La Société De Masse Ne Veut Pas La Culture Mais Les Loisirs Hannah Arendt

Hannah Arendt La crise de la culture Sa portée sociale et politique Inquiétude des intellectuels par rapport à la culture de masse de la société de masse. Péjoratif il y a quelques années, ces termes sont devenus respectables: "intellectualisation du kitsch". La question est de savoir si le rapport de la société de masse et de la culture sera le même que celui entre société avec la culture qui l'a précédée. Problématique: rapport de la société et de la culture. 1. La société de masse advient

philosophie : La philosophie, selon Pythagore, auquel remonte le mot, ce n'est pas la sophia elle-même, science et sagesse à la fois, c'est seulement le désir, la recherche, l'amour (philo) de cette sophia. Seul le fanatique ou l'ignorance se veut propriétaire d'une certitude. Le philosophe est seulement le pèlerin de la vérité. Aujourd'hui, où la science constitue tout notre savoir et la technique, tout notre pouvoir, la philosophie apparaît comme une discipline réflexive. A partir du savoir

anthropologique des sociétés humaines, mais il prend des formes parfois très différentes. * La satisfaction des besoins : le travail n’est pas forcément rémunéré. Il consiste à transformer la nature (culture) en vue de satisfaire ses besoins, de produire des choses nécessaires à la vie. Il est puissance de création. Il est naturel dans le sens où nous sommes faits incomplets (la technique culturelle prolonge notre nature), et où nous avons un besoin inné de reconnaissance. ≠ Jeu, ≠ loisir, qui ont pour

la pièce jointe d'origine LES MÉDIAS CONTRE LA CULTURE ? Avant le développement de l'éducation et des moyens de communication de masse, la production et la diffusion de la culture obéissaient à une logique simple et intangible. Seule une caste de privilégiés (noblesse, grande bourgeoisie) avait accès aux oeuvres de l'esprit, fréquentait le milieu des artistes ou des créateurs, et goûtait, avec un fort sentiment de distinction, les plaisirs de la lecture, de la peinture ou de la musique. Les

que la raison d’être du travail réside dans son achèvement, ce qu’Aristote appelle le loisir. En effet, le travail est servile dans le sens où ces règles de fonctionnement que le travailleur applique sont considérées comme des nécessités extérieures, non choisies et non délibérées : nécessités extérieures qui sont imposées par la nature imparfaite, non divine, de l’homme qui reste tributaire du besoin. Ce qui veut dire qu’a contrario il doit être possible d’envisager idéalement un état où l’homme

gagne-t-on à travailler ? Dans l’antiquité grecque, le travail n’avait pas une place d’honneur dans la société ; philosophiquement parlant, il était d’ailleurs considéré comme une forme d’esclavage qui prive l’homme de sa liberté. Le mythe de Prométhée de Platon dans Protagoras illustre parfaitement la place du travail au sein de la société mais il est tout autant lié à l’apparition de la culture. Le mythe raconte que deux Dieux nommés Epiméthée et Prométhée ont eu pour tâche de doter chaque espèce

Le travail est ainsi généralement opposé au loisir, matérialisé par des moments de plaisirs, qui permettent le développement intérieur. Cependant, on peut se demander si le loisir est la seule possibilité de se réaliser. Pour cela, il apparaît important de distinguer d'abord deux types de travailleurs : celui qui ne peut concevoir le loisir ; et le travailleur qui n'aspire qu'à celui-ci. Enfin il semble qu'il faille devoir concilier travail et loisir pour s'accomplir.   I. L'image du fanatique

fascisme : Etat, sociétés et cultures.Bibliographie :Bernard Bruneteau, « les totalitarismes »Pierre Milza et Serge Bernstein, « Dictionnaire des fascismes et du nazisme »Pierre Milza, Biographie de MussoliniIan Kershaw, Biographie de Hitler Introduction : Un régime totalitaire est un régime politique qui s’appuie sur un parti politique unique et qui n’admet aucune opposition a son pouvoir. Il impose une adhésion à son idéologie officielle. Il a l’ambition d’enlever tous les clivages des sociétés au nom de

racines dans l’archaïsme qui se traduirait dans une incapacité à accepter la nouveauté. En effet, la technique ne fait qu’un avec la réalité humaine, la technique est l’expression même de notre humanité en tant que l’une des dimensions éminentes de la culture, au sens de la capacité de l’homme à transformer l’homme en transformant ses conditions d’existence. D’un autre côté, le développement des sciences et des techniques à partir du 17ème siècle n’aurait-il pas donné lieu à une recherche illimitée et

LOISIR ET CULTURE : L’ANIMATION DU PATRIMOINE A LA CROISEE DES CHEMINS ? Sarah Naymark Sous la direction principale du professeur Bernard VALADE et sous la direction secondaire du professeur Pierre-Yves GAUDARD Mémoire de Master 1 de sciences humaines mention : sociologie des sociétés contemporaines Université Paris 5 René Descartes Juin 2006 1 Remerciements Je tiens à remercier ici les personnes qui, par leurs conseils, leur disponibilité et leurs encouragements ont contribué