La Souffrance Apollinaire

le surréalisme puis son lien avec l'univers de Man Ray sera évoqué. Apollinaire, mort à la fin de la première guerre mondial en 1918 est le premier à employé le terme de « surréalisme », c'était un grand poète français, fréquentant les plus grands artistes tel que Picasso. Il recherchait le moyen de créer un lien entre les objets, le langage et l'art. Breton nommera par la suite ce courant ainsi en hommage à Apollinaire. En étudiant cette photo on peut remarquer que Man Ray met en scène des

allemande, aventure avec une jeune anglaise Annie Playden qui va le faire souffrir (elle le quitte) – en France, brève aventure avec l'artiste peintre Marie Laurencin – en 1913, il publie Alcools. Ami des peintres cubistes (Picasso, Braque), Apollinaire essaie de créer une écriture nouvelle en jouant avec l'espace de la page. Il pratique le calligramme dont il a inventé le nom, mais pas le genre. Il fut de toutes les avant-gardes artistiques, notamment le cubisme, et précurseur du surréalisme dont

patente.Partie 1 (les 5 premiers quintils) :Le poème s’ouvre sur une apostrophe aux Sirènes, figure bien connue de la mythologie grecque et de l’Odyssee d’Homere, mais alors que chez Homere les Sirènes se trouvent sur une île constituée d’ossements, Apollinaire parle ici au début du vers 2 de « grottes », terme mis en avant par un enjambement à la Mallarmé. La grotte renverrait plutôt à Nerval : « j’ai rêvé dans la grotte où nage la sirène » (« El Desdichado »).Immédiatement après l’apostrophe apparaît

VI. LE RENOUVELLEMENT DU LYRISME Lecture analytique 2/3 * Guillaume Apollinaire, Alcools (1913). « Crépuscule » Introduction « Ut pictura poesis » : « La poésie est comme la peinture », affirmait au Ier siècle avant Jésus-Christ l’auteur latin Horace, dans son Art poétique. Cette analogie n’a pas échappé à Apollinaire qui, quelques vingt siècles plus tard, dans son recueil poétique Alcools, publié en 1913, tisse régulièrement des liens entre littérature et peinture. Ainsi, le poème « Crépuscule

Fleurs du Mal  de Baudelaire, ou les 118 sonnets des Trophées de JM de Heredia. Verlaine, Nerval, Mallarmé, Rimbaud, etc., utiliseront également le sonnet. Il est moins utilisé au XXème siècle, souvent il s’agit d’une forme ‘’modernisée’’, ex. Apollinaire : Les Colchiques (1913) ou Louis Aragon : Un air embaumé, dans : Le Mouvement perpétuel (1926), L’Effraie (1953)de Ph. Jaccottet et quelques autres… Le pantoum Le pantoum consiste en une suite de quatrains (d'octosyllabes ou de décasyllabes

Enfin,le dernier poème s'intitule «Poèmes à Lou» de Guillaume Appolinaire.Il est composé de cinq tercets en alexandrins. L'originalité de ce poème se traduit par la lecture du prénom «Lou» dans les initiales de chaque vers. En plus du titre Apollinaire montre que son poème tourne autour d'une femme nommée Lou qui semble l'inspirer. Charles Baudelaire et Guillaume Appolinaire parlent tous deux de femmes qu'ils ont aimé , Théophile et Tristan eux prônent la modernité et l'art de leur poésie.

Robert Desnos extrait du recueil collectif L’Honneur des Poètes publié en 1843 par les Éditions de Minuit. Tiré de Paroles, « La grasse matinée » de Jacques Prévert fait également partit de ce groupement. Pour finir, le calligramme de Guillaume Apollinaire « La colombe poignardée et le jet d’eau » clot ce corpus. Ces poèmes sont donc tous des poèmes engagés, tentons de repérer leurs particularités. Nous parlerons tout d’abord des textes 1 et 3 évoquant les injustices sociales et la pauvreté, puis

Objet d’étude : La poésie du XIX° au XX° Question de corpus : Ce corpus comporte quatre documents dont trois poèmes et un document iconographique. Le premier document est un poème de Guillaume Apollinaire, « Saltimbanques ». Le second document qui a pour titre « Le Vieux Saltimbanque » est un poème en prose de Charles Baudelaire. Ce corpus est aussi composé d’un troisième poème, « Les Saltimbanques » de Pierre Reverdy. Enfin, le quatrième document est un tableau de Pablo Picasso dont le

personnage à part entiere, personnification : L.2- 20. Elmnts de la nature = sujets de verbes d'action : L.5 la nature engendre la souffrance du personnage chaleur novice et omnipresente : lexique de la chaleur= L.5-9-20-21. Métaphore L.18 = torture subit + L.17 elle semble le battre b- Perception visuelle troublées malaise domine le perso à cause du soleil= C.L souffrance : mal, aveuglés, douloureux +L.7. Conséquence : trouble de la vision =L.4-5 et «il m'a semblait que le ciel s'ouvrait», le perso

Le poème "Le Pont Mirabeau" est un extrait du recueil Alcools paru en 1913. L'auteur y fait allusion à sa rupture avec Marie Laurencin et au-delà évoque la fuite du temps semblable à l'eau qui s'en va. Comment Apollinaire fait-il pour que son poème soit élégiaque et incantatoire? I ) Un poème élégiaque A) Expression des sentiments personnels - indices de l'énonciation : 1ère personne du singulier "m'", "je" - pas de marques de destinataires mais 1ère personne du pluriel "nos bras", "restons"