie banale 240 Paragraphe 3. La seigneurie domaniale 242 Section II. La société féodale 244 Paragraphe 1. Les orantes ou « priants » 244 Paragraphe 2. Les

mode de pensée reste naturaliste, mais le basculement ne se fait pas en un jour. Il y a une évolution. Celle ci porte sur le passage d'un Roi suzerain à un Roi souverain. Un Roi suzerain est l'idée que le royaume peut être assimilé à une pyramide féodo-vassalique, où chaque seigneur a des vassaux, et chaque seigneur est le vassal d'un seigneur plus important. Au bas de l'échelle, le sujet qui n'a pas de vassal. Au sommet, il y a le Roi, qui est suzerain, il est le seigneur de tout le monde et n'est