La Responsabilité Pénale Du Banquier

Code pénal = CP et Code de procédure pénale = CPP, Code monétaire et financier (thème 3) = CMFF, Code de la consommation (thème 4). * Interprétation stricte de ce texte = en droit pénal on ne peut pas raisonner par analogie. Infraction, on l’applique, si ça ne fait que ressembler, on ne peut pas l’appliquer. L’évolution ou un lobbying fait qu’on va créer de nouvelles infractions. Exemple : Jusqu’en 92, délit de chèque sans provision. Une personne a fait pareil avec sa CB, le banquier l’a poursuivi

Droit des sociétés La responsabilité civile : celle qui va être engagé pour réparer un préjudice. Il existe une distinction fondamentale entre : * la responsabilité délictuelle : celle qui n’est pas lié à un contrat. * la responsabilité contractuelle : sanctionné un dommage qui est née de la violation d’un contrat, suppose donc l’existence préalable d’un contrat qui a été mal exécuté ou pas exécuté. Dans les 2 cas, il faut que nécessairement 3 conditions soient remplies : * un dommage

bancaire a pour objet de régir l’activité, il comprend à la fois les règles relatives aux conditions d’accès et d’exercice des activités bancaires et puis les règles relatives aux activités bancaires elles-mêmes. Il s’agit donc avant tout du droit des banquiers, ou encore des établissements de crédits ; c'est-à-dire des commerçants qui spéculent sur l’argent et le crédit. Ce sont donc des professionnels indispensables à l’activité économique puisque sans leurs concours les industriels, les commerçants

l’accompagnement de leurs clients dans les choix des placements qui s’offrent à lui et sur l’éclaircissement des conséquences juridiques et fiscales de ses choix. Les personnes qui participent à cette activité sont de plus en plus nombreux. On trouve les banquiers, les assureurs, les sociétés d’investissement, les CGPI, les agents immobiliers et d’autres professions réglementées qui pratiquent le conseil en gestion de patrimoine à titre accessoire ( par exemple les notaires et les experts comptables). Le

selon leur nature, susceptibles d’être protéger en justice par exemple contre tous actes constitutifs de concurrence déloyale. Cette analogie avec les personnes physiques est encore accrue par l’introduction dans le CPP (nouveau code de procédure pénale) des personnes morales. Section 1 : L’identification des personnes morales Paragraphe 1 : Le nom Le nom identifiant la société sera sa raison sociale ou sa dénomination sociale, laquelle doit être déterminé dans les statuts conformément à l’article

risque de non-conformité de divise en deux types de risques : Le risque juridique qui découle d’un litige entre le client et la banque, suite à une inexécution ou une irrégularité du contrat. Cela englobe, à la fois la responsabilité pénale du banquier mais aussi la responsabilité professionnelle de la banque. La réputation de la banque est alors impactée car les sanctions liées au risque juridique sont quasi systématiquement publiées par L’ACPR (autorité de contrôle prudentiel et de Résolution)

droits des associés même les minoritaires en plus des actionnaires en légiférant un droit pénal des affaires plus strict et plus rigoureux. Trois textes régissent droit des sociétés au Maroc : le code de commerce, la loi sur les sociétés anonymes et la loi n 5-96 régissant les autres formes de société. Au Maroc, les types de sociétés les plus utilisées sont : société anonyme (SA), société à responsabilité limitée (SARL), société en nom collectif (SNC). Tandis que celles qui sont peu usées sont

Chapitre 1 : Les instruments de paiement et de crédit. SECTION 1 : Les instruments de paiement. Les instruments de paiement ont été mis en place par les banquiers afin de favoriser le paiement de somme d’argent sans manipulation d’espèces. Leur objectif est d’accorder des délais de paiement ce qui va permettre aux professionnels de financer un certain nombre d’opérations Les instruments de paiement sont

juridique d'entreprise ? Dans une première partie nous verrons les différents critères puis dans une seconde partie nous verrons les comparaisons entre ses différentes sociétés.   I) les différents critères de choix : 1) La limitation de la responsabilité.             Dans une S. N. C (société en non collectif), les associés ont tous la qualité de commerçant. Ils sont donc chacun responsable indéfiniment car leur patrimoine est  personnel et solidaires des dettes de la société.   La S. A. et

s’appelle d’ailleurs une sentence arbitrale. C) Les actes mixtes 1/ Définition Il s’agit d’un acte passé entre un particulier et un commerçant (c’est donc un acte civil pour le particulier et un acte de commerce pour le commerçant). Exemple : Un banquier qui accorde un prêt à un particulier. 2/ Le régime juridique des actes mixtes a) La preuve On essaye de favoriser au maximum la partie que l’on considère la partie la plus faible, la loi a décidé de fixer des règles qui sont plus favorables aux