La Science et l'Hypothèse

Suffit-il de bien observer pour connaître ? INTRODUCTION : Le sujet porte sur l'épistémologie, la science. Il met en relation le fait d'observer avec la connaissance. L'observation est notre vision sur les choses qui nous entourent, elle est donc subjective et se rapporte à l'opinion. L'observation n'est pas fondée car elle n'est pas entièrement analysée. On observe, voit avec les yeux donc avec l'essence. Le fait d'observer suppose déjà une attitude active du sujet connaissant qui ne se

près de l'inconscient tel que Freud le définira. Mais tandis que pour Nietzsche le problème est d'ordre métaphysique, Freud se place sur le terrain de la science et de la psychologie. -L'inconscient selon Freud C'est en effet d'abord et avant tout son expérience de médecin soignant des malades hystériques qui conduit Freud à forger l'hypothèse de l'inconscient, dont la réalité s'impose à lui et constitue le postulat fondamental de la psychanalyse. À travers ses nombreux écrits, Freud s'attachera

croyance ce que "presque tous" vont chercher dans les "sciences". Or les sciences ne nous paraissent pas être le lieu de la croyance, mais bien de la recherche d'un savoir dégagé de la croyance, qui s'oppose à elle, et qui a, plus qu'elle, la valeur ou la dignité de la "pensée". Remarquons tout de même qu'Alain ne pense pas ici aux scientifiques, mais à ce que "presque tous" (le public, le profane, le non-scientifique) vont chercher "dans les sciences", c'est-à-dire, réfléchissez-y, dans un discours qui

vérité peut dans certains cas être contestée,quand il s'agit par exemple de vérités liées au sciences expérimentales,en effet,les sciences expérimentales n’étant pas une science exacte,d'où le terme « expérimentales »,ces dernières sont en perpétuelle évolution et donc certains faits ou phénomènes étant qualifiés de « vrai » peuvent êtres soudainement discutés et réfutés contrairement au Sciences Mathématiques par exemple qui elles possèdent de nombreuses conventions ayant étés décidées à

s’élève par degré aux vérités qui sont en réalité les mieux conçues et les mieux exprimées dans la nature. […] Non, quand tous les génies de tous les âges se rassembleraient, quand ils mettraient en commun et se transmettraient leurs travaux, les science ne feraient pas de grands progrès par la [première] voie […] : car des erreurs radicales et nées du premier travail de l’esprit ne se peuvent guérir par l’excellence de remède venus trop tard. Francis Bacon of Verulam, Novum Organum (1620), aphorismes

Y a-t-il des critères de la scientificité ? Introduction : Avant de désigner certains domaines de l’activité humaine, la science désigne un phénomène de civilisation qui s’inscrit dans un système de valeurs. La scientificité est une valeur. Dire d’un discours quelconque qu’il est « scientifique », c’est porter sur lui, non pas seulement un jugement de fait, mais un jugement de valeur positif : on considère que si c’est scientifique, alors c’est vrai, c’est digne de confiance, c’est honnête, et

Chapitre 1 LA NATURE DE LA SCIENCE ECONOMIQUE « oikos » : la maison en Grec « nomos » : la règle, la loi « heimen » : administrer L’économie c’est donc l’art de diriger sa maison selon des règles qui concernent les hommes, les femmes, les esclaves, le travail. ARISTOTE distingue cet art à celui de rassembler des richesses (c’est la chrématistique). Au XVII siècle apparaît le terme « économie politique » avec Antoine DE MONTCHRETIEN dans le « Traité de l’économie politique »

problématiques de cette séquence seront : Qu’est-ce qu’un séisme ? Quelle est l’origine des séismes ? Séance 1 Les séismes, des manifestations brutales de la Terre Séance 2 Les failles et les séismes, cause ou conséquence ? 6 — © Cned, Sciences de la vie et de la Terre 4e séance 1 — Séquence 1 Séance 1 Les séismes, des manifestations brutales de la Terre j e m’interroge « Hier, au journal télévisé, on a vu le collège de Lambesc : ils disaient qu’il était construit selon

on gagne son pain à la sueur de son travail. Question du juste prix : le prix relève d’un accord entre l’acheteur et le vendeur. Le commerçant doit pouvoir gagner sa vie convenablement et l’acheteur ne doit pas être grugé. Ce n’est pas une science, on est dans du conseil. . Le Mercantilisme aux XVIe et XVIIe siècles Un ensemble de doctrines vont se développer dans tous les pays européens : elles mettent l’accent sur le commerce international. Les économistes répondent aux

s’élève par degré aux vérités qui sont en réalité les mieux conçues et les mieux exprimées dans la nature. […] Non, quand tous les génies de tous les âges se rassembleraient, quand ils mettraient en commun et se transmettraient leurs travaux, les science ne feraient pas de grands progrès par la [première] voie […] : car des erreurs radicales et nées du premier travail de l’esprit ne se peuvent guérir par l’excellence de remède venus trop tard. Francis Bacon of Verulam, Novum Organum (1620), aphorismes