La Révolution Keynésienne

|Nouvelle économie | | |et des salaires | |par la déflation, la baisse de la production et la |Economie de marché compatible avec une certaine |keynésienne : | | | | |montée du chômage : cela lui confirme l'inexistence |intervention de l’Etat => politique de relance de la |théorie des contrats

rendant ainsi compréhensible le message de KEYNES pour les économistes ordinaires. Le modèle de Hicks — le modèle IS-LL qui fût ensuite rebaptisé du nom de modèle IS-LM — connut le succès, l’amenant à devenir l’incarnation standard de la théorie keynésienne. Une de ses raisons a été l'ingénieux graphique conçu par Hicks permettant de synthétiser sur un seul plan les positions d’équilibre de trois marchés. Ainsi, se constitua le second jalon de la théorie macroéconomique. Restait à transformer le modèle

accepté par tous dans une communauté donnée. Ils existent différentes théories monétaires qui s'opposent quant au rôle de la monnaie dans l’économie. Tout d’abord, Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre. Puis, les keynésiens qui, quant à eux affirment que la monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques. Enfin, les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie.

secteur il doit en créer ailleurs. désindustrialisation : mutation normale due aux déversements vertueux ou d’un processus qui résulterait d’une perte en VA ? La croissance sur le long terme est une croissance industrielle marquée par des révolutions industrielles Depuis 2 siècles nous sommes dans une logique industrielle, quelle est la place de l’industrie aujourd’hui ? Sommes nous dans une croissance industrielle ? L’industrie se caractérise par une production en quantité, une production

donc apporter de nouveaux éclairages (monétarisme en particulier). Plusieurs interprétations de la crise sont pourtant avancées : - Pour les monétaristes, c’est une politique monétaire laxiste qui est à l’origine des déséquilibres - Pour les keynésiens, le renouvellement du capital nuit à l’augmentation des revenus ; cela entraîne de l’inflation et du chômage et donc une diminution de la demande - Pour la théorie de la régulation, c’est l’épuisement des gains de productivité et de la norme de

dirigisme est une entorse à la conception la plus libérale de l’économie de marché. A) La durée de la guerre longue révèle les failles d’une économie non préparée B) L’Etat intervient dans tous les domaines d’échange, de production, de travail C) La révolution bolchevique a fait sortir un pays des économies de marché capitaliste II. S’il y a remise en cause du libéralisme, il n’y a pas ébranlement des fondements du capitalisme A) Les mesures dirigistes ont été prises temporairement, en concertation

et l’équilibre sur chaque marché. Il y a différents marchés : B/S, travail, de la monnaie, financier 9) Le prolongement de Jevons est Edgeworth. Le prolongement des idées de Menger est l’école autrichienne. Walras  Arrow et Debreu Keynes et les keynésiens 10) Toute offre crée sa propre demande, il n’y a pas de crise de surproduction. C’est la loi des débouchés. La demande de travail ne dépend pas de la consommation. L’offre va dépendre de la demande effective qui est sujette à l’optimisme ou le pessimisme

l'Etat favorise la croissance. Les progrès scientifiques et techniques : Ils sont considérables. Les gouvernements financent une large partie de l'effort de R&D (elle absorbe dans les années 60 3, 4% du PNB des États-Unis ). C'est la troisième révolution industrielle fondée cette fois sur l'électronique et le nucléaire. L'investissement : Il connaît un essor considérable dans tous les pays industrialisés, atteignant jusqu'à 1/5 du PNB et croît chaque année de 7% entre 1955 et 1973. 1.3 1950-1973

approches de l’EP : -Ces approches dépendent de l’affiliation théorique des auteurs donc de leurs croyances. Il existe plusieurs concurrents de pensée concurrents en économie. Aucune approche n'est juste, toutes sont fausses. .néoclassiques .keynésiens .marxistes .monétaristes, supply-siders Un ensemble contradictoire : -Les explications d’un même phénomène peuvent diverger d’une école de pensée à autre. EX : quelles sont les causes du chômage en France et quels sont les moyens d’y remédier 

Christian Chabagneux, Les dernières heures du libéralisme, édition Perrin L’objectif de ce cours est : * Montrer la diversité des différents courants de pensée, savoir distinguer entre les classiques, les néo classiques, les marxistes des keynésiens * Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme économique et l’économie planifiée * Présenter les méthodes d’analyse et savoir distinguer les analyses macroéconomiques des analyses microéconomiques