La Religion Est Elle Rationnelle

intellectuel engagé dans le meilleur sens du terme. Il aidait les gens qui étaient accusés injustement, il a commencé à écrire des pamphlets et des polémiques et sous le fameux slogan « écrasez l’Imfâme » il luttait contre l’Église (mais pas contre la religion). Voltaire est mort en 1778. Juste avant sa mort il a proclamé qu’il vénérait Dieu, qu’il aimait ses amis, qu’il ne ressentait aucune haine pour ses ennemis et qu’il détestait la superstition. Voltaire était un grand critique de l’Église catholique

Y’a-t-il incompatibilité entre science et religion ? La pensée scientifique repousse sans cesse les frontières du connu. Ce faisant, comme le note la philosophe Dominique Lecourt, sa démarche « implique un risque d’erreur » qui « retire donc par principe à cette pensée toute garantie absolue de certitude ». La pensée religieuse, au contraire, se tourne « vers une vérité préalablement donnée ». Elle est profondément animée d’une certitude intérieure, dont témoignent ces mots du Christ: « Tu ne

d’individus. 2- Politique : régime politique, État, Frontière, gouvernement et lois 3- Économique : système de production et d’échange 4- Mentalités collectives : tout le monde se dote de valeurs, de mode de pensée, d’approche scientifique, croyance, religions, savoir être. Émergence des premières civilisations et héritage significatifs Les civilisations fluviales : Égypte et Mésopotamie Les civilisations maritimes : Crétois et Phéniciens Peuple du livre : Les Hébreux Égyptiens : Ils ont plus

La religion Parler philosophiquement de religion, c’est s’interroger sur le phénomène religieux, sur la dimension universelle de toutes les religions. On ne débat pas sur l’objet de la croyance mais sur le fait religieux et les problèmes qu’il pose par delà la diversité des religions, cad. ce qui en fait l’unité. Etymologie latine = incertaine : le terme viendrait : 1. soit du mot (re) legere qui signifie (re) lire, et par extension «recueillir», «réfléchir», orientant le sens du

h1 Paradoxes de la conception kantienne de la religion La conception que propose Kant de la religion occupe une place centrale dans son système de pensée, puisque les enjeux peuvent en être décrits aussi bien sur le plan théorique que sur le plan pratique. Du point de vue théorique, qui concerne la connaissance, Kant s’oppose frontalement aux traditions religieuse et métaphysique, qu’il juge l’une et l’autre dogmatiques, c’est-à-dire abusivement affirmatives. En dépit des multiples tentatives proposées

 Supposant vrai que la religion n'a qu'une fonction de cohésion sociale, il faut voir en quoi elle joue ce rôle. La croyance fonde ses principaux appuis, ses bases dont les institutions religieuses se chargent de reprendre afin de dominer au mieux l'ensemble de leur sphère d'influence. Les sources originelles dans les entités divines, aussi bien des Dieux humains que des animaux ou forces silencieuses. Les anciennes croyances éteintes en majorités reposaient sur plusieurs dieux, polythéisme,

tentée de vouloir l'expliquer. De plus ces deux termes ne font pas parties du même ensemble, car la foi serait de l'ordre de l'irréel et la raison de l'ordre du réel, qui démontrerait la foi comme une vaine illusion, et remettrait donc en cause la religion et la croyance de beaucoup de personnes. D'un autre côté la foi peut-être considérée comme une raison, qui aurait été créée par les hommes pour donner un sens à leur existence, puisque de cette façon le monde existe par un enchainement de cause que

artistique. Aire culturelle : zone géographique qui connaît une certaine unité de culture autour d’une langue ( Amérique latine), d’une religion (l’Islam), de façon de vivre (l’Amérique anglo-saxonne). Appartenance identitaire :  sentiment pour une personne d’appartenir  à un groupe identifiable par sa langue, sa religion, sa mémoire et ses manières de vivre. Cela se marque souvent par une certaine fierté et une volonté de préserver cette identité face à la différence

concept de piété et d’impiété est intimement lie à la religion, ce qui en fait un concept très personnel à chaque personne, en fonction de ses croyances religieuses. Je défends donc qu’il ne faut pas punir les auteurs d’actes irrespectueux envers les dieux. (181mots) Mon premier argument est qu’il ne faut pas punir les auteurs d’actes irrespectueux envers les dieux est qu’il est impossible de prouver l’existence d’un dieu de façon rationnelle. Punir les impies reviendrait donc à punir des gens sans

détermine t-elle encore le vote ? Le vote est il encore déterminé socialement ou est il le résultat d’un choix rationnel ? Le groupe social est il aujourd’hui le seul facteur déterminant le vote ou est ce que ce phénomène a évolué au cours des dernières années ? L’électeur est il devenu plus compétent et a-t-il ainsi changé sa manière de voter pour laisser place à un vote plus rationnel et individualiste ? I. L’appartenance sociale comme déterminant du vote : le vote de classe A) Élargissement