La Souveraineté Du Roi Au Bas Moyen Age

provinces. Avec Périclès, stratège de la cité, Athènes est à l’apogée de sa puissance et domine le monde grec. Elle est le berceau de la démocratie. Le temple du Parthénon, construit sur l’Acropole en l’honneur d’Athéna, est le symbole de cet âge d’or. Ier siècle Ier et IIe siècles Début du christianisme « Paix romaine » Bien défendu à ses frontières par une armée puissante, l’Empire romain connaît une longue période de paix et de prospérité (« pax romana »). Cela permet la poursuite

La religion est entretenue par des druides. On pratique parfois le sacrifice humain. L'évolution en matière politique, c'est le grand vide. Sur le plan politique, on est en présence d'une simple coexistence d'une mosaïque de tribus. Il n'y a pas un roi des gaulois, mais à peu près 60 tribus. Ces tribus sont menées par un chef de guerre, elles sont indépendantes les unes des autres, désunies. Sur le plan militaire, la puissance est défaillante. Cette puissance militaire met les gaulois à la merci des

c’est le plus ancien royaume d’Europe. Le roi hérite d’un orgueil dynastique. Toutes les cours d’Europe communiquent en Français tout comme la diplomatie. Quand Louis XVI monte sur le trône en 1774 il devient le chef de la maison de France ce dont il tire une grande fierté. Ce roi est sacré, c’est un personnage vénéré par les Français. En 1789 la Révolution ne se fait pas contre le roi car la nation est attachée au roi et à la monarchie. Mais en 1792 le roi sera guillotiné. A) Les fondements

LES ÉTATS-UNIS C. LES PAYS-BAS SENTENCE ARBITRALE Traduction libre Arbitre : M. Max Huber La Haye, le 4 avril 1928 Sentence arbitrale rendue le 4 avril 1928, par M. Max Huber, entre les Etats-Unis et les Pays-Bas, dans le litige relatif à la souveraineté sur l’île de Palmas (ou Miangas) 1 Un compromis relatif à l’arbitrage du différend concernant la souveraineté sur l’île de Palmas (ou Miangas) a été signé par les Etats-Unis d’Amérique et les Pays-Bas le 23 janvier 1925. Le texte

(qui caractérisera les siècles suivants). Ces conflits, nombreux, éclatent surtout sur deux points : la religion et la nature du pouvoir politique. Jacques Ier Stuart (1566-1625), roi d'Écosse avant de devenir roi d'Angleterre en 1603 était le théoricien le plus convaincu du « droit divin » : pour lui, l'autorité du roi découle de Dieu seul ; les sujets sont tenus à l'obéissance, puisque cela serait contraire à l'ordre établi par Dieu. Charles Ier hérite de son père cette conception. Mais, à cette

la violation de la règle entraîne une sanction émanant de l'autorité publique. Il existe néanmoins des règles juridiques qui ne sont pas forcement assorties de sanctions (engagement sur l'honneur : signature d'un document). Les juristes du Moyen-Âge considéraient en fait que ce qui constitue une règle de droit est avant tout le sentiment qu'à la société de son caractère obligatoire : le droit n'est pas nécessairement écrit. D'où l'existence d'un droit coutumier. Cette règle obligatoire doit

la monarchie absolue et temporairement à la royauté, mit fin à la société d'ordres et aux privilèges. Avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, elle proclama l'égalité des citoyens devant la loi, les libertés fondamentales et la souveraineté de la Nation, apte à se gouverner au travers des représentants élus. Dès son commencement, la portée universelle des idées de la Révolution française a été proclamée par ses partisans, et l'ampleur de ses conséquences perçue par ses détracteurs

volontaire a la loi: preuve de la majesté du prince. Le roi choisit aussi de se soumettre a la loi: loi doctrinal du juste milieux. Mais le roi est moralement tenu de respecter les lois, il se lie lui-même aux lois. Le roi n’est pas le seul maitre de la loi sous l’ancien régime. Cela dépend de la coutume. • Le roi assure «  le salut et la défense du pays » On parle de la paix extérieur et de la guerre intérieure. Le droit de guerre appartient au roi. Ce droit fait peser sur les sujets des obligations

Ces deux approches, on les retrouve chez d’autres auteurs au fil des siècles, avec des démarches idéalistes et empiriques. Cette réflexion sur la politique change profondément à partir de la chute de l’Empire Romain, de la fin de l’Antiquité. Au Moyen Age, ce sont les considérations théologiques et religieuses qui priment. La politique ne fait plus l’objet d’une réflexion autonome. Elle n’apparaît que comme une sous division de la théologie.Il faut attendre la Renaissance et la redécouverte des auteurs

mécanismes d’ajustement fonctionnent encore (si la machine réformatrice n’est pas grippée). S’il n’y a plus de procédure permettant le réajustement, ou bien si elles ne fonctionnent pas arrive une révolution. Selon les juristes, une révolution est le moyen radical plus ou moins brutal, mais toujours illégal de supprimer une légalité jugée archaïque, dépassée pour instaurer une nouvelle légalité, un nouveau système juridique et de nouvelles institutions, plus conformes aux attentes de la société. On sort