La Ruse D Un Renard

que moi » - il passe le relai. II/ La comédie de cours. A. Un flatteur  Le discours du renard est la continuité de celui du roi, (rime) « Moi/roi »  Le renard va tenter de maitriser la parole dans son intérêt ; soumission à l’autorité du Roi « sire » (premier mot à l’attaque.  Lion au sommet de la hiérarchie « seigneur »  Le ton employé traduit aussi l’enthousiasme du Renard ; adverbe « trop » 2 occurrences (qui porte sur 2 séries successives)  « Non, non » ; réponse a sa propre

Complexe et polymorphe. Il incarne la ruse intelligente. * Isengrin : le loup bête et cruel, éternel ennemi de Renart, toujours dupé (trompé). Son épouse Dame Hersent la louve, fut jadis « violée » par Renart ; d'où une éternelle rancœur. * Noble, le lion : roi * Chanteclerc, le coq : il fut emporté par Renart, mais s'en tira sain et sauf. * Couart, le lièvre (couard -> qui manque de courage) * Hermeline, la renarde : épouse de Renard * Hersent, la louve : épouse d'Ysengrin

Foucquet. Le Lion dit « il m’est arrivé quelquefois de manger/ Le Berger. » + rejet qui insiste sur l’importance réelle de ce « berger » vite dévoré. L’attitude de la cour à l’égard de Foucquet réapparaît ensuite dans les paroles du Renard, un courtisan flatteur et rusé qui n’hésite pas à dénigrer le Berger : « Et quant au Berger l’on peut dire/Qu’il était digne de tous maux. » II. L’allégorie animalière au service de la dénonciation de l’hypocrisie. 1. Les puissants. Le lion. Roi dans la

long, de longues moustaches et une petite queue plate. On le surnomme renard de poche, du fait de sa toute petite taille. C'est en effet le plus petit des canidés qui existe sur Terre. Il mesure de 20 à 40 cm. Son poids moyen est de 1,7 kg contre 6 pour un renard normal. Sa taille moyenne est d'environ 20 cm (+ 15 cm quand on y ajoute les oreilles). Il a un pelage allant du brun pâle à presque blanc et ressemble beaucoup au renard auquel il est apparenté, hormis ses oreilles dressées, chacune aussi

La Fontaine, Fables ( 1678) , La Cour du lion ( Livre VII, Fable VI) Sources : Phèdre, Leo regnans mais fable incomplète ; autre source probable : Jacques Regnier, « Le lion, l’âne, le loup et le renard », (1643) dont la moralité était : «  Au même titre que le mensonge, il est nuisible de dire la vérité. Il en sait long celui qui est muet dans ses flatteries.» Fable rédigée en vers mêlés : alexandrins et octosyllabes I/ La critique de l’absolutisme royal : un roi cruel et vaniteux

tel ou tel animal – le loup est cruel, le renard rusé, la fourmi est économe... Ainsi, l’auteur n’a pas besoin de décrire la personnalité de son personnage, et le lecteur a l’impression que les impressions viennent de lui. Le récit utilisera donc ces idées que le lecteur se fait des personnages. Nul ne s’étonnera que le renard dupe le corbeau ou que le loup mange le mouton. Puis le conteur déduit la morale, qui semble logique au lecteur. Le renard vit effectivement aux dépens de ceux qui se

Indirect Libre 3) les personnages sont des animaux une personnification "gens" parlent mentent flattent "font le dégouté" et ils ont leurs caractéristiques habituelles : le singe se croit malin / le lion est le chef/ l'ours est maladroit / le renard est rusé le but premier de la fable qui est de divertir est donc atteint II/une critique du roi et un portrait des courtisant 1) le lion il est cruel situation : quand quelque chose lui déplait, il tue "l'envoya chez pluton" = euphémisme "parent

commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un terme de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à, etc. Ex : Il est rusé comme un renard. Elle avait des yeux pareils à des étoiles. Ce champ de blé ressemble à un océan. 2. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans terme de comparaison entre deux éléments. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Ce garçon, c’est un renard! Les étoiles de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. 3. La personnification : c’est la représentation

guerre. Machiavel tutoie sont lecteur comme si il son texte était destiné a un jeune prince qui lirait ses conseils, comme s'il devenait un précepteur. Il exprime ses idées au travers d'animaux tels que le lion et le renard et leur prête des « qualités » : être rusé comme un renard, connaitre et déjouer les pièges ; avoir la majesté, la puissance du lion, roi des animaux, pour intimider les ennemis et le peuple incarnés par « les loups ». Etre un prince « avisé » suppose savoir quand on doit rompre

celles d’Ésope), est plus impliqué que l’auteur grec qui reste, lui, plus distant et semble narrer son récit et sa morale avec plus de neutralité, comme le montre la fable du Corbeau et le Renard, traitée par les deux auteurs : « Un corbeau déroba un morceau de viande et alla se percher sur un arbre. Un renard, l’ayant aperçu, voulut se rendre maître du morceau. Posté au pied de l’arbre, il se mit à louer la beauté et la grâce du corbeau : « A qui mieux qu’à toi convient-il d’être roi ? En vérité