La Raison Permet De Juger Les Croyance

expressive développe le respect mutuel, la reconnaissance de l’égale dignité de l’autre dans sa différence comme dans sa ressemblance. La parole pragmatique permet d’acquérir le sens de l’égalité dans l’action, dans la prise de décision et la réalisation de projets. La parole critique enfin confirme et assure le droit inaliénable de chacun à juger des affaires communes, à apprécier les opinions et les conduites des autres comme les siennes. Et pourtant cette égalité demeure fragile, et dans chacune

Le rêve et la réalité Rien n’est plus frappant que la ressemblance du rêve avec les perceptions de la veille. Nous voyons, dans nos rêves, des objets, des personnes, des évènemens identiques à ceux de la veille. La croyance à la réalité de ces objets, de ces personnes, de ces évènemens, est aussi absolue que pendant la veille. On ne saurait trop insister sur ce point : la sensation du réel est aussi complète, aussi intense. Les émotions sont aussi profondes et aussi vives ; les joies ont souvent

normatifs qui agissent chacun sur les comportements sociaux des individus. En effet, si le Droit est un système de normes juridiques qui régit les relations entre individus dans toute société, la Religion est aussi un système normatif qui naît de croyances et se concrétise notamment dans des pratiques cultuelles particulières. La tension entre ces deux systèmes normatifs, qui ont pour terrain commun l’individu et son action sociale, est alors évidente. Il paraît pertinent d’analyser les rapports du

celle définie par nos coutumes culturelles. Et en effet, avant d’être français, allemand ou vietnamien, ne sommes-nous pas des hommes appartenant à la même espèce ? C’est vrai. Mais cette référence à la nature de l’homme est problématique pour deux raisons. D’une part, l’homme originel (naturel) est introuvable. Tout individu de l’espèce ne devient homme que par une éducation particulière qui fera de lui un français, un allemand ou un vietnamien. D’autre part, le risque porte sur l’usage que l’on

Philosophie : «La philosophie nous permet-elle de mieux vivre? » INTRODUCTION ●La philosophie, née de l'Antiquité, est basée sur un questionnement systématique de l'Homme sur les différents concepts qui l'entourent tout au long de sa vie : l'existence, la mort, la connaissance, le langage et la communication, l'inconscient, la liberté, l'art, le désir...autant de sujets qui provoquent chez certains des interrogations auxquelles des réponses sont recherchées. Ainsi comme le bucheron fabrique

morale de chaque individu est l'intériorisation des contraintes institutionnelles par l'individu. La morale désigne l’ensemble des attitudes humaines en rapport avec les mœurs en vigueur dans une société. La conscience morale est ce qui nous permet de juger nos actions et celles des autres comme bonnes ou mauvaises. Elle fait donc partie de l’individu, elle nous est « intérieur », à tel point que beaucoup de penseurs la comparent à une voix. Rousseau s’exclame ainsi « Conscience ! Conscience ! Instinct

premier janvier, des milliers de belges lancent encore leurs yeux sur les caractères noirs, serrés, que quelques gouttes de pluie ont fait baver, du journal. L’année nouvelle apporte son lot de bonnes nouvelles : pour les buveurs : Monique Haakensen permet aux brasseurs de commercialiser leurs bières illico grâce à la PCR ; pour les buveurs d’eau : des astrophysiciens découvrent des molécules d’eau à onze milliards d’années d’ici ; et pour boire en se faisant plaisir, des chercheurs ont inventé un nouveau

LE SIECLE DES LUMIERES Introduction : Le courant de pensée qui se développe en Europe au XVIIIe siècle doit son nom à la métaphore des «lumières de la raison», qui dissipent les ténèbres de l'obscurantisme. La philosophie des Lumières ne constitue pas un système de pensée élaboré par un seul auteur de référence mais un mouvement qui regroupe des intellectuels de formations diverses et partageant des valeurs communes. Les collaborateurs de l’Encyclopédie viennent de tous les horizons : d’Alembert

destine ces compositions à un simple plaisir humain. -Elle veut transformer l'espace politique : il y a séparation du temporel et spirituel. Il y a communication aux souverains des résultats des auteurs de recherche. Cela cultive l'autonomie de la raison du souverain et préserve la soumission du peuple. Mais cela amène aussi deux principes : tout pouvoir est dans le peuple et la liberté de l'individu face à tout pouvoir. -il y a par ailleurs une tendance vers la laïcité de la société : chaque administration

savoir. Ce n'est pas une connaissance authentique car elle ne s'applique que sur des hyp. , faits non vérifiés, des idées reçues, préjugés car elle ignore les démonstrations. Elle est le résultat du conditionnement de l'individu et fait appel non à la raison ou très peu mais bp aux automatismes et à l'affectivité. CONCLUSION PARTIELLE : Non seulement "avoir des opinions" n'implique pas nécessairement le fait de penser mais ds la plupart des cas "avoir des opinions" implique faire l'économie de la pensée