La Raison Gouverner Action Humaine

d’une action se divise par plus que une conception. Premièrement, la motivation d’agir peut bel et bien être à la base de la moralité d’une action. Pour Hume, la raison est inerte au point de vue motivationnel, et pour lui, la loi morale ne peut pas être conduite par la raison, car nos idées et nos croyances ne peuvent pas motiver à agir. Cela voudrait dire que notre raison découle d’un sentiment ressentis, d’une passion unique a l’individu qui la ressent. Mais le problème est que la raison d’un

va essayer d’établir philosophie morale pure, expurgée d’empirisme ( obligation (loi) doit être trouvée ds concepts de la raison pure (à priori) pour avoir valeur morale. Besoin d’empirisme pour la rendre efficace. ( nécessité Métaphysique mœurs pour donner valeur morale aux lois (évite corruption) ; examiner idé et principes d’une volonté pure, non conditions du vouloir humain. ● Kant va chercher et établir le principe suprême de moralité PASSAGE DE LA CONNAISSANCE RATIONNELLE COMMUNE DE LA MORALITE

cette action est souvent une grande souffrance, et la mort est vue comme préférable à la vie. Cela peut aussi pour défendre des idées. Poser cette question sous-entend qu’il est possible que le choix n’existe pas. Le choix résulte de la décision d’un ou plusieurs individus confrontés à une situation offrant plusieurs options. Cette notion de choix renvoie à celles de libre arbitre et de volonté. La volonté désigne le plus souvent, la faculté d'exercer un libre choix gouverné par la raison, autrement

donne d'une telle moralité. Cependant, l'exigence d'efficacité de l'action politique est-elle compatible avec le respect de la loi morale ? Là encore la conception du rapport entre politique et morale dépend de la conception que l'on a de la nature humaine, qu'elle soit plus ou moins optimiste. Se pose alors la question suivante : le politique est-il en droit de faire abstraction de la morale dans certaines situations ? Il nous faut définir la notion de théorie , ce qui relève de la pure

bonnes raisons ai-je de lui obéir ? (Voir cours le Droit : même problématique) II LA LEGITIMITE DE L’ETAT A . La légitimité par la Religion . L’Etat (comme le Droit) a souvent reçu la caution de l’autorité religieuse : cas de l’ancien régime en France : le roi , investi par le pouvoir religieux (sacré à Reims), était conçu comme le ministre de Dieu sur terre. ainsi il n’était plus tout à fait hommeè la politique et l’histoire étaient retirées de la sphère humaine. ètout

contraignant même si les ressorts psychologiques sont très importants. Dans les sociétés primitives, le pouvoir a des origines magiques plutôt que matérielles. Dans les sociétès contemporaines, les gouvernants réussissent souvent à conduire les gouvernés simplement parce qu’ils les ont convaincus qu’ils devaient en être ainsi. En d’autres termes, le poids de la tradition, la croyance en la légitimité des gouvernants, le sentiment de l’impossibilité ou de l’inutilité d’un renversement de l’ordre établi

l’art de régler les affaires de la Cité, diriger les affaires de l’Etat, l’art de gouverner. La politique est saisie par le droit public et privé. En effet, le fonctionnement du système politique dépend des mécanismes juridiques. Dans de nombreux états il y a une loi fondamentale = Une Constitution. La constitution du 4 Octobre 58’ contient des règles, des normes relatives à la vie politique Française. Toute action politique doit respecter la norme préétablie. Elles doivent s’exercer dans le cadre

sur la raison. Chaque être a une nature qui est intérieure (essence) et une fin qui est sa nature réalisée. La loi naturelle c'est la mise en rapport de la nature avec sa fin: elle assure la présence de la forme. Selon Thomas, le principe premier de l'agir humain c'est la raison, qui est la règle et la mesure des actes humains. Car l'homme ne peut agir en être intelligent sans la conduite de la raison. D'autre part, la rèqle des actes humains c'est la loi. Donc la loi se trouve dans la raison: elle

fondée sur la raison d'État. Nous allons étudier un extrait tiré du chapitre 18 du « Prince » de Machiavel né en 1469 et mort en 1527. Il est l’auteur de deux grands ouvrages, « Le Prince » et le « Discours sur la première décade du tite live ». « Le Prince » fut écrit en 1513. C’est une réflexion sur l’acte fondateur d‘une société, ses contradictions et ses conditions de possibilité sous la forme d’un discours narratif. Pour répondre à la problématique : En quoi la nature humaine est-elle à l’origine

la vraie Philosophie a pris possession de l'esprit, la superstition en est effectivement exclue, et l'on peut justement affirmer que son triomphe sur cet ennemi est plus total que sur la plupart des vices et des imperfections inhérents à la nature humaine. David Hume, Essai sur le suicide (1777) 4 L'amour ou la colère, l'ambition ou l'avarice, prennent racine dans l'humeur et l'affection, que le plus sûr des raisonnements n'est quasiment jamais en mesure de corriger, mais, la superstition