La Raison Gouverner Action Humaine

conception plus large de la politique, on peut l’appréhender comme la science du pouvoir, l’approche de Weber par ex, qui considère que toutes les relations de pouvoirs, dominant/dominé sont de nature politique. Relève du pouvoir entre gouvernant/gouverné. Ce qui fait que la politique serait donc l’activité de ceux qui exercent ce pouvoir institutionnalisé, ce pouvoir exercé au nom de l’état, de ceux qui détiennent au nom du pouvoir le monopole de la coercition. La politique étant l’activité sociale

intervient ; l’Etat 2e PARTIE : La manière dont les pouvoirs publics prennent des décisions qui s’imposent aux gouvernés. Examiner le fonctionnement d’un pouvoir c’est s’intéresser aux régimes politiques. 3e PARTIE : Les différents acteurs de la vie publique, susceptibles d’intervenir dans la société. 4e PARTIE : La participation politique, susceptible de donner aux gouvernés une influence sur le fonctionnement du système politique. 1e PARTIE : Le pouvoir politique et l’Etat Section

dont la liberté humaine est la cause.   A-L’éminence de la volonté et de l’intelligence humaines. La partie ascendante de la réflexion atteint son point culminant avec la place éminente de l’homme dans la nature, mais trouve là une 1ère épreuve de la contradiction qui la forcera à en redescendre pour rejoindre l’expérience intérieure de la contradiction due aux passions, au dualisme de la nature humaine. Le tableau de l’ordre de la nature culmine d’abord dans l’espèce humaine : si le moi, fort

peut s’entendre dans un sens subjectif, dans cette logique celui-ci est la faculté qu’a un individu, ou une personne morale d’accomplir certaines actions. Pour un individu c’est la possibilité de circuler librement, exercer son droit de vote, agir en justice. Dans un sens objectif, on peut définir le droit comme l’ensemble des règles de conduite humaines éditées et sanctionnées par l’Etat, et destiné à faire régner l’autorité dans les relations sociales, ainsi que la liberté. Le droit c’est l’ensemble

Machiavel, plus complexe, parvient, en redéfinissant le statut des faits, et en s'appuyant sur les exemples anciens et modernes, à une nouvelle manière d'articuler morale et politique autour de la notion de "virtù". Selon Machiavel, "Le Prince a toujours raison tant qu'il réussit". Grâce à sa pensée, Nicolas Machiavel a influencé la majeure partie de la philosophie politique ultérieure. Pour Machiavel, la politique se caractérise par le mouvement, par le conflit et des ruptures violentes. Afin de prendre

toujours dans l’idée d’apparence et non dans la réalité. De plus, il accentue le fait que la société est corrompu et dirigé par un petit nombre de personnes qui légitime leur rang par la justice et la raison (ligne 11 on doit juger de la considération qui leur est dues selon la justice et la raison) On retrouve aussi l’idée récurrente, qu’un « petit nombre » (ligne 7) de personnes ont des avantages au détriment de le « multitude » (ligne 7), du plus grand nombre. La société est considérée par

politique. Pour les philosophes la notion de pouvoir est lié à la notion de commandement. Le pouvoir est assimilé à l’état = personne moral seul détenteur du pouvoir politique. Maurice Hauriou : le pouvoir suppose qu’il y est un groupe humain à gouverner. Le pouvoir a un rôle pacificateur quand conflit dans une société. → Donc pas de société sans pouvoir. Robert Dahl : le pouvoir d’une personne A sur une personne B. Selon l’approche politique et juridique le pouvoir est = à la puissance

étudiera la première partie relative aux relations entre le pouvoir politique et le cadre dans lequel il s’exerce : l’Etat. Dans un deuxième temps, on s’intéressera à la manière dont les pouvoirs politiques prennent des décisions qui s’imposent aux gouvernés. Il ne s’agit pas de reprendre les règles formelles organisationnelles du cours de droit constitutionnel. Il s’agit simplement de voir comment ces relations s’exercent. C’est une observation du réel. Donc cette deuxième partie sera consacrée aux

elle questionne les champs de la métaphysique classique à travers l'Histoire. Il semble qu'aucune continuité dans le temps ne soit proposée et donc qu'il n'y ait humainement parlant ni passé ni futur. Elle parle du développement biologique de l'être humain et avec lui du devenir éternel du monde et des êtres vivants. C'est dans cette étude qu'Hanna Arendt tente de réécrire l'histoire intellectuelle de notre siècle non comme celle de générations successives dans laquelle l'historien respecte à la lettre

étudiera la première partie relative aux relations entre le pouvoir politique et le cadre dans lequel il intervient : l’Etat. Dans un deuxième temps, on s’intéressera à la manière dont les pouvoirs politiques prennent des décisions qui s’imposent aux gouvernés. Il ne s’agit pas de reprendre les règles formelles organisationnelles du cours de droit constitutionnel. Il s’agit simplement de voir comment ces relations s’exercent. C’est une observation du réel. Donc cette deuxième partie sera consacrée aux