La Société Homérique

hémistiche * apostrophe emphatique au dieu de l’Amour, mis en évidence par le changement d’énonciation, introduit l’analogie avec la guerre de Troie (mythologie grecque, Iliade d’Homère) : v. 3 « Troie », v. 5 « le Xanthe », v. 9 « Hélène » + épithète homérique v. 9 « Hélène au beau plumage » (cf Achille au pied léger, Ulysse le divin). L v. 5 « Dieux » = Mars ou Vénus, blessés au combat * ampleur de la bataille : - insistance sur sa durée : v. 6 « longtemps » + « se maintint » - la bataille

droit public romain à la fin de la république grâce au Droit Prétorien. On peut donc faire là, un parallèle avec ce qui s’est passé pour le droit civil romain à la fin de la république qui était figé et qui a du être adapté aux évolutions de la société Romaine. Celui qui a joué le rôle « du prêteur » dans l’histoire du droit Anglais, c’est le Lord Chancelier, qui a apporté (dans le cadre de sa juridiction) un certain nombre de remèdes à la sclérose et à l’inadaptation de la Common Law, ainsi qu’au

du coup d'État de Bonaparte qui instaure le Consulat et met d'une certaine façon fin à la période révolutionnaire. Ce siècle est riche de plusieurs œuvres qui peuvent se rattacher au mouvement des Lumières et ses remises en cause des bases de la société. Les genres et registres dominants sont : le discours, l'essai, la critique, les dialogues (argumentatif et délibératif), la lettre, le pamphlet, le conte philosophique, mais aussi le dictionnaire, l'encyclopédie, la comédie, le roman autobiographique

africaine, de l'industrie culturelle et de recherche en anthropologie socio-culturelle (problèmes du Vodou en Afrique) Critique littéraire : membre de l'Association internationale des critiques littéraires. Membre du PEN Club de France. Membre de la Société des Gens de Lettres de France. Distinction: Lauréat du Grand Prix littéraire d'Afrique,1966. Chevalier de l'Ordre national du Bénin. Membre correspondant de l'Académie de Nîmes (créée en 1682.) Œuvres • UN PIEGE SANS FIN (roman, Edit Stock, Paris

animales représentant la société - -Application morale. Le récit est dynamique : utilisation du passé simple. L’exposition a lieu du vers 1 au vers 16, du vers 16 au vers 32, réaction et du vers 32 au vers 36, la morale. On remarque l’utilisation d’octosyllabes et d’alexandrins (surtout pour le lion). Rimes irrégulières. On a différents formes de discours : le lion-direct, le singe indirect et le renard narrativisé. Chaque figure animale caractérise des acteurs de la société. Le monarque, le lion

(par exemple dans la chanson convenable, quand il demande à ses compagnons quel cheval il doit monter, d'Agnès ou d'Arsens) et peut même aller jusqu'à parler d'amour entre hommes, reflet d'une époque où l'Église n'a qu'une emprise limitée sur la société. Considéré comme un des précurseurs de l'amour courtois (fin amor en occitan), il est l'un des modèles influents de l'art des troubadours, dont la poésie va devenir plus galante. À son retour de croisade, il répudie sa femme et prend pour maîtresse

s’adapter à la société féodale, à l’effondrement du pouvoir royal, aux nouvelles relations de pouvoir. En même temps, elle influence la société féodale, elle l’encadre. Par expl, à travers le parjure, elle devient garante des serments. A travers le sacre, elle soutient le pouvoir royal -> freine sa décomposition. Elle favorise la paix, la justice. Elle bénéficie de la féodalité : les ecclésiastiques sont aussi des seigneurs féodaux. Elle subit aussi les déviations, les violences de la société féodale :

servaient à expliquer une morale. La notion de mythologie est généralement utilisée pour décrire des ensembles de récits à propos de héros, figures divines, humaines ou monstrueuses, brassés par les systèmes religieux des civilisations anciennes ou de sociétés traditionnelles, éloignées dans l'espace ou dans le temps, qui, selon leurs mérites ou le bon vouloir des dieux, surpassaient ou étaient écrasés par les épreuves qui se dressaient sur leur chemin. Souvent, les récits racontaient de façon exagérée

l'auteur Cours de M. Antoine Compagnon Introduction : mort et résurrection de l'auteur Le titre de ce cours est inspiré d'un fameux article de Michel Foucault,  « Qu'est-ce qu'un auteur ? », texte d'une conférence donnée en février 1969 à la Société française de Philosophie. Elle venait peu après un article non moins fameux de Roland Barthes, au titre plus fracassant, « La mort de l'auteur », publié en 1968. Ces deux textes, qui ont figuré parmi les pages les plus photocopiées par les étudiants

celle de Degani se distingue : les attaques personnelles communes à la comédie et à la poésie iambique seraient une forme d’engagement civil contre des ennemis publics, et s’expliqueraient par les tensions et les troubles qui caractérisèrent la société athénienne de la fin du cinquième siècle, tout comme les communautés archaïques avant notre ère5. Mais aucune de ces études ne s’est jamais interrogée sur la valeur spécifiquement comique de l’injure : ou bien l’injure apparaît inoffensive et anodine