La Supériorité De L Homme

TRENTE ARPENTS, UN HOMME ET SON PÉCHÉ SUJET : A partir des extraits de Trente arpents et d’un homme et son péché, peut-on dire que les prêtres sont présentés de la même manière? La relation des deux prêtres avec leur communauté est différente. D’abord, le prêtre dans trente arpents ne semble pas proche des gens du village. Par exemple : « A son passage il s’agenouilla, l’hostie sainte nimbait d’un reflet de majesté.»(L9-10). En outre : «D’un claquement

est souverain, c'est-à-dire dans lequel le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple. Ce régime politique s'oppose à de nombreux autres comme par exemple la monarchie absolue, où le pouvoir est aux mains d'un seul homme ou encore la dictature, où le pouvoir par la force par un homme. L'origine de ce régime politique remonte à la Grèce Antique, les Grecs avaient d'ailleurs saisi cette notion de pouvoir donné au peuple, l'étymologie du terme démocratie venant du grec dêmos, qui signifie peuple et

mène alors un train de vie inscrit dans le luxe et les plaisirs. Toute cette somptuosité à surtout contribué à former une noblesse digne de la cour. Le jeu devient un moyen de répandre et de graver en chaque sujet, le code de conduite de l’honnête homme. On remarque en effet qu’un certains nombre de jeux, n’ont pour but que de policé cette société de cour, pour lui éviter toutes déviances contre les bonnes mœurs et la bienséance. Ainsi on trouve des jeux permettant à l’homme de cour d’acquérir un

groupe de personnes en raison de son appartenance à une nation, une ethnie, une race ou une religion. Le mot racisme est formé du radical « race » et du suffixe « isme » c'est-à-dire « race humaine » Le racisme serait donc un sentiment de supériorité d’une race sur une autre. Le terme racisme apparaît au début du XXème siècle et le mot est introduit dans le petit Larousse en 1930. Cependant, ceci ne signifie pas que le racisme date de cette époque là, seule sa prise de conscience chez

pardonnent plutôt de manquer à leurs devoirs » (l. 14) plutôt que la femme distinguée en quête d’élèvement social « que d’attirer les regards par des talents distinguées » ; on le voit aussi avec l’opposition entre la « médiocrité » (l. 15) et la « supériorité véritable » (l.16). L’état d’esprit de la femme doit être entièrement fidèle à ce portrait tout tracé, enfermant les femmes dans une forme de routine sauvegarde de cette médiocrité. La société gère les femmes grâce à une routine quotidienne; un

au réseau lexical du don. Ces présents semblent suffisants, comme nous le révèle l'adjectif "ampla" (v 944), voire abondants. Ce sentiments est traduit par les mots "plurima" (plus nombreuses) et "majora" (plus grosses) (v 942), comparatifs de supériorité contribuant à une emphase significative. Cette dernière est d'ailleurs inscrite dans la continuité avec l'adverbe "tum" (encore) qui traduit une volonté de produire toujours plus. Enfin, Lucrèce nous présente une nature jeune, issue de cette nouveauté

personnages du roman, en particulier les personnages masculins. En effet, la marquise de Merteuil est tout au long du roman, soit avec un homme, soit entrain de dicter un plan diabolique à un homme, de préférence le vicomte de Valmont, acte qu’elle ne peut réaliser elle-même de par sa situation sociale : elle est une femme et n’a donc pas le même poids social qu’un homme, même souvent s’il est d’un rang inferieur au sien. Par ailleurs dans la lettre 81 qui est la plus longue du roman et qui apporte une

maréchal ne m’a écrit dans ce style ; je suis persuadée que votre saint Paul était un homme très difficile à vivre. Était-il marié ? — Oui, madame. — Il fallait que sa femme fût une bien bonne créature : si j’avais été la femme d’un pareil homme, je lui aurais fait voir du pays. Soyez soumises à vos maris ! Encore s’il s’était contenté de dire: Soyez douces, complaisantes, attentives, économes, je dirais : voilà un homme qui sait vivre ; et pourquoi soumises, s’il vous plaît ? Quand j’épousai M. de

maréchal ne m’a écrit dans ce style ; je suis persuadée que votre saint Paul était un homme très difficile à vivre. Était-il marié ? – Oui, madame. – Il fallait que sa femme fût une bien bonne créature : si j’avais été la femme d’un pareil homme, je lui au­rais fait voir du pays. Soyez soumises à vos maris ! Encore s’il s’était contenté de dire : Soyez douces, com­plaisantes, attentives, économes, je dirais : Voilà un homme qui sait vivre ; et pourquoi soumises, s’il vous plaît ? Quand j’épousai M. de

le lui refuse sans quelque chose en échange. Qu’est-ce qu’un louis d’or pour Dom Juan ? Cela n’aura pas d’incidence sur sa fortune. Il désire en réalité ôté la dernière chose que possède le pauvre : sa foi. Ainsi il assure sa position d’entière supériorité face à lui et se conforte dans son orgueil de seigneur. Il est intéressant de noter que c’est ce pauvre qui finalement conduit Dom Juan à réaliser le seul acte qui lui conférera un peu de noblesse d’âme. Intellectuel => Dom Juan est supérieur