La Rochefoucauld La Préface Des Maximes

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Jean de La Fontaine FABLES (1668 - 1694) Livre I Illustrations par Gustave Doré Table des matières Préface ...................................................................................... 4 A Monseigneur le Dauphin .....................................................13 La Cigale et la Fourmi .............................................................14 Le Corbeau et le Renard..................................................

Chapelain et l'abbé d'Aubignac définissent les règles du théâtre classique. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires, ou préfaces les justifiant. Il en va ainsi chez les plus grands dramaturges : Molière, Racine et surtout Corneille qui fut mêlé à de nombreuses querelles et fit la somme de ses opinions sur l'écriture théâtrale dans Les Trois discours sur l'art dramatique. Il

la tragédie traitant des questions de l'unité de temps et de lieu et de la division en actes, et La Famine ou les Gabéonites (1573).Ces pièces accomplissent le programme de rénovation littéraire que s'est donné La Pléiade et vont trouver dans les préfaces et les arts poétiques leur codification. Fondées sur le principe aristotélicien de la mimésis, tragédie et comédie voient peu à peu la définition de leur domaine d'inspiration ainsi que leurs spécificités : sujet, type de personnage, style, intrigue

il faut remplir certaines conditions que les théoriciens définissent. L’art s’apprend et se maîtrise et une œuvre accomplie est l’aboutissement d’un long travail. C’est à ce prix que les Classiques créent la beauté. La Fontaine reconnaît dans la « Préface » de Psyché : « Mon principal but est toujours de plaire ». Cet objectif est atteint quand l’écrivain se plie aux règles des différents genres littéraires, qu’il apprend à en dominer les contraintes et, à travers elles, à conquérir l’art de communiquer

Chapelain et l'abbé d'Aubignac définissent les règles du théâtre classique. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires, ou préfaces les justifiant. Il en va ainsi chez les plus grands dramaturges : Molière, Racine et surtout Corneille qui fut mêlé à de nombreuses querelles et fit la somme de ses opinions sur l'écriture théâtrale dans Les Trois discours sur l'art dramatique. Il

accéder au véritable texte, et donc à leur véritable « autrice »c) Des lectures multiples- pluralité des lectures qui seront faites de l’œuvre au cours de l’histoire, ont contribué à démultiplier l’image de la marquise - dans Préface , Nathalie Freidel souligne que plusieurs critiques litt comme Roger Duchêne ont pu refuser de considérer ces lettres comme une œuvre litt => pour eux, la considèrent que comme une mère aimante, défendent le caractère vrai

quelques vers qui en donnent le sens, était offerte à l’interprétation du lecteur) qui a inspiré aussi La Fontaine pour quelques fables (en particulier lesEmblèmes d’Alciat). La Fontaine a bien perçu l’analogie entre l’emblème et la fable : dans la préface de l’édition des Fables de 1668, il écrivait que « l’apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme la moralité ». Curieusement l’emblème au XVIe siècle était défini par une

| |HATIER Annabac 2006 |Invention : Dans la préface d’une anthologie de poèmes d’amour que vous avez | | |réunis, vous démontrez comment l’inspiration poétique et l’amour sont à vos yeux | | |liés. Rédigez cette préface. | |

Chapelain et l'abbé d'Aubignac définissent les règles du théâtre classique. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires, ou préfaces les justifiant. Il en va ainsi chez les plus grands dramaturges : Molière, Racine et surtout Corneille qui fut mêlé à de nombreuses querelles et fit la somme de ses opinions sur l'écriture théâtrale dans Les Trois discours sur l'art dramatique. Il

quelques vers qui en donnent le sens, était offerte à l’interprétation du lecteur) qui a inspiré aussi La Fontaine pour quelques fables (en particulier les Emblèmes d’Alciat). La Fontaine a bien perçu l’analogie entre l’emblème et la fable : dans la préface de l’édition des Fables de 1668, il écrivait que « l’apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme la moralité ». Curieusement l’emblème au XVIe siècle était défini par une