La Symbolique Des Fenêtres

« voir » (l.18, 18, 19, 24) « vue » (l.20). Insistance sur cet éclairage d’autant plus fort que Nemours est dans la nuit. Opposition lumière (l.14, 30 : « flambeau ») et l’obscurité dans laquelle se trouve le duc. •Rôle de la fenêtre ouvertes (l.15) qui sont des « portes-fenêtres » (l.18). Permet à Nemours de voir la princesse. C’est une frontière ouverte entre la lumière et l’obscurité. Nemours ne peut pas aller plus loin. Regard caché et interdit. Regard unilatéral : seul le duc voit > voyeurisme

principale : Gervaise. Elle est dans une attente angoissé , elle attend avec impatience jusqu’à 2 h du matin que Lantier rentre, d’où l’importance du champ lexical de la vue (guettait, avoir vu, regarder, yeux).Il y a une situation de dominance car à la fenêtre elle est en hauteur . Gervaise se sent abandonnée, elle et éclate en sanglots. Elle est seule et ne connaît personne car elle vient d’arriver à Paris. Voila pourquoi la description de la chambre. Zola veut que son histoire soit réel en prenant

souhaite transmettre ses souvenirs à son destinataire. Toutefois, demandons-nous si ce texte se laisse saisir comme purement purement réaliste. N’est-il pas plus fin ? Afin de révéler sa singularité, nous aborderons dans un premier temps la dimension symbolique de ce texte ; puis, dans un second temps, la présence manifeste de l’auteur et l’implication du lecteur dans la scène évoquée, qui est une scène de genre. [Remarque du professeur : On appelle « peinture de genre » ou « scène de genre » un type d’œuvre

Mes FF , mon travail consiste à présenter un essai symbolique sur le sujet suivant : « Le Symbole comme signe ». Ma base de travail a été notre Rituel qui un recueil de symboles et de groupes symboles. Je vous présenterai ainsi cet essai en suivant le plan suivant : ⇨ I – La fonction des signes et symboles, ⇨ II – Les symboles comme signe dans notre Rituel, ⇨ III – Mon interprétation, ⇨ IV – Mes conclusions. I – La fonction des signes et symboles : Le signe nous montre une direction mais

Paysage urbain : à l’horizon c’est la ville (pour voir l’horizon il faut une vue en hauteur ou bien être dans l’alignement d’un axe). * Axe puissant de la ville : défilé politique. * Axe est-ouest (parcours du soleil / axe du monde / axe symbolique). Les JARDINS Définition : * Contraire du paysage, c’est un environnement métrisé et organisé par l’homme tel une organisation urbaine (c’est culturel) * Les premiers jardins sont des jardins de substitution (potager). * 16ème

MYTHOLOGIE DU LOGEMENT Cours 1 : 29/10/2014 Nomades/sédentaires Villes/campagnes Dominants riches/dominés pauvres Cours 2 : 06/10/2014 En architecture, il existe une hiérarchie. Importance des symboliques et des mythes de la maison classique pour le grand public, à la différence des architectes qui cherchent à moderniser la construction/maison. Maison classique : héritage sédentaire. Vers l’an 3000 : habitat précaire et marquage du territoire : pierre levé et colonne (passage du nomade au sédentaire)

Celles-ci donnent une impression de profondeur Les fruits : Sur un coffre derrière Arnolfini sont posés des oranges, ils représentent l'innocence d'avant le péché originel. Sur le coté gauche du tableau, à travers la fenêtre on peut voir un oranger chargé de fruits. Ceci renforce la symbolique du péché. Le chandelier : C’est un lustre de cuivre finement travaillé. Il ne porte qu’ une seule bougie allumée sur la gauche, symbole d'amour nuptial. Il évoque également l'oeil du Christ qui témoigne la présence

l’abstraction. Ainsi n’est-il pas insensé de parler de fétichisme. A la lumière de cela, il est aisé de comprendre la symbolique des quipos : «il me reste si peu de quipos, mon cher Aza qu’à peine j’ose en faire usage. Quand je veux les nouer, la crainte de les voir finir m’arrête, comme si en les épargnant je pouvais les multiplier» (lettre XVI) : les quipos sont symboliques de la consumation de l’amour de Zilia. Lettre XVIII : « le soleil a fait la moitié de son cours depuis la dernière fois

les conditions d'incarcération, l'écoulement du temps et les occupations du poète. D'abord, Les lieux Décrits sont comme si on y entrait, toujours mis en relief en fin de vers, vocabulaire de la « prison » (v. 2): « porte », « cachot », « fenêtre », « muraille », « toit » (2 fois), « mur nu », « cachots ». Mouvement d’entrée, d’enfermement, puis d’élargissement, puis encore de ré-enfermement.Ce qui a pour but de signifier la situation du poète : entré en prison, et enfermement. L’enfermement

scène du balcon  1. La scène de Shakespeare Scène la plus emblématique : -le nom de la scène du balcon est une première interprétation du spectateur : à aucun moment, l‘auteur mentionne qu’il s’agit d’un balcon mais ce dernier fait allusion à une fenêtre. L’imaginaire collectif a transformé cet élément scénique en balcon -première fois depuis leur rencontre que Roméo et Juliette se parlent non masqués et en connaissant chacun l’identité de l’autre. Les voiles sont levés et les personnages se mettent