La Révolution Keynésienne

molle et stagflation. - Les chocs pétroliers. - Les autres raisons du retournement de la conjoncture économique (fin du SMI, surchauffe éco de la fin des années 1960, etc.) 2. Les réponses politiques à la « crise ». - L’échec de la relance keynésienne française de 1981-1983. - Les politiques néolibérales. 3. Les effets économiques et sociaux de la « crise ». - Déclin de certains secteurs industriels. - Agriculture poursuivant ses mutations. - Début d’un chômage de masse et précarisation

remplie, permet de faire abstraction de la monnaie. Alors que l’équilibre macroéconomique classique (de même que l’équilibre général néoclassique) suppose la réalisation simultanée de l’équilibre sur tous les marchés, l’équilibre macroéconomique keynésien n’est déterminé qu’à partir de deux seuls marchés, celui des biens et services et celui de la monnaie. L’équilibre du marché des titres est supposé résulter automatiquement de l’équilibre réalisé sur ces deux marchés déterminants. Plus précisément

(exemple consommer , distribuer des revenus ) , associer les grandes réflexions économiques Chapitre 2 : L’approche de la comptabilité nationale , à connaître très bien savoir expliquer , grande exigence Chapitre 3 ; la représentation keynésienne les théories sont rarement compatibles les unes des autres , apprendre le doute et le comprendre 2éme partie : Tout à fait différente de la première (rien à voir ) Les fondements de l’économie politiques , autres considérations comme l’économie :

progrès agriculture, economie agricole - 19 ème siècle : Courant marxiste : capitalisme industriel traverse une crise - 20 ème siècle : courant Keynesien : JM KEYNES : crise boursière, Keynes développe l'économie mixte (capitalisme social) • 1- Le courant libéral classique le 18ème siècle est marqué par la révolution industriel : invention des machines (à tisser, chemin de fer …) c'est le début du capitalisme car la propriété privé des moyens de production est reconnue . Capitalisme

mort à Cambridge en 1986. Professeur à l'université de Cambridge (1952), conseiller des gouvernements travaillistes de l'après-guerre et de nombreux pays, membre de la Chambre des lords (1974), Il a été l'un des principaux auteurs du courant post-keynésien c'est-à-dire qu'il adopte un point de vue critique à l'égard des théories néo-classiques, et pense que le capitalisme conduit rarement au plein emploi ou à une croissance régulière. il contribue à l'évolution de la théorie économique dans des

des visions du monde. I- Les grands courants de la pensée économique. On situe la naissance de la science économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant l'école classique. 1)Antiquité et Moyen-Age. Aristote est un philosophe du IV ème siècle avant J

essor, l’investissement a pris place au cœur de la croissance économique. Consommation et investissement régissent notre société. Les 2 variables sont instables depuis 80’s. Elles dépendent de nombreux paramètres, et de deux grandes théories, Keynésienne et néoclassique, se confrontent de nos jours, pour expliquer le comportement de ces deux variables. Elles reposent sur l’ajustement entre épargne et consommation. Nous avons vu précédemment que la demande de consommation et la demande d’investissement

2000, 13,2% en 2011) II - Déficit budgétaire et analyse théorique A) L’analyse Keynésienne Rappel : Keynes justifie l’intervention de l’Etat pour palier les déficiences du marché et favoriser la croissance et le plein emploi →L’intervention se fait notamment par accroissement des dépenses publiques (politique budgétaire) →L'efficacité de l’intervention => principe du Multiplicateur Multiplicateur keynésien d’investissement public : Détermine les effets d’un investissement public sur le

multiples partis politiques s’y présentant, respecte le principe de séparation des pouvoirs, protège la propriété privée, la liberté de la presse et les libertés civiles, et, à des degrés divers, voit la présence d’un état providence d’inspiration keynésienne. La démocratie

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux