La Révolte Est Elle Légitime

Article « De l’autre à l’un : aliénation et révolte dans les littératures d’expression française » Alain Baudot Études françaises, vol. 7, n° 4, 1971, p. 331-358. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/036497ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction)

Il ne peut se révolter contre le groupe entier car il n’a aucune chance de succès et n’a pas d’autre monde à rejoindre sachant que le monde des adultes lui est fermé. « Affranchi de l’autorité des adultes, l’enfant n’a donc pas été libéré, mais soumis à une autorité bien plus effrayante et bien plus tyrannique : la tyrannie de la majorité. » Banni du monde des adultes Rejoint le « monde de l’enfant » Livré à la tyrannie du groupe de pairs Livré à lui-même -- Ne peut se révolter -- Ne peut pas

du lien entre totalitarisme et démocratie heurte le sens commun, tant les termes paraissent antagonistes. Dans le langage courant, le terme « démocratie » est en effet devenu synonyme de régime de libertés. A titre d’exemple, lorsqu’on parle des révoltes en Tunisie et en Egypte, on retient que leur population aspire à la liberté, donc à la démocratie. Dans ce contexte, la question de la relation entre démocraties et totalitarismes ne trouve pas de sens, d’autant plus que la seconde moitié du 20ème

domestiques sont en constante pression n’ayant pas d’autre choix que de se soumettre. Au fur et à mesure du film , cette servitude est dénoncé et certains personnages ouvre les yeux grâce à la journaliste et voient que cette situation n’est pas légitime. À la fin du film , le succès du roman de la journaliste va faire que les deux jeunes femmes domestiques qui ont témoignées vont se multiplier par des centaines d’afro-américains qui vont à leurs tour dénoncer ce qu’ils subissent. III) Conclusion

que tout a commencé [...]. Alors, j’ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût. Et c’était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » Ces cinq coups de revolver excluent la légitime défense et l’homicide involontaire. Meursault ne donne au lecteur aucune raison particulière pour son crime, le fait qu’il ait tiré sur le cadavre à quatre reprises ou sur les émotions qu'il éprouve, mis à part le fait qu'il a été gêné par la chaleur

à la carrière de chanoine et s'enfuit à Paris pour y poursuivre ses études. Débute alors une période de bohème : traducteur, précepteur, Diderot vit d'expédients dans la misère. Cette rude insertion dans le monde réel lui fournit les bases de sa révolte intellectuelle, et développe en lui le sens du pittoresque et du réalisme. Il devient l'ami de Rousseau et se fait connaître par ses Pensées philosophiques et sa Lettre sur les aveugles. À partir de 1746, Diderot partage avec d'Alembert la direction

homogénéité. Une génération possède des valeurs et des croyances qui font que chaque personne d’un même âge est possédant ces convictions font partie de cette génération. D’après Gaussen, une génération partage les mêmes valeurs, expériences, goûts, révoltes, rêves, etc. C’est ceci qui créera l’identité d’une génération. Ces phénomènes générationnel abolissent les différences entre les individus pour créer un ensemble de personne se ressemblant. La notion de génération transcende les différences sociales

Opposition au texte de Machiavel Le prince. Remet en cause la domination des puissants sur les faibles car cette domination ne repose sur rien de légitime. Thèse de l'auteur : puissance du tyran repose sur le consentement populaire. Si le peuple refuse cette puissance, le pouvoir du tyran s'écroule. Point abordés : Pourquoi des hommes acceptent de servir sans se révolter? 1) l'habitude/la coutume 2) la manipulation du puissant 3) L'intérêt ou le profit. Genre : essai Courant : Humanisme (XVIe=Renaissance)

HAMLET. - Etre, ou ne pas être, c'est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par une révolte ?. Mourir... dormir, rien de plus ;... et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du coeur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Mourir... dormir, dormir ! peut-être rêver ! Oui,

La guerre de Trente Ans est une série de conflits armés qui a déchiré l’Europe de 1618 à 1648. Les causes en sont multiples mais son déclencheur est la révolte des sujets tchèques protestants de la maison de Habsbourg, la répression qui suivit et le désir de ces derniers d’accroître leur hégémonie sur leurs possessions. Ces conflits ont opposé le camp des Habsbourg d’Espagne et du Saint-Empire germanique, soutenus par l’Église catholique romaine, aux États allemands protestants du Saint-Empire,