La Révolution Keynésienne

n’ont pas toutes les mêmes capacités à expliquer les faits : 1. Théories normatives : Définir ce que devrait être le monde et les comportements Théorie classique 2. Théories positives : Montrer les choses telles qu’elles le sont. Théorie keynésienne En somme, le raisonnement économique est inductif et déductif à la fois : Vérification Déduction 2.3 Divers niveaux d’analyse En science sociale, deux conceptions du monde s’opposent : Individualisme méthodologique

qui doit être au service du bien-être de tous. II- Les principaux courant de la pensée économique La science économique est fondée sur 3 courants principaux : La pensée libérale, classique et néoclassique La pensée Marxiste La pensée Keynesienne 1- La pensée libérale classique et néoclassique A) Individualisme et nationalité des individus Pour les classique, influencé par la philosophie des Lumières, chaque êtres humains est libre et doit pouvoir exercer librement son activité par

discontinue: chaque nouvelle théorie puise ses sources dans les courants antérieurs, et la pensée économique se modifie progressivement au gré de l’histoire des faits économiques. §3 Le libéralisme de l’école classique Les économistes classiques La révolution industrielle britannique au XVIIIème siècle révèle un nouveau courant de pensée, fondement de la pensée économique moderne. Par ailleurs, après avoir favorisé dans un premier temps l’essor de l’économie française, la politique mercantile s’avère

| |industrialisés sur le long terme : l’émergence de l’Occident s’est appuyée sur les sciences et les techniques |lacunes du marché : les principales sont les externalités et les biens collectifs. | |depuis la révolution industrielle, qui ont autorisé une forte progression de la productivité du travail, du |-La croissance à long terme doit s’appuyer sur des institutions efficaces qui favorisent l’enrichissement | |niveau de vie (PIB/habitant, ppa).

théorie, a un modèle économique. -C’est pourquoi ce cours s’efforce de proposer systématiquement deux approches différentes des phénomènes étudiés : une approche classique ou néo classique et une approche keynésienne. -Le courant classique apparaît au XVIIIème siècle, siècle de la révolution industrielle : Adam Smith (1723-1790, Recherche sur la nature et sur les causes de la richesse des nations) David Ricardo (1772-1823, Principes de l’économie politique et de l’impôt) Jean Baptiste

économique L'économie keynésienne Théorie générale de l'emploi de l'intêret et de la monnaie 1929 : crise économique la plus grande du 21e siécle , Keynes révolutionne Les travaux de cette auteur ont marqué la pensée économique du 20e siècle , la remise en cause qu'il fait de l'efficacité du marché a largement influencer les politiques économiques après la seconde Guerre Mondiale, régulierement accusé de creuser des déficits publics et de favoriser l'inflation la pensée Keynésienne est revenue dans

micro-économique adoptant sur le plan de la méthode le principe de l’individualisme méthodologique. Le courant néoclassique est un courant dont le pouvoir explicatif est relativement important, il n’avait pas de courant « concurrent » jusqu'à la révolution Keynésienne. En s’appuyant sur l’analyse des cause de la crise de 1929, l’économiste anglais John Maynard Keynes va être à l’origine de l’émergence d’un courant théorique dont les hypothèses vont permettrent de justifier l’intervention de l’état

pour ses analyses de la Révolution française, de la démocratie américaine et de l'évolution des démocraties occidentales en général. John Maynard Keynes : (5 juin 1883 - 21 avril 1946) est un économiste britannique de notoriété mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderne, pour lequel les marchés ne s'équilibrent pas automatiquement ce qui justifie le recours à des politiques économiques conjoncturelles. Le keynésianisme, la nouvelle économie keynésienne, le néo-keynésianisme

développement économique. En effet, le commerce à but lucratif était interdit aux Chrétiens. Puisque ce commerce ne leur est pas interdit, les juifs sont alors l’élément moteur de l’économie. En dénonçant l’immobilisme du Moyen Âge, Calvin apporte une révolution en matière économique et reconnaît le capital, le crédit, l’intérêt, la banque, le commerce et le profit. Le travail devient un but et n’est plus une punition divine. 2. Les premiers pas de la science économique La période de 1450-1750

propriétaire (Aristote). Cependant on est quand même conscient des défauts de cette hypothèse ce qui a amené cette hypothèse à être concurrencé par une hypothèse de valeur travail. La valeur utilité ressurgira avec la révolution marginaliste. La valeur utilité avant la révolution marginaliste : A la fin du 18 siècle, un écossais Adam Smith dans un ouvrage en 1776 au titre la richesse des nations, résume l’ensemble des objections faites à la fonction utilité dans un paradoxe. Smith