La Révolution Keynésienne

(EC3) La croissance économique est ce phénomène de longue période qui, débute en Europe avec la révolution industrielle, puis en Amérique du Nord et plus récemment en Asie, celle-ci transforme les économies et les sociétés tout en les enrichissant (augmentation du PIB). La croissance économique n’est pas régulière, elle se constitue de cycles de longues périodes, au cours desquelles des phases de plusieurs décennies d’expansion (augmentation soutenue du PIB) et de dépression (croissance

Autorégulation des marchés (du travail, financiers…) - Mais économistes keynésiens (stiglitz, krugman…) Nécessaire intervention de l’Etat. Chapitre 1 : Les grands courants de la pensée économique. Fin 18ème : Développement de « véritables » analyses économiques (SMITH) Quatre grands courants qui interprètent le capitalisme. 1- Classiques 2- Néoclassiques 3- Marx 4- Keynésiens Pour 1 et 2, efficacité du marché = libéraux Pour 3 et 4 inefficacité

d’agir - « La pensée économique depuis Keynes » (1996), Beaud, Dostaler, Edition abrégée Economie 2 Rappels sur les Classiques1 « L’économie classique » (Cf. Marx) cherche à expliquer la dynamique du capitalisme dans une époque marquée par la révolution industrielle. Pour l’école anglaise, les « pessimistes » (autour de Ricardo), il existe des lois naturelles implacables et des antagonismes au sein de leur société. Pour l’école française, les « optimistes », c’est l’exaltation du rôle de la production

exportations de matières alimentaires (éviter les famines) Théorie du Mercantilisme : Un pays doit se protéger en favorisant ses exportations et en freinant ses importations • La Révolution : libéralisme politique/économique 2 écoles de pensée : Physiocrate (Quénet) et les Classiques (Smith, Ricardo…) En 1791 la révolution interdit les corporations (Loi Le chapelier) La DDHC 1789 : reconnaissance du droit de propriété • Le premier Empire : interventionnisme mesuré : fonction régalienne « Etat

monde après 1945 porte à son apogée la société industrielle mais à partir de 1970 l’économie entre dans une période de crise marqué par une croissance moins forte, des mutations majeurs se produisent alors, la mondialisation se généralise et la révolution de la l’informatique engendre la société de communication. Comment expliquer la croissance exceptionnelle de l’économie mondiale et qu’elles en ont été les répercussions sur les sociétés ? I. De l’après guerre au début des années 1970 1) La

Mercantilisme : Consiste à protéger l'économie, à conquérir les marchés étrangers, accumuler le métal précieux. Ces Etats modernes créeent une nouvelles catégories sociales qu'on appele la bourgeoisie. Cette bourgeoisie devient protestante. - La révolution des transports. L'espace maritime est a maitriser. Le developpement de nouvelles techniques de transport vont ouvrir des routes maritimes qui mettent en relation les métropoles et les empires cononiaux qui leurs appartiennent. - Les principaux


L’Etat
doit
intervenir
pour
corriger
les
dysfonctionnements
du
marché
et
assurer
 une
constance
des
débouchés.
Amorce
de
sa
démonstration
sur
le
rôle
de
la
demande.
 
 DOC8
 Q22
Salaire
nominal=
salaire
perçu
par
le
salarié,
salaire
réel=
PA
du
salaire
=
SN/P
 Q24
 Critique
keynésienne
de
la
courbe
d’offre
de
travail
NC
 Les
NC
raisonnent
sur
le
SR
or
les
salariés
eux,
raisonnent
sur
le
SN.

 Une
baisse
du
SR
peut
provenir
soit
d’une
baisse
du
SN
soit
d’une
augmentation
des
prix,
 or,
quand
les
prix
baissent,
l’offre
de
travail
ne
varie
pas
alors
que
quand
les
SN
baissent


politique (1848)). Les classiques s'intéressent principalement aux questions de production, de fixation des prix de répartition, et de consommation. Il existe entre ces auteurs une grande communauté de pensée. Libéraux, contemporains de la révolution industrielle en Grande-Bretagne, ils assistent à la naissance du capitalisme industriel et en sont les fervents urs. Plusieurs principes et postulats sont au centre de la pensée de cette école. Tout d'abord, il existe un ordre relativement

entre les deux. Dans le cas de la monnaie métallique on ne peut pas dépenser plus de métal que l’on a. C’est là que les problèmes contemporains vont apparaître. Le roi pour dépenser plus peut vouloir prélever plus d’impôt ce qui peut conduire à une révolution ; ceci pose aussi le problème des mutations monétaires. Donc les premières mutations monétairesfaire de la fausse monnaie pour augmenter les dépenses. D’un autre coté le périmètre lui-même des finances publiques va s’élargir. La puissance publique

Distinguer grandeur nominale et grandeur réelle : très important pour les taux d’intérêt. Le taux d’intérêt réel (taux auquel croit le pouvoir d’achat) = taux d’intérêt nominal (taux auquel croit l’argent en banque) – taux d’inflation. Pour le Keynésiens, il y a un phénomène d’illusion monétaire car les AE regarde le taux d’intérêt nominal et non pas monétaire. . L’indexation sur l’inflation : une grandeur évolue en fonction du taux d’inflation (de l’indice des prix). En France, le SMIC et les