La Raison Peut Elle Vouloir La Violence

Peut-on juger les opinions ? Une opinion est une croyance, c’est à dire une idée que l’on tient pour vraie, juste ou bonne sans que l’on puisse en fournir de preuve suffisante : elle exprime un jugement personnel ou collectif subjectif peu ou pas argumenté ou dont l’argumentation apparaît rationnellement fautive. En cela toute opinion est en droit critiquable ; c’est même un des rôles principaux de la réflexion philosophique de remettre en question la valeur des opinions, particulièrement celles

rapports ? N’existe-t-il pas des relations humaines tant soit peu harmonieuses, non conflictuelles ? Si tel est le cas, quelles sont ces relations ? Comment, dès lors, réguler ou éviter les liens dysharmonieux ? Il s’agit donc de se demander si l’on peut passer du constat « les conflits quotidiens avec autrui sont fréquents » à l’affirmation générale, ayant valeur de loi, « ces conflits sont définitivement nécessaires ». Autrement dit, le conflit est-il l’essence du rapport à autrui? Si nos rapports

le résultat de la première phrase entraine la seconde, et ainsi de suite. Cela fait évidemment penser au système d’implication, très utilisé en mathématique dans la plupart des démonstrations. « Rien n’est aussi dangereux que la certitude d’avoir raison. » Toute la réflexion de François Jacob découle de cette première affirmation. Ce constat, c’est l’auteur lui-même qui l’observe, et il va ensuite, à travers son texte, tacher d’argumenter dans ce sens. Sa thèse est la suivante : il ne faut pas que

progrès que pouvaient nous apporter les sciences. Pour la première fois, l’idée d’un progrès de l’humanité ne s’appuyait plus sur des croyances religieuses, comme celle de l’avènement proche de la Cité de Dieu, mais sur une foi dans l’homme, dans sa raison et dans le pouvoir de la technique de changer radicalement la vie humaine. Le sens de l’Histoire était celui du progrès scientifique et technique. Nous avons aujourd’hui beaucoup perdu de cet enthousiasme. A l’entrée du troisième millénaire

une impression d’angoisse et de violence qui a d’emblée choqué le public contemporain de Zola, et qui continue à nous heurter, malgré l’habitude que nous avons des films d’horreur et des images atroces. ». C’est l’une des premières phrases de la préface de La Bête humaine, œuvre d’Emile Zola publiée en 1890. Ce roman du crime qui clos la série des Rougon Macquart nous dresse un portrait angoissant représentatif de la société du XIXème siècle entre progrès et violence. Zola fait de l’homme l’auteur

51 25. La perception (L) ............................................................................................... 54 26. La politique (L - ES - S) .................................................................................... 55 27. La raison (L - ES - S - Techn.) .......................................................................... 57 28. Le réel (L - ES - S) ............................................................................................ 59 29. La religion (L - ES -

morale (ou raison , bonheur) 3. (sur le plan politique) : Le devoir Développement de ces trois raisons : Idée 1. (formulation de la 1er raison)Définition(s) (des mots clefs) | L’homme même s’il croit être libre, ses volontés sont en fait déterminées par des causes, comme n’importe quel phénomène naturel. La liberté s’oppose à la contrainte : l’obstacle extérieur, mais aussi la loi naturelle, la nécessité. La contrainte est ce qui crée la non-correspondance entre notre vouloir et notre pouvoir

sur la controverse, on lui donna des doutes qu’il n’avait pas, et on lui apprit le mal qu’il ignorait […]. » p. 45 « à la merci de ses tyrans, il se vit traiter en criminel pour n’avoir pas voulu céder au crime » p. 45 « la première épreuve de la violence et de l’injustice irrite un jeune cœur sans expérience » p. 46 A propos du vicaire « son bon naturel » p. 47 « L’oubli de toute religion conduit à l’oubli des devoirs de l’homme » p. 47 à propos du prosélyte « Le mal, presque inévitable, n’était

groupe que l’on traite avec violence, mépris ou indignité. Cela implique un rapport de pouvoir ou domination entre l’auteur et la victime, la maltraitance a pour conséquence des séquelles durables sur la santé non seulement physique mais également psychique.  Les personnes les plus touchées : les enfants, les femmes, les personnes âgées, les handicapées. La Maltraitance des enfants :  Violence physique (coups)  Sévices sexuels, ou exposer l’enfant à des violences entre partenaire  Négligence

LA PERCEPTION Y a-t-il quelque chose de vrai dans la sensation ? Puis-je faire confiance à mes sens? La perception peut-elle s'éduquer ? RAISON ET RÉEL Comment peut-on savoir que l'on a raison ? Que peut la raison pour exclure la violence ? Notre connaissance du réel se limite-t-elle au savoir scientifique ? THÉORIES ET EXPÉRIENCES Peut-on connaître ce dont on n'a pas l'expérience ? Les théories simplifient-elles l'expérience ? A quoi servent les sciences ? Dans quelle mesure une