La Recherche de l'absolu

LE SUJET : LE DÉSIR Introduction : Le désir : composante essentielle de la nature humaine on pourrait définir l’homme par le désir. Spinoza : « le désir est l’essence même de l’homme ». Le désir : recherche d’1 satisfact° à travers la possession ou la réalisation de qq’chose. Plaisir semble être le but ultime du désir. Caractéristique du désir : être insatiable = à peine satisfait il renait sous une autre forme. Ambiguité du désir : - puissance destructrice= condamne l’homme à la violence/folie

est alors aussi comprise comme une exploration de soi-même. Cette deuxième approche va souligner l’importance d’un amour pour l’absolu. Toutefois cette approche n’a-t-elle pas des limites ? L’amour de l’absolu n’est-il pas abstrait ? L’amour de l’absolu ne mène-t-il pas à négliger l’amour pour l’humanité ? Cet amour qui va de soi à l’absolu, n’est-il pas d’abord la recherche d’un amour personnel, subtilement égocentrique ? Ces deux étymologies nous amènent à une tension au sein même de la religion

nouvelle définition de la raison. · Une nouvelle définition de la nature. · Une nouvelle définition de l’homme. · Une nouvelle définition de l’Histoire comme processus dialectique universel · Une définition positive de l’absolu a. Une nouvelle définition de la Raison : Nous l’avons vu, elle n’est plus, comme chez Platon, l’unité stable de l’âme universelle. L’universel lui-même n’est plus considéré comme quelque chose d’immuable : l’universel est quelque chose

idylle: ils sont, à leur insu, impliqués dans un jeu d'intrigues qui les éloigne l’un de l’autre. L'amour unissant Bérénice et Aurélien est partagé mais pas entier, puisque Bérénice émet quelques réserves, doutant de ne pouvoir satisfaire son « goût de l'absolu » chez Aurélien, homme plus distrait. Séparés pendant dix-sept ans, ils éprouvent, l’un et l’autre, une profonde nostalgie pour cet amour malheureux. Enfin, le hasard les réunit pendant la Seconde Guerre Mondiale, mais lors d’une promenade en voiture

lien avec l'esthétique. Elle condamne l'art, ou la vérité serait mépriser au profit du sensible. Car l'art est considérer comme pur contemplation qui n'est pas compréhension, l'art émane de l'absolu, du divin, l'art ne serait que la récréation du réél et non la vériter elle même, qui est le preme but de la recherche philosophique. 3) Quels sont les arguments avancés pour défendre l'idée reçut que l'art est un mystère impénétrable? "Je parle d'un art plus sacré, de celui qui, selon la formule des

« Socrate est le plus sage des hommes » Socrate n’y croit pas, parle avec des ‘savants’ et se rend compte qu’ils sont ignorants de leur propre ignorance (illusion). Illusion est la pire chose pour un philosophe car elle bloque toute tentative de recherche de la vérité. Socrate n’est pas sophos, il sait qu’il est ignorant « la seule chose que je sais est que je ne sais rien » Ignorance n’est pas péjoratif pour les philosophes (mais pour les sophistes, oui) Sagesse = prise de conscience d’être ignorant

fois en effet dans l’histoire de l’humanité que la pensée, à force de renoncements successifs et douloureux à toutes ces sécurités sur lesquelles elle s’appuyait jusqu’alors, fait aujourd’hui face au gouffre. Comme l’avait résumé Asche à propos de recherches récentes dans le domaine épistémologique: Asche a écrit: ce que Dennett tente de démonter : l'impression que les perceptions sont des "données brutes", des "faits", "ce qui est", est une illusion, les perceptions sont sémantiques ! Elles n'ont

et de ses attitudes. La phrase au présen t de vérité générale : « ces pensées qui creusent également l’âme et le corps » montre bien que l’art du portrait n’est pas pure ment à visée ornementale ou documentaire mais participe de la recherche de l’absolu , qui sera d’ailleurs le titre d’une autre nouvelle de Balzac. Le double regard du jeune homme et du narrateur, Ba lzac, (qui ne semble pas omniscient ici) ne parvient pas à déchiffrer l’énigme incarnée par le vieillard. Les ressources

ne pouvons pas faire aujourd'hui pour cause de manque de moyens. Mais il affirme bien que nous aurons tout fait, dans notre temps, tout ce qui était possible pour trouver la vérité. Il pense que c'est le seul moyen de parvenir à cette vérité, la recherche jusqu'au maximum de nos capacités humaines. Mais alors, une vérité peut-être réellement être prouvée et sure ? En second plan, il trouve étonnant que les humains soient d'accord sur une opinion seulement grâce à la discussion mais il trouve encore

ou quelqu’un pour pouvoir l’expliquer, le rendre concret, on dit par exemple : « Dans l’absolu, cette personne est très gentille » - ce qui veut dire : « Si on ne la compare à aucune autre personne, elle est très gentille ; mais si on la compare, alors elle ne l’est peut-être pas ! ». En disant « dans l’absolu », on ne fait aucune relation entre cette personne et qui que ce soit. On est dans le domaine de l’absolu, même dans un cas aussi précis et aussi concret. L’_absolu_, c’est ce dont l’existence