La Relation Auteur Lecteur

Introduction Dans « Épigraphe pour un livre condamné », premier poème des Fleurs du Mal, Baudelaire écrit : « Lecteur, […] lis-moi pour apprendre à m’aimer ; […] sinon je te maudis ! » Devant cette malédiction, le lecteur doit se demander comment il doit « comprendre » l’auteur : par sa vie ou par son oeuvre ? par sa biographie ou par ses écrits ? Tout élève de première le sait : l’explication de texte ou la lecture d’une oeuvre intégrale au lycée est presque toujours précédée d’un « point

attraction incontournable pour la lecture et, surtout pour la littérature. Bachelard évoque cet échange entre auteurs et lecteurs dans La Poétique de l’espace lorsqu’il écrit : « tout lecteur, un peu passionné de lecture, nourrit et refoule, par la lecture, un désir d’être écrivain… Il semble que la joie de lire soit le reflet de la joie d’écriture comme si le lecteur était le fantôme de l’écrivain. » (p.9-10) C’est en réfléchissant sur l’acte de lecture dans l’histoire qu’on

seul et même auteur, est un mélange de chants d'amour des XVIe XVIIe et XVIIIe siècles. Les poèmes présents sont « Marie, vous avez la joue aussi vermeille » de Pierre de Ronsard, « Chère Isis, tes beautés ont troublé la nature » de Théophile de Viau, « Les cheveux d'amaranthe » de Pierre de marbeuf, « A vénus » de Joachim du bellay, « Clarisse » de François-René de Chateaubriand et «Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance » de Philippe Desportes.  Ceux-ci écrits par des auteurs exprimant tous

que se pose son lecteur, mais il y répond dès les premières lignes, et instaure ainsi une relation originale avec le narrataire. En effet, ce commencement de roman propose une transformation des éléments traditionnels de l'incipit. Si ces derniers permettent communément d'introduire une histoire dans un contexte en présentant le cadre spatio-temporel et en donnant des informations de base comme le lieu, l'année, le temps et les comportements des personnages afin que le lecteur dispose de suffisamment

d’Alcofribas Nasier », Rabelais 1534, 2nd roman de R, après Pantagruel : ø ordre chronologique Q° de la parole du narrateur : dit-il toujours la vérité ? Captatio benevolentia : proximité du lecteur : « tu », complicité d’ivrognerie, « mes bons disciples », « mes amours » => comique => connivence avec le lecteur => « réjouissez-vous » annonce la futur lecture et interprétation Prologue d’un érudit : références culture antique (//Platon, Socrate, Homère, Ovide…) => 1ère ambiguitéDénonciation

05/03/13 FICHE DE LECTURE COLLEY Marie-LaureÊtre cadre dans l'action sociale et médico-sociale. Identités – Légitimités – Enjeux – FonctionsESF éditeur - 2ème édition 2007Bernard Dobiecki – Daniel GuaquèrePrésentation des auteurs. Bernard Dobiecki est psychosociologue et docteur en sociologie. Parmi ses autres ouvrages, nous pouvons citer Diriger une structure d'Action sociale aujourd'hui. Valoriser les ressources humaines , coll. « Actions

structurantes pour tout individu. Le corpus de récits proposé aborde le thème de l’expérience de jeunesse et son impact sur le rapport à la littérature. Ces quatre extraits de romans à caractère autobiographique relatent tous les premières rencontres des auteurs avec la lecture, dans des phases plus ou moins avancées de leur jeunesse. Le passage le plus ancien nous vient de Romain Gary extrait de son roman La Promesse de l’aube et parut en 1960 dans lequel l’auteur évoque sa passion dévorante pour la lecture

pouvons donc nous demander ce qu’est la création littéraire pour Chateaubriand. Est- ce que toutes les œuvres littéraires légitimes sont nécessairement intertextuelles ? Et enfin quel est le rapport entre les œuvres littéraires et la réception des lecteurs ? Quel est le mécanisme qui fait passer l’art à l’intérieur de notre culture ? Existe-t-il des œuvres anachroniques ? Nous tenterons de répondre à ces questions fondamentales en suivant l’articulation de la citation de Chateaubriand. Nous nous attacherons

Pelléas et Mélisande , Maeterlinck, 1893 À travers les siècles, l’amour, pour tous, tant pour les auteurs, que pour les personnes de la basse société, a su, depuis la création du monde, unir les Hommes. Parmi les auteurs qui ont en rendu compte, Alfred de Musset ou bien encore Voltaire, en passant par George Sand, les auteurs n’ont cessé de se réinventer afin de rendre, encore plus attractif, l’art qu’est l’Amour. Parmi les plus connus, Maurice Maeterlinck est

D’autres comme Le comte almaviva dans Le mariage de Figaro qui veut séduire Suzanne par un rendez-vous galant dans le parc du château mais celui-ci se fait trompé par Rosine car elle prend la place de Suzanne. Il y a donc une relation trompeur, trompé dans cette scène de séduction. Après cette scène de séduction classique, on peut observer