La Symbolique Du Miroir

lieux et décors évoqués dans ces récits la même représentation que Perrault. Il s’agira donc d’observer et d’interpréter les différences entre les deux hommes en s’interrogeant successivement à propos des lieux sur la fonction narrative, sociale et symbolique qu’ils ont dans les deux œuvres. I- Lieux et récit : de l’art du conteur à celui de l’illustrateur a. Les lieux dans le schéma du conte Essentiel à tout récit, le cadre spatial revêt une importance toute particulière dans l’économie du

doubles se confondent. On entrevoit les aspirations contradictoires de l’homme ainsi que la lutte entre le spleen et l’idéal. L’immensité du temps et de l’espace renvoient à un temps infini et à un espace intérieur, mental et poétique. L’eau est le miroir de l’homme, le reflet de son cœur, de son esprit et de son âme. Elle permet par le biais de la poésie de rendre compte de l’ambiguïté des sentiments humains et de leur violence. Texte en relation avec le célèbre poème de Pierre de marbeuf « Et l'amour

l’argent (la bourse), la grosse perle, les cartes diraient la vie dissolue; le valet de trèfle sur la carte de cœur dirait le jeu amoureux; le miroir montre la fragilité des apparences. Pain et vin: symbole de l'eucharistie. Ce tableau est une "vanité", genre très pratiqué à l'époque baroque - particulièrement en Hollande - et à haute valeur symbolique. Son titre et sa conception sont à mettre en rapport avec cette citation de l'Ecclésiaste: vanitas vanitatum, et omnia vanitas: vanité tt n'est

morale] ❖ L'extrait commence par un geste symbolique celui de jeter son miroir, Fantine prouve qu'elle a abandonné toute prétention à la beauté, à la féminité : accablée par les malheurs et l'indigence, elle se laisse aller: « elle perdit la coquetterie », et « elle sortait avec des bonnets sales ». Cette négligence et cette indifférence à l'image qu'elle offre aux autres et à elle-même sont une des étapes de sa déchéance morale. Un abandon du miroir signifie qu'elle renonce au retour sur soi-même

métaphores, les références culturelles, les références imagées cachées pullulent. En d’autres termes, Zola fait du naturalisme symbolique, et c’est surtout cela, finalement, que j’aime chez lui. Ainsi La Fortune des Rougon s’ouvre sur la description d’un cimetière, Saint-Mittre, qui fut retourné pour être aménagé. Par cette description, Zola ancre son roman dans une symbolique mortuaire qui teinte de noir la suite. Ce roman est donc, incontestablement emprunt de symboles : la jeune Miette, incarnation

Lewis carrol Gaucherie, à l’origine de cette obsession du mouvement (thème dominant) (exemple : miroir = temps et espace inversé) (on écrit à l’envers, on souffre d’abord et on se blesse ensuite) . -Dans ce monde bizarre, il faut s’éloigner du but pour l’atteindre) -Son bégayement est à l’origine des mots-valise, des mots à double sens -Le non-sens Intérêt pour les petites filles  Alice sous le signe de la féérie mais il n’en conserve que l’apparence, les persos ne semblent pas accepter la

extrait est le dénouement. Il tourne sur lui-même, hagard, va vers le miroir. CALIGULA 5 […] Des bruits d’armes ! C’est l’innocence qui prépare son triomphe. Que ne suis-je à leur place ! J’ai peur. Quel dégoût, après avoir méprisé les autres, de se sentir la même lâcheté dans l’âme. Mais cela ne fait rien. La peur non plus ne dure pas. Je vais retrouver ce grand vide où le cœur s’apaise. Il recule un peu, revient vers le miroir. Il semble plus calme. Il recommence à parler, mais d’une voix plus

occidentale. 2 modèles : - Société pré moderne : modèle unisexe jusqu’au 17ème siècle. Ordre cosmologique (nature séparée de la culture). La distinction entre le masculin et le féminin renvoie à une nécessité d’équilibre cosmologique, à un ordre symbolique. Masculin et féminin sont des pôles opposés d’un même sexe. - A la fin du 17ème siècle, 2ème modèle : modèle moderne et régime bisexué. Sexe biologique fondateur et non le genre. Modèle de dualité entre les sexes. Rousseau : « L’homme crée

  quatre   reprises,   dans   ses   toiles   la   «  Madeleine   à   la   veilleuse  »,   la   «   Madeleine   pénitente   la   flamme   filante  »,   la   «  Madeleine   au   miroir  »   et   la   «  Madeleine   aux   deux   flammes  (Wrightsman)  ».   C'est   sur   cette   dernière   œuvre,   exposée   aujourd'hui   au   Metropolitan   Museum   of   Art   de

du valet est magnifié, il entre dans le domaine de l’extraordinaire : c’est un esprit. Il est aussi le vassal du maître. Caliban est le valet esclave, soumis et puni. Ariel est le valet qui trouve une satisfaction. Prospéro, lui, a un rôle très symbolique) Beaumarchais : -Le barbier de Séville -Le mariage de Figaro -La mère coupable Figaro : valet le plus politisé. C’est un personnage en conflit mesuré avec son maître : il y a un rapport de force entre eux. Le valet ne cède pas à ce rapport