La Relation Auteur Lecteur

1La dissertationFiche de méthode n°1  : Qu’est-ce que l’argumentation ? Important  : 1. Cette fiche doit être mise en relation avec l’Objet d’étude II : La littérature d’idée du XVIe au XVIIIe siècle (L’Argumentation .)  : Les Caractères de La Bruyère, livres V à X/Parcours : La comédie sociale.

manière et dans quel but le jeu théâtrale transforme-t-il la relation entre maîtres et valets? Note: |Observations: | Des textes très différents peuvent défendre une même idée. Par exemple, les auteurs du XVIIème Siècle ont pu dénoncer les relations qui existent entre les maîtres et valets grâce aux théâtres. La coordination entre les mots maîtres et valets renvoie à la relation qu'ils entretiennent mais aussi à leur fonction dramatique

démarche : du côté de l’auteur, du texte ou du lecteur ? 1. Définitions 1. Définition a minima Jean Bellemin-Noël : le critique n’est pas n’importe quel lecteur. «  Le critique est ce lecteur qui écrit le résultat de sa lecture afin que d’autres, plus pressés ou moins disponibles pendant leur parcours du texte, trouvent occasion de lire autrement –sous entendu : un peu mieux, vers plus de richesse » Donc, plus encore que tout autre lecteur, il est à la fois séduit et frustré par l’œuvre ;

Lumières ». Il s’agit d’un des tout premiers auteurs à exposer dans ses œuvres des thèses dissertant sur l’égalité, la justice sociale, au sein d’une société élitiste et profondément contrastée. Jusqu’à sa mort, il publie neuf éditions des Caractères, en remaniant le texte et en ajoutant des caractères à chaque publication. Cette œuvre contient des maximes et décrit les caractères, les mœurs et l’injustice du sort du dix-septième siècle selon son auteur : la matière en est donc très clairement didactique

chez le lecteur. La question qui se pose est de chercher comment l'écriture romanesque parvient à "rendre sensible l'âme humaine". Pour cela, il conviendra dans un premier temps d'interroger la notion de héros. Puis, nous étudierons comment le processus d'identification induit par la lecture du roman est à l'origine de cette révélation de la diversité psychologique des êtres. Enfin, nous verrons que dans son évolution récente, le roman ouvre de nouvelles perspectives dans sa relation avec le

corporellement, mais aussi mentalement. C'est-à-dire avoir une imagination qui permette de nous épanouir et un esprit critique, afin d’être capable de penser par soi-même malgré l’influence de notre entourage. Gustave Flaubert, auteur du milieu du XIX siècle, met en relation ces deux termes. Ayant connu pendant son enfance en province une vie monotone, il s’est rapidement adonné à la littérature, qui lui évitait de s’ennuyer. Fort de cette expérience, il présente la lecture comme un acte capital pour

fonds documentaire et de ses emprunts. Dans cette perspective, le bibliothécaire, qui n'est pas un informaticien, a rédigé le texte suivant : Grâce à cette informatisation, un abonné(Lecteur) devra pouvoir retrouver un livre en connaissant son titre. Il doit aussi pouvoir connaître la liste des livres d'un auteur. Un abonné a le droit d'emprunter au maximum deux ouvrages simultanément. Les prêts sont accordés pour une durée de quinze jours. La gestion des prêts doit permettre de connaître, à tout

refléter, sur certains points, le lecteur, tel un miroir. Cependant, leur vertu s'étend au-delà de cette affirmation. Premièrement, nous ne pouvons écarter qu'elles ont également des avantages pour l'auteur lui-même, car il s'agit avant tout, d'une réflexion introspective et d'un moyen de se remémorer des souvenirs parfois enfuis au plus profond de notre esprit. Deuxièmement, ce type de travaux, en plus de cette identification à l'auteur, a de nombreux avantages pour le lecteur, tels que la morale et l'intérêt

pastiche, différents tons (humoristique, tragique, comique) et buts (parodique, ludique, satirique...) Elle recourt à des procédés tels que la transposition, l’expansion ou la réinterprétation. La parodie ou le pastiche créent une complicité avec le lecteur : la première détourne ouvertement le texte fondateur pour susciter le rire, parfois grinçant (Gotlib, texte 6) ; le second nécessite un excellente maîtrise du style de l’auteur initial, et a une visée humoristique (Pierre Gripari, texte 7). D’autre

qu'elles sont formulées habituellement " (p. 250) — avec cette particularité que les deux auteurs ne défendent pas, sur ces questions, des thèses communes, mais, chacun leur tour, des thèses antagonistes. L'originalité de L'Emprise des signes ne réside cependant pas seulement dans sa forme agonistique, mais aussi dans le fait que les grands problèmes de la théorie littéraire (comme l'auteur, l'interprétation, la relation des textes au monde, etc.) y sont abordés dans un effort pour répondre à la question