La Répartition Des Exportations Mondiales

9 Chapitre I : Aperçu général sur le secteur des agrumes 10 I. Description des agrumes 11 II. Production mondiale des agrumes 13 III. Exportations mondiales des agrumes 15 Chapitre II : Présentation du secteur agrumicole marocain 17 I. Superficies et régions de production 18 II. Les exploitations agricoles 18 III. Production et rendements 20 IV. Conditionnement 23 V. Exportations 24 Chapitre III : Evolution de l’environnement réglementaire du secteur des agrumes 28 I. Le secteur des

secteur représente 32% de la valeur de la production et 19% de la valeur ajoutée des industries manufacturières. La part du secteur ITH dans les investissements des industries manufacturières oscille entre 14% et 16% sur la période 2004-2008. Les exportations du secteur sont passées de 4 481 MTND en 2004 à 5 183 MTND en 2008, soit un accroissement annuel moyen de 4%. Les pays de l’Union Européenne sont les principaux clients de la Tunisie pour les produits textiles avec 36% destinés à la France, 32%

technologique, a fait du commerce extérieur un pilier central de la croissance et une source de richesse incontournable. En effet, l’évolution du commerce mondial au cours des dix dernières années démontre une augmentation plus rapide des échanges internationaux, progressant en moyenne annuelle au taux de 6,2% contre 3,7% pour la production mondiale, ce qui témoigne de l’ouverture croissante des économies et du succès des politiques mises en œuvre dans le cadre de l’OMC et/ou à travers les accords commerciaux

Prévisions Financières DEPS/SIAS Le secteur aéronautique marocain face aux nouvelles mutations mondiales Septembre 2012 2 Le secteur aéronautique marocain face aux nouvelles mutations mondiales Table des matières Introduction .......................................................................................................................... 3 1. Le secteur aéronautique mondial : une refonte de la carte industrielle............................ 4 1.1. Spécificités de l’industrie

économique chinois Introduction: En 2010, la Chine est devenue la seconde puissance éco mondiale derrière les Etats Unis et la Japon. En 2001, lorsque la Chine est rentré dans l’organisation mondiale du commerce, elle représentait 4% des exportations mondiales de marchandises. Aujourd’hui elle en représente 11%. Depuis son entrée dans l’OMC, la chine est considéré comme la locomotive de la croissance éco mondiale sans que pour autant elle soit considéré comme une puissance eco comparable aux pays

En particulier, nous souhaitons aborder la problématique de l’industrialisation des pays émergents en accordant une place particulière à la montée du commerce intra-groupe dans l’économie mondiale, et au rôle primordial joué par les firmes transnationales dans la structuration du système productif mondial. Cette démarche nous permettra de questionner la dimension autonome de l’industrialisation des pays émergents : autonomie de l’émergence ou émergence d’une nouvelle dépendance ? Savoir si

dans sa structure actuelle, il est nécessaire d’analyser l’histoire des échanges internationaux. Notre analyse historique se focalisera plus sur la période allant de 1914-1945 / 1945-1994/ 1995-2013. 1914-1945 : Pendant cette période, les exportations mondiales ne croient que de 3%, les pays affectés par la crise connaissent un repliement sur eux même, avec des restrictions aux importations afin de disposer d’un maximum de devise. Une période où plus de la moitié du commerce international est affectée

 :  L’ouverture  des  économies     L’ouverture  des  économies  a  permis  une  forte  progression  des  échanges  internationaux,   notamment   depuis   la   Seconde   Guerre   mondiale,   même   si   tous   les   pays   et   les   secteurs   d’activité   ne   se   sont   pas   ouverts   au   commerce   international   avec   le   même   degré.   Ces   échanges

volume des importations et exportations comparé à la richesse nationale permet de mesurer l’ouverture des économies. Un taux élevé peut traduire une dépendance de l’économie nationale aux importations de l’étranger, ou, à l’opposé, un secteur de l’exportation particulièrement dynamique. Voire une conjonction des deux phénomènes avec une économie qui s’inscrit pleinement dans la mondialisation à la fois par le volume de ses importations et par celui de ses exportations. Ce qui est le cas de la France

«vieux » pays capitalistes depuis 1914 . certains auteurs (les stagnationnistes) avaient interprété le fléchissement du dynamisme de la croissance comme une évolution irréversible liée à l’affaiblissement démographique, à l’achèvement de l’expansion mondial du capitalisme, à l’épuisement du progrès technique et des occasions d’investissement . L’économie américaine est la première à mettre à son actif en pleine guerre les forts gains de productivité et un régime d’activité et d’emploi élevé. Mais la