La Règle De Bienséance

demeurent pour lui un modèle absolu. II Accomodation au goût de l'époque III • certaines notions et règles de la tragédie ne viennent pas d'Aristote. Deux types de bienséances: - bienséance interne: cohérence de l'oeuvre, unités etc - bienséance externe: accord de l'oeuvre avec les valeurs de l'époque • • Lien entre bienséance et vraisemblance: ce qui est crédible est en accord avec les valeurs. l. 27 préface de Phèdre: Hippolyte ne peut avoir violé sa belle-mère (comme il en est accusé dans

règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance (adjectif bienséant) - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. (Pensez à l'évolution de ce qu'on montre à la télévision au cours des 30 dernières années.) On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre

ses yeux les conséquences des désirs excessifs des personnages, il ressort guérit de ses désirs grâce à l'identification qui se produit entre lui et le personnage. Les règles : - être écrit en cinq actes - la règle des 3 unités - progression dramatique Les 3 unités et la bienséance : d'action : Acte I > Exposition. L'amour de Phèdre pour Hippolyte et celui d'Hippolyte pour Aricie, incompatibles, sont rendus impossibles par Thésée, père d'Hippolyte et époux de Phèdre. Le désordre s'installe

théâtrale. En second lieu, les règles des trois unités (de lieux, d’action et de temps) ne sont plus respectées comme nous pouvons voir la didascalie qui introduit la scène «dix-sept ans après» or selon la règle des trois unités l’action ne devait durer que vingt quatre heures. De plus, la règle de bienséance n’est plus suivie, effectivement, on peut lire dans la didascalie de la ligne 25-26 «Oedipe aveugle apparaît» ou plus loin a la ligne 58-59 «Jocaste parait […] morte blanche, belle, les yeux clos» car

passer dans la réalité. c)    La bienséance Les classiques insistent sur le fait qu’une œuvre ne doit jamais choquer, qu’elle se doit d’être conforme à l’opinion publique. Ainsi au théâtre les personnages sont-ils tenus de « coller » à leurs caractères selon le rôle qu’ils incarnent. Un prince n’agit pas en simple soldat, une reine ne se comporte pas comme une suivante. On ne se touche pas sur scène et la violence est exclue de l’espace scénique. d)    La règle des trois unités Au théâtre toujours

plus respecté. Mais la règle qui n'est particulièrement pas respectée est celle de la bienséance. Le personnage de Dom Juan ne respecte pas la morale et peut parfois choquer le spectateur. Il est insolent, impertinent voire même offensant et parfois violent. Il transgresse les mœurs en séduisant toutes les femmes. Il est aussi contre le Ciel en refusant jusqu'à la fin de se repentir pour ses péchés. Le personnage de Dom Juan transgresse en tout points la règle de bienséance. D'autant plus qu'on le

plaire mais avec modestie. Cultivé, sans pédanterie, modéré – il ; cultive l’art de la litote -, il sait s’adapter à son interlocuteur grâce à sa politesse et à son goût. Il évite l’excès et la spécialisation. C’est à lui que s’adresse la règle des bienséances, qui prétendent ne pas choquer les sentiments des honnêtes gens 1.3 Comparaison BAROQUE X CLASSICISME Excentricité, définit comme péjoratif jusqu’au 19ème. Exubérance, refus des règles classiques et antiques. Passion du mouvement,

athénienne. Les représentations se faisaient dans le cadre de fêtes en l’honneur de Dionysos. Les pièces de tragédie comportaient cinq actes, en alexandrins, scandés par les temps de l’exposition, du nœud, des péripéties et du dénouement tragique. Règle des 3 unités : * L’unité d’action : Elle est liée à l’impératif de connaissance, elle implique que toutes les actions, même secondaires, soient liées à l’action principale. * L’unité de temps : Elle vise à réduire au maximum l’écart entre

Qu'est-ce qu'une règle de droit ? - D'ou viennent-elles ? I- La règle de droit Règle de droit : Règle qui a pour objet d'organiser la vie ans société et les relations entre les membres qui la composent. La règle de droit n'est pas la seule règle de vie en société. Depuis que l'homme vit en groupe, il a posé des règles qui ne sont pas touts des règles de droits : règles religieuses qui sont aussi des règles de vie / règles de bienséance. -> Mais comment reconnaitre la règle de droit parmi

La règle de droit  Le droit objectif qui caractérise la règle de droit qui n’est qu’un mode d’organisation de la société parmi d’autre, ce sont ses sources mais aussi les règles d’interprétation familière qui s’y applique. Caractéristiques de la règle de droit : 2 choses font de la règle de droit ce qu’elle est. Sa finalité qui est assez banale et sa force à nul autre pareil. Chap 1 : Une finalité banale : l’organisation sociale. Finalité de la règle de droit : la règle de droit se