La Religion Contre La Modernité

Omar Khayyam et la poésie de langue arabe. Les romans de Amin Maalouf sont marqués par ses expériences de la guerre civile et de l’immigration. Ils sont caractérisés (entre autres) par des voyageurs ambulants entre les terres, les langues et les religions. Titre : Résumé : 1-Mon identité, mes appartenances : Dans ce chapitre l’auteur cite des exemples pour illustrer la complexité, parfois souriante, souvent tragique des mécanismes de l’identité. Il met en avance ses propres appartenances afin

son poème Les fiançailles à ce peintre et ami Éléments biographiques dans les lieux parcourus : • Voyage au bord du Rhin ◦ « Tout là-bas sur le Rhin » (Rhénane – La Loreley) • « Mai » = mélange ◦ nostalgie des lieux parcourus : (cf = écriture à contre sens pour montrer qu’il essaye de retenir le cortège mais qu’il n’y parvient pas) ◦ nostalgie des personnes rencontrées → hommage « celle que j’ai tant aimé » au milieu de vergers fleuris Autre œuvre : Alphonse de Lamartine : emblème du poète romantique

famille 9 1.5.1 La sexualité 9 2. Le côté positif de la religion 11 2.1 Les fondements universels 11 2.2 Le juif reconstructionniste et réformé

contribuent à l'entrée de l'Occident dans la modernité. I. La réforme protestante et ses réformateurs : un nouveau regard sur la religion 1. Un climat religieux favorable : le développement d'une volonté de retour aux sources du christianisme • La pensée des humanistes et des réformateurs s'est développée durant une période où les croyants semblaient vouloir changer leurs rapports avec la religion et la divinité. • La religion médiévale était une religion communautaire : dans l'esprit populaire

doit être reconnue à l’ére de la mondialisation pour combattre l’intégrisme, la désintégration et les conflits. 5) Les tensions identitaires au carrefour des migrations : la réciprocité au service de l’accueil et de l’intégration mutuelle II. La modernité : un pouvoir, une avancée, et/ou des rivalités ? 1) Personne n’a le monopole de l’humain, ni du fanatisme d’ailleurs. Aucune doctrine n’est à l’abri de dérapages. 2) L’évolution inversée de l’islam et du christianisme au creux du clivage Nord-Sud

traumatisant si chaque fois qu'il s'affirme français, certains le regar11 Les identités meurtrières dent comme un traître, voire comme un renégat, et si chaque fois qu'il met en avant ses attaches avec l'Algérie, son histoire, sa culture, sa religion, il est en butte à l'incompréhension, à la méfiance ou à l'hostilité. La situation est plus délicate encore de l'autre côté du Rhin. Je songe au cas d'un Turc né il y a trente ans près de Francfort, et qui a toujours vécu en Allemagne dont il parle

Microsoft Word - Football.doc- 1 - Le football comme religion populaire et comme culture mondialisée : brèves notations en vue d’une interprétation critique d'une quasi-religion contemporaine paru dans Marc Dumas, François Nault et Lucien Pelletier dir., Théologie et Culture. Hommage à Jean Richard, Les Presses de l'Université de Laval, Québec, 2004, p. 299-314. Par Denis Müller www.contrepointphilosophique.ch Rubrique Ethique Octobre 2005 « Les hommes, ayant perdu le paradis, se mirent à courir

UNE MODERNITE MARQUEE DU SCEAU DE LA DIVISION RELIGIEUSE La rentrée dans l’époque moderne est marquée par la division de l’église (schisme). Le sentiment de césure. La division religieuse va enfanter des guerre. Des pays qui sont restés catholiques, des pays qui ont basculé dans la reforme protestante : les luthériens, les calvinistes et les anglicans, des pays qui sont sur le plan religieux divisés (catholique et protestant). Ces divisions sont à l’origine des guerres de religion. Il

« Quand la modernité vient de chez l’autre », Amin Maalouf aborde la question des religions dans les revendications identitaires. Selon lui, c’est l’interprétation que l’on fait des textes religieux qui modifie la réalité du monde, rejetant ainsi une dichotomie chrétienté moderniste / islam obscurantiste. Il rappelle ainsi qu’à une époque, l’islam protégeait les différentes religions du livre tandis que la chrétienté ne faisait preuve d’aucune tolérance. Cependant, lorsque la modernité porte la marque

Deuxième proposition : Toute société est traversée par des conflits sociaux. Ces conflits peuvent être des conflits d’intérêt, on suppose alors que l’individu est naturellement égoïste : disposé à préserver ses intérêts ou ceux de sa communauté contre d’autres intérêts. C’est sur cette idée que s’appuie toute la pensée marxiste : sur la question de la répartition des richesses. On a aussi des conflits qui sont liés aux valeurs, où les partis défendent des croyances, des positions morales (positions