La Structure Narrative De Candide

sens opposés dans une même phrase | « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie » | Assonance n.f | Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots | reprise du son /an/ : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant » | Chiasme n.m | Structure en croix qui associe 2 termes deux à deux sans nécessairement qu’ils aient un rapport de sens | - Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés. | Comparaison n.f | Etablir un parallèle entre un comparé et un comparant à l’aide d’un mot-outil

- « le mythe explique » - « le mythe révèle »Le mythe raconte , explique et révèle un commencement, une création.-le mythe est un récit : la notion du mythe suppose une continuité narrative ,elle demande un cadre ,des personnages et une action .L’idée d’un dieu ou la foi en l’existence d’un héros ne suffissent pas à fonder un mythe. Pour l’anthropologue Claude Lévi-Strauss : « les mythes n’ont pas d’auteur »Mais ils sont bien transmis

ne se présentent pas comme des phrases ou des suites de phrases mais comme des textes. Or un texte est un mode d’organisation spécifique qu’il faut étudier comme tel en le rapportant aux conditions dans lesquelles il est produit. Considérer la structure d’un texte en le rapportant à ses conditions de production, c’est l’envisager comme un discours ». La problématique du discours ne figure pas dans le cours de linguistique de Ferdinand de Saussure qui limite, comme on le sait, le domaine de la

là encore, le contraste entre le futile "perruquiers, cuisiniers, tailleurs") et le sérieux "les lois". Jusqu'à la faiblesse lexicale de la phrase ""donc, nos lois sont bonnes". Le raisonnement ici est caricatural et rappelle certaines pages de Candide (chap 1) et les syllogismes absurdes de Pangloss. Cette phrase fait suite immédiate à un passage au ton de réquisitoire et presque imprécateur "Malheur...atroces". Une fois encore, effets de contraste. 2.2 La visée de Voltaire : persuader le lecteur

fondements de la société et certaines pratiques de leur époque, en particulier celles qui remettaient en cause la liberté, droit fondamental de l’être humain. Voltaire, dans son conte philosophique intitulé Candide, imagine le voyage initiatique d’un jeune Westphalien nommé précisément Candide. Celui-ci, après avoir été chassé du château de son protecteur où son maître Pangloss lui avait enseigné l’Optimisme, doctrine du philosophe allemand Leibniz (« Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes

ce qui échappe à l'acte de nomination littéraire ou à l'acte de représentation picturale (la littérature, la peinture, le cinéma ou la photographie ne peuvent représenter exactement le réel). Dans la littérature et le cinéma, c'est la continuité narrative et mimétique qui donne l'illusion de la vraisemblance réaliste. Le roman, écrit dans une langue que nous partageons, intègre une narration continue à une représentation cohérente du réel. Au cinéma, c'est le montage, grâce au principe de raccord

10 Le structuralo-marxisme considère le conte comme une superstructure et se propose de retrouver dans le passé les systèmes de production, ou plutôt les régimes sociaux correspondants, qui ont rendu sa production possible. Surtout, ce concept de structure l’oblige à penser une grammaire du récit et à postuler un rapport d’analogie entre phrase et discours ; il projette les catégories de la grammaire sur l’étendue du récit considéré comme une grande phrase. Les personnages deviennent alors des fonctions

dieu créateur qui peut s'incarner et faire des miracles) Les philosophes optent plutôt pour le déisme, une vision rationalisée du religieux. On admet qu'il y a un Dieu mais qui est seulement un être supérieur. Pour eux, la façon dont l'univers se structure et fonctionne s'assimile à une grande horloge d'une complexité infinie, dont ils admirent l'intelligence supérieure qui a réalisé cette création. Le dieu des déistes ne se préoccupe pas des humains. L'essentiel reste l'équilibre général. Les miracles

année) et nécessiterait un site à lui tout seul. 1e année littérature narrative 2e année littérature dramatique lyrique Roman de la Rose [littérature didactique] 2 LITTERATURE FRANÇAISE DU MOYEN AGE 1. littérature narrative 2. littérature dramatique 3. littérature lyrique 4. Roman de la Rose 5. littérature didactique [1e année] [2e année] [2e année] [2e année] [p.m.] 1e Année 1. littérature narrative 1.1. hagiographie 1.2. littérature chevaleresque 1.2.1. chansons

reins » (Baudelaire) « Puis s’affligent sur maint sein creux, mal abreuvés / Puis retournent à ces vendanges sexciproques / Et moi, moi Je m’en moque ! » - L’épanadiplose : (A-/-A) Répétition d’un élément identique au début d’un membre d’une structure et à la fin du membre suivant. Le jeu de reprise par épanadiplose entre le 1er et le dernier vers est fréquent dans les poèmes. Ex : rend tangible le cycle des saisons, en fermant le poème sur lui-même dans une même image suggestive. Elle permet