La Raison Permet De Juger Les Croyance

LA RAISON et LA MORALE I) - Définitions et caractères de la raison 1) La raison, définition et procédés Le mot « raison » vient du latin « ratio » qui signifie « calcul », puis faculté de calculer, de juger… ; ce mot a pris deux significations : - faculté de l’homme qui permet le jugement, l’explication, le raisonnement - cause, c'est-à-dire que la raison d’une chose, d’un évènement est découvert par la raison La raison établit des liaisons nécessaires entre

face à face des cultures et la question de la culture I) Le sens de la culture  : Conception classique et universalisme des Lumières 1) Le sens classique de la culture 2) L'universalisme rationaliste des Lumières a) L'unité de l'humanité et la raison b) Culture, civilisation et progrès 3) Les difficultés du modèle des Lumières  : logique évolutionniste et ethnocentrisme II) Le sens de la culture : Conception anthropologique et relativisme culturel 1) L'approche des sciences humaines a) Culture

Plutôt que de l'affronter, quand une découverte remet en cause un point particulier de son enseignement, elle préfère biaiser, reculer et, finalement, corriger le dogme. » Dit Gérard Bonnot in La vie c'est autre chose, 1976 ; voici une citation qui permet d’introduire cette problématique aux temps modernes qui regorgent de « Scientifiquement Prouvé » sur nos emballages. L’homme est irrémédiablement tourmenté entre le choix de ce qu'il qualifie de scientifique, c'est-à-dire de vérifié, juste, et ce

protagoniste. II) Le libertinage religieux de Don Juan :  c’est un libertin donc refuse de croire au surnaturel et ne veut être dirigé que par la raison  incrédulité en matière religieuse  préfère laisser le sermonneur s’empêtrer dans sa démonstration  croit à ce qu’il voit  accorde son crédit qu’aux choses qui peuvent être vérifiées par la raison : « Votre religion, à ce que je vois, est donc l’arithmétique ? »  rejoint l’idée du philosophe Descartes  rationalisme débouche sur un matérialisme

et ce qu’il doit éviter. Le texte présentant une argumentation serrée et complexe, nous l’étudierons sous forme de lecture linéaire, après en avoir préalablement dégagé le schéma argumentatif général. 1) Composition du texte : La typographie permet de distinguer sept paragraphes. On note à deux reprises des points de suspension entre crochets qui indiquent des coupures effectuées dans le texte.Le connecteur logique de conséquence « donc » apparaît à deux reprises dans le texte, en tête du 4°

pour l’auteur un philosophe, et ce qu’il doit éviter. Le texte présentant une argumentation serrée et complexe, nous l’étudierons sous forme de lecture linéaire, après en avoir préalablement dégagé le schéma argumentatif général. La typographie permet de distinguer sept paragraphes. On note à deux reprises des points de suspension entre crochets qui indiquent des {text:soft-page-break} coupures effectuées dans le texte. Le connecteur logique de conséquence « donc » apparaît à deux reprises dans

DÉTAILLÉE DU CONTENU DES DEUX PRÉFACES DE LA CRITIQUE DE LA RAISON PURE 30 OCTOBRE 2011 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION………………………………………………….....…………1 1. Contexte et importance des deux préfaces..........................………..….2 1.1. L’importance des deux préfaces………………………………...2 1.2. Contexte de la première édition de la Critique de la raison pure………………………………………………………………………2 1.3. Contexte de la deuxième édition de la Critique de la raison pure................................................

comprendre d’une personne qu’il juge très éloignée de son environnement culturel, aussi s’efforce-t-il de « lui parler de choses qui lui [so]nt connues ». Il essaie derépondre clairement aux questions qui lui sont posées. Il fait donc preuve de pédagogie et permet ainsi à l’échange de se développer. Il se prend au jeu de la discussion qui s’ensuit en essayant de persuader son interlocuteur. Au final, il veut rester le rapporteur de ce que « sommairement et au vrai » il a « ouï ». En témoin fidèle qui reconnaît

une certaine distanciation par rapport à ce sur quoi elle porte, c’est-à-dire son objet. On parle en ce sens de « conscience psychologique ». Mais par ailleurs, en se distanciant des objets sur lesquels elle porte, la conscience peut justement les juger, les évaluer, elle peut évaluer ce qui est, c’est-à-dire les faits d’après ce qui doit être, c’est-à-dire les valeurs. En ce sens on parle de « conscience morale ». Vous voyez donc que la notion de conscience implique deux grands sens qui sont intimement

Loi : - loi humaine (politique, morale, discipline) * Loi de la nature (physique, biologique) 3 enjeux de la nature de l’homme : 1/ l’homme est strictement naturel, prévisible donc pas libre, régit aux lois naturelles 2/ pour juger moralement il faut que l’auteur de l’acte soit libre. condition de possibilité de la morale : la liberté 3/ hypothèse : si l’homme n’obéit pas aux lois naturelles = pas de liberté absolue mais si l’homme connait et maitrise les lois qui le gouverne