La Religion Est Elle Superflux

ma Mère !…, qui figure à juste titre parmi les romans conseillés dans les « accompagnements des programmes » pour la séquence sur le récit en classe de seconde. Un auteur maghrébin qui mêle les cultures des deux rives de la Méditerranée, remet la religion à sa place, et s’engage résolument du côté de l’émancipation des femmes, dans un récit alerte, où l’oralité nourrit l’écrit ; il est peu de choix plus enthousiasmants à proposer à nos élèves, surtout dans les établissements au public métissé. I

meurent sans souffrance, s'endormant pour toujours. (Wikipédia) 3 Paradis terrestre loin des guerres et de la faim. 4 Philosophie 4 Semestre I Jérémie Francfort c) Les communautés religieuses A ne pas confondre avec les grandes religions ou les sectes, ce sont des mouvements religieux où les gens vivent en communauté pour leurs idées. Exemples des Usa : les Amish, les Shakers, les Huttérites. Ils ont une origine européenne commune du 18ème, ils ont quitté le continent pour s’installer

est-il moins nécessaire que la science ? » Tout d'abord, il convient de définir la notion de nécessité et ses deux sens. Premièrement, le « nécessaire » est ce qui est essentiel, qui relève du besoin et dont on ne peut se passer contrairement au superflu. Deuxièmement, c'est ce qui relève de la certitude, de l'obligatoire et qui est opposé à l'éventuel ou l'hypothétique. D'autre part, il faut considérer la science, soit dans son aspect général, représentant la connaissance, soit réduite à la connaissance

• Ce récit s’apparente au genre de l’anecdote ou au genre du caractère (cf. Les Caractères de La Bruyère). Tout va très vite, et on étudiera de quelle manière chaque phrase apporte un élément-clé à la compréhension du récit, sans que rien ne soit superflu. Ainsi, d’une phrase à l’autre, on passe de « il se coucha » à « au plus fort de son sommeil » : un certain temps s’est ainsi passé entre ces deux moments (et ces deux phrases) qui ne nous est pas rapporté. • Aucune psychologie des personnages :

prend sa source dans la redécouverte de l'Antiquité : si le Moyen Âge n'ignorait pas la culture antique, il n'en avait qu'une vision partielle, tronquée. Les humanistes tentent de retrouver la pureté des textes anciens, dégagés des commentaires superflus des lettrés médiévaux. En Italie, Pétrarque (1304-1374) et Boccace (1313-1375) sont deux figures majeures illustrant ce retour aux sources. Un travail philologique (étude de la langue) est effectué sur les textes antiques. Dans un certain nombre

Mandragore (1520) et La Clizia (1525). L'œuvre théorique de Machiavel constitue un retournement de la philosophie politique héritée des grecs. Machiavel ne se préoccupe pas de concevoir le meilleur régime possible : démasquant les prétentions de la religion en matière politique, il part des réalités contemporaines pour définir un « ordre nouveau » (moral, libre et laïque) où la raison d'état a pour objectif ultime l'amélioration de l'homme et de la société. Circonstances d’écritures : De 1498 à 1512

empire dont ils se flattent ». De même, dans le texte de Diderot, le vieillard parle à la première personne du pluriel pour signifier qu’il parle pour son peuple : « Sommes-nous dignes de mépris, parce que nous n’avons pas su nous faire des besoins superflus ? ». L’emploi de la première personne, dans le texte de Diderot, est plus marqué que dans celui de Cyrano car l'auteur utilise le pathétique pour amener le lecteur à avoir pitié du sort qui est réservé aux Otaïtiens. Ainsi il a recours à des images

Elle prime sur les individus. Elle est un système englobant qui s'impose aux individus. Dans ce type de société, la sociologie est superflue car les autorités structurent la connaissance et l'action. La société moderne a un poids moins fort pour favoriser le changement et l'émergence d'individus novateurs. On s'émancipe des forces traditionnelles (comme la religion). Ce n'est plus le passé qui fait autorité mais le présent plus ou moins projeté dans l'avenir. Le devenir est indéterminé, ce qui va

respect, accusation de l'avoir fait, reproche, « salopard ! pourquoi m'as tu fais naitre? ». Père infantilisé, hais son fils « je ne pouvais pas savoir que ça serait toi ». Prière à Dieu, Nagg demande ds dragées (résultat: rien). Parodie de prière: superflus, aucun intérêt spirituel. « Salaud, bernique, macache, il n'existe pas ! » → à Dieu. La fin de l'histoire ? Vraie fin, progression de l'action. Arguments pour d'une vraie fin. (progression de l'action) | Argmts pour d'une fausse fin

« Les Liaisons dangereuses » de Laclos. Dans ce roman, Laclos pense que l’homme est corrompu par la société du XVIIIe siècle, par l’ennui, celui ci étant une des cause du libertinage,… par l’image, par le pouvoir, et par deux conformismes : la religion et le libertinage. Cette corruption s’exprime dans le roman par la méchanceté des personnages et par la manipulation. Pour eux l’amour est une guerre. Prenons l’exemple de Madame de Merteuil et voyons ses stratégies de manipulation dans le roman