La Satire Dans Les Femmes Savantes

Panulphe ou l’Imposteur, 1667 Le Tartuffe ou l’imposteur, 1669 Le combat de Molière Lecture de la préface Les placets 4. Une pièce subversive ? 4.1. Tartuffe : la vraie et la fausse dévotion 4.2. Dans quelle mesure la pièce dépasse-t-elle la seule satire de la fausse dévotion ? 5. 5.1. 5.2. 6. 6.1. 6.2. 6.3. 6.4. 6.5. 7. 7.1. 7.2. 7.3. 8. Présentation de la pièce Résumé de la pièce Les personnages Représenter Tartuffe Louis Jouvet : la brèche dans l’interprétation de Tartuffe Antoine Vitez : Tartuffe

belle au bois dormant, le petit chaperon rouge, ou cendrillon. Le conte littéraire du XVIIème siècle est comme les autres genres moralistes: brièveté de la forme, fausse naïveté, art du sous-entendu, passage de la culture populaire à la littérature savante, le conte propose une morale dont il faut souvent se méfier car le récit qui illustre en déborde toujours de l’enseignement explicite, plus équivoque, traversé par les archétypes qui suggèrent les structures les plus profondes du désir et de la peur

respect’. Fragment 41 : A propos des médecins et des philosophes. Fragment 26 : « Un bout de capuchon arme 25 000 moines ». Il critique le fait qu’une apparence physique puisse provoquer tellement de choses dans le milieu cde clergé. Il en fait la satire. Il énonce l’amour-propre. L’ « amor sui », les concupiscences (Chez St Augustin, amour des insouciances et bien terrestres) St Augustin stigmatise la libido dominandi (désir de gloire), libido Sentiendi (désir de jouissance). Il oppose

une danse du type dionysiaque apparemment. 1.1. DÉBUTS Le théâtre romain a débuté par des jeux comiques inspiré de leur quotidien. En effet, cela mettaient en scène des épisodes de la vie campagnarde et des expéditions guerrières sur un ton de satires rurales. Le plus souvent c’était des jeunes hommes maquillés avec du suc des plantes ou masqués d’une écorce d’arbre qui servaient d’acteurs. Sur scène, ils chantaient, dansaient, caricaturaient les expéditions guerrières et les épisodes de la vie

ses premières études ; mais jamais homme ne se trompa sans doute plus étrangement sur la nature de son génie. Et ce qui est bien plus étrange encore, c'est qu'il ne reconnut pas lui-même son erreur, et il fallut qu'on le priât de se retirer de la savante congrégation. Il n’avait pas tout à fait vingt-trois ans. Il fit alors son droit, comme Boileau, comme Molière, puis il revint se fixer à Château-Thierry, ou son père, qui songeait à lui assurer la succession de la charge de maître des eaux et forêts

avant. Comme un écho entre la première et la dernière phrase. Moyen de se prémunir contre le tremblement de terre => nouveau tremblement de terre, le même jour. Volontairement brutal, car vérité = brutale… Conclusion : Voltaire se livre à une satire de l’inquisition en donnant à son texte une allure de sujet très grave. Contrairement à ce que l’on croit l’inquisition existte encore au XVIIIe siècle. Il a horreur du fanatisme et de l’intolérance, qu’il essaie de combattre par tous les moyens.

La critique fut ensuite reprise à chaque numéro de l’Année littéraire, souvent mordante mais toujours exprimée avec sang-froid et sur un ton de courtoisie. Voltaire s’attaque reciproquement a Freron en vigueur. Il fit contre Freron une virulente satire dans la piece de theatre, Le cafe ou l’ecossaise (1760) où Fréron est représenté par le personnage de Wasp (en anglais : guêpe ou frelon) qui a son tour en fit une critique correct et ironique. On trouve aussi une reference a Freron dans le CH22 de

odes (genre déjà utilisé par Ronsard il est vrai), comme celle sur la prise de Namur de Boileau, ou celles, moins connues, sur port royal des champs, par Racine. On voit renaitre les épigrammes, comme celles de Martial ou d'Ovide, les épîtres ou les satires du style d'Horace (cf notamment Boileau.). L'on assiste aussi à la renaissance de l'épopée de type Homérique ou Virgilienne. Mais ce genre ne connait aucun succès. Voire notamment la Pucelle de Chapelain, décriée par Racine et Boileau. Seul Le lutrin

l'ordonnance de Villers-Cotterêts par laquelle le roi de France François Ier imposa l'exclusivité du français dans les documents relatifs à la vie publique du royaume, de défendre la langue française contre le latin, qui était resté la langue des savants parce qu'ils étaient séduits par son universalité, et rebutés par la difficulté d'exprimer leurs idées dans ce qu'ils considéraient comme un patois barbare ; et le latin tendait aussi à devenir la langue des artistes, car fleurissait une poésie

épicurienne Conception en plaisirs et non en devoirs, individualiste et matérialiste, refus de toutes valeurs = libertin => champ lexical du plaisir + chiasme ; énumération : « boire de bon vin, se gorger de mets délicats, se rouler sur de jolies femmes, se reposer dans des lits bien mollets ». Conception provocatrice car remise en cause de la conception chrétienne, altruiste et vertueuse, remise en cause même de la société : « Tant pis pour eux » + phrases courtes + je = égoïsme => gradation