La Religion Est Elle Une Alienation

philosophe, il donnait des cours de philosophie positivisme, que l’on peut classée du côté de la métaphysique. Il conçoit un système un peu abstrait : la loi des trois Etats : * Age théologique ou fictif (l’enfance de l’humanité) : une société où la religion et le fétichisme ont une place très importante société primitive, esprit magique * Age métaphysique ou abstrait (adolescence de l’humanité) : on commence à porter sur le monde un regard philosophique, essayé de comprendre son monde, ce qui

notre capacité de concepts et d’invention, notre émerveillement devant le monde, toute leur puissance. De sorte que, si nous évitons les outrances de Platon contre le corps et la sensibilité, si nous nous défions de l’ascétisme antihédoniste de la religion, si nous fuyons la tonalité de la philosophie lorsqu’elle débute le chant de la liberté par le thrène du déterminisme universel, il devient possible en toute conscience de goûter la chance extrême d’être un homme, puisqu’aussi bien les plus terribles

le hausser et de le rendre maître de la terre. Toutefois « éduquer » nous renvoie à la domestication et à la reproduction d’un type social qui répond à des critères et respecte des règles et des valeurs. Et qui dit règles et valeurs dit jougs et aliénation. Or c’est tout à fait le contraire que proclame Nietzsche. L’affranchissement L’éducation que prêche Nietzsche est une éducation libératrice. Il nous invite à étudier l’histoire afin de relever les conditions qui ont permis ici et là la production

Sujet : Peut-on tout soumettre à la raison ? A) Introduction 1) Introduire le sujet à partir d’une remarque générale D’après l’épistémologie la science contemporaine est fondée prioritairement sur la raison. Cependant en religion ce n’est pas la raison qui est prioritaire, c’est la foi et dans le domaine de l’art ce n’est pas non plus la raison qui est prioritaire, c’est l’inspiration créatrice. 2) Amener le sujet D’où la question : « Peut-on tout soumettre à la raison ? »

nombreux philosophes, Marx a comme devise : « De omnibus dubitandum », signifiant « Il faut douter de tout » qu’il prend de chez Descartes. Il remet donc l’existance de Dieu en doute. Marx refuse personnellement de croire en Dieu et de prendre la religion comme pensée car il considère que ‘la matière est le fondement de l’univers’ et explique ‘l’univers avec le sensible en rejetant l’intelligible’. Pour lui, la réalité sociale détermine la conscience ; ‘Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine

la religion (Thème) a-t-elle une place si importante dans la vie des hommes d·hier, d·aujourd·hui et sans doute de demain ? Et pourquoi dans sa concurrence avec le discours religieux, le discours scientifique ne peut-il pas rivaliser ? Telles sont les questions que Freud affronte dans ce texte où il analyse le statut de la religion dans l·économie de l·existence humaine. Il prend en considération le phénomène religieux en général, non telle ou telle religion et établit que toute religion remplit

spécificité du travail humain n'est pas identifiable quand on analyse le travail de l'ouvrier. 1. Le travail comme source d'aliénation et d'exploitation chez Marx Marx va critiquer toutes les tâches humaines qui vont déshumaniser l'Homme. Aliénation: Action pour laquelle un être rend qqch étrangère à lui-même: Fait de se rendre étranger à soi-même. -En droit, l'aliénation désigne l'action par laquelle je vends un bien étranger à moi-même (vendre); -En psychiatrie, idée qu'un homme peut devenir

Philosophie) amène des développements matérielles qui créeront de nouvelles conditions matérielles (Économie). Marx : Développement matériel amène le développement de la pensée. *Les conditions matérielles créent les conditions spirituelles (Ex. : La religion d’une région dépendra du système économique de la région). On parle alors d’un matérialisme chez Marx. Pour lui, il y a primauté de la matière (Ce qui est le plus important pour Marx, c’est la matière; elle constitue le pourquoi de tout.) *Ce

1883 (à 64 ans) à Londres  Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande École/tradition Jeunes hégéliens, socialisme, communisme, inspirateur du marxisme Principaux intérêts Politique, économie, histoire Idées remarquables Lutte des classes, aliénation, exploitation des travailleurs, conception matérialiste de l'Histoire Œuvres principales Manifeste du Parti communiste Le Capital L'Idéologie allemande Manuscrits de 1844 Influencé par Engels, Hegel, Ricardo, Démocrite, Épicure, Lucrèce,

hommes : Le travail. L'homme, pour le marxisme, n'est libre que s'il est maître de ses moyens de production. C'est la définition marxiste de la liberté. L'histoire montre, ce que laissait prévoir d'ailleurs la dialectique, qu'il y a eu des aliénations, c'est-à-dire des appropriations des instruments de travail aux dépens des travailleurs. De formidables bonds en avant dans le domaine technique ont fait qu'un groupe a disposé seul, à un certain moment des moyens de production. De ce fait, le travail