La Raison Gouverner Action Humaine

0. INTRODUCTION GÉNÉRALE 0.1. Problématique L’homme, à en croire Aristote, est un animal social, et donc condamné à vivre dans la société qui, d’après Hannah Arendt, conditionne toutes les actions humaines. Si la société est une nécessité à laquelle l’homme ne peut échapper, elle n’est pas pour autant immédiatement ordonnée et régulée de sorte que tous oeuvrent dans la même direction et pour le bien commun. C’est justement ce désordre ou, comme disait Kant, cette « insociable sociabilité »

des actes) mais aussi enjeu théorique (si tout dans la nature est déterminisme, alors il n'y a qu'un type de science ; si en revanche on admet une liberté humaine dans le déterminisme du monde, on ouvre la distinction entre d'un côté les sciences de la nature (sciences de la nécessité : physique, maths, biologie) et d'un autre les sciences humaines (histoire, sociologie, psychologie, anthropologie, ethnologie) on peut faire de notre liberté une expérience intérieure évidente - on ne juge pas

nous vraiment libres ? Ce sujet nous pose le problème de la notion d’inconscient et de la place qu’il prend dans nos actions. En effet si l’on accorde de l’importance à la part d’inconscient qu’il existe en nous, alors nous pouvons imaginer que nous ne sommes pas responsables de nos actes. Cependant l’homme est d’abord considéré comme un être libre, qui se gouverne selon sa raison, en l’absence de tout déterminisme. L’inconscient est il vraiment incompatible avec la liberté ? Est qu’il contredit

juger (le réel) Finalité Art Faculté de désirer la faculté de désirer est une faculté proprement humaine, puisqu'elle transcende les tendances naturelles de l'homme et lui permet de se gouverner librement, Raison (le nécessaire) But ultime LibertéLa production littéraire de Kant s'étend sur un 50 en d’années (1749-1799). Il avait déjà des travaux considérables lorsqu'il publia en 1781 La critique de la raison pure. Ce sont les Essais philosophiques de Hume qui “ le réveillent de son sommeil dogmatique”

On distingue les vertus morales des vertus intellectuelles, l'âme a deux grande parties; l'une, douée de raison, et l'autre qui en est privée: il faut encore considérer la partie raisonnable comme divisée en deux autres parties; l'une, capable de juger ou d'apprécier les choses nécessaires, et l'autre qui s'applique aux choses contingentes. Aristote ici parle de la prudence (la phronèsis) qui consiste a prendre les résolutions les plus conformes à note bonheur, en général. La prudence serait une

sociale, mais également humaine? Georges Vedel, professeur de droit, reconnu lui même la difficulté de cette tâche : « Voilà des semaines et même des mois que je sèche sur la question, pourtant si apparemment innocente ». De cette question (« Qu’est-ce que le droit? ») découlent différents points de vue, des définitions variables selon plusieurs critères : âge, milieu social d’origine… Le droit, comme dit précédemment, est une science sociale voire même une science humaine. En ce sens, le droit trouve

vont gouverner l'odre normatif. §1- La place des fondements religueux Droit ne peut pas etre constitué sans faire appel à des fondements religueux. LE mvt de la pensée juridiq moderne vise à fonder le droit sur la raison et la volonté humaine. Enraciner le droit sdans le seul etre humain. Dans pensée méd : c'est du coté des universités qu'il faut chercher les fondements de la pensée juridique. Pour trouver la légitimité des règles. Nécessaire référence à un fondement ext à letre humain. Ce pcp

essayer de contempler cet objet. Cette contemplation va se faire par la raison, la réflexion. Il pourra ainsi voir l’objet duquel il ne voyait que l’ombre et par la suite se demander qu’elle fût la source de lumière. Ce qui est primordiale pour cette personne c’est qu’elle continue sur cette voie de la raison, qu’elle continue à avancer. Pour cela il faut qu’elle se remette constamment en question et ne se fie plus qu’à sa raison. C’est ce que nous montre l’allégorie de la caverne écrite par Platon

Les Idées sont réelles et absolues : l'Idée du Bien, l'Idée du Juste. En Morale, l'Idéal à atteindre est le Bien. Dans l'État, le Bien c'est le Droit et la Justice. Cet Idéal qu’il faut rejoindre est rendu atteignable grâce à l’État, qui est gouverné par des individus qui sont aptes à y guider les autres hommes. Il s’agit du « gouvernement des magistrats-philosophes » que Platon présente, notamment, dans La République. b. Le Droit, définition Dans la conception de Platon, le Droit est

puissance abandonnée presque sans contrainte à ses instincts. L’égalité des conditions, aux États-Unis, est en effet l’immense résultat qui agit à son tour, comme cause générale, sur l’esprit public, sur les lois et les habitudes particulières des gouvernés. Or, l’auteur, reportant sa pensée vers notre hémisphère, un spectacle analogue à celui qu’offre le Nouveau-Monde lui inspire une sorte de religieuse terreur. Partout on voit les divers incidens de la vie des peuples tourner au profit d’une semblable