La Symbolique Du Miroir

début du roman, George s'apprête à dîner chez les Forestier. En montant l'escalier, face à un miroir il ne se reconnaît pas. C'est l'occasion pour le narrateur de décrire les sentiments du personnage qui est en s’observant prend confiance en lui. Nous pourrons étudier l'intérêt de ce passage en expliquant qu'il est révélateur du caractère du personnage, puis en voyant qu'il s'agit d'un épisode symbolique. Le premier aspect se porte sur le caractère du personnage qui est loin d'être gentil : ligne

L25 « Un élan de joie le fit tressaillir. » * L32 « Il s’était pris pour un homme du monde, qu’il avait trouvé fort bien, fort chic » Il prend plaisir à se détailler et à s’observer dans le miroir. * L35 « L’ensemble était satisfaisant » Enfin satisfait de son allure, il s’arrête à chaque miroir qu’il croise. (= narcisse, imbu de lui-même et de son propre reflet ?) « Il ralentit sa marche pour se regarder passer » L47, «  Sa tournure lui parut vraiment élégante. Il marchait bien. Et une

belle reine régnait sur un royaume et chaque jour, elle demandait à son miroir magique qui était la plus belle, il lui répondait que c’était elle. Mais un matin, le miroir lui dit que Blanche Neige était la plus belle. Folle de jalousie, elle ordonna à un des ses sujets d’emmener Blanche Neige dans la forêt et la tuer… Analyse possible: La vilaine reine est le mal, le diable qui décide de tuer tout ce qui est bon. Le miroir est le bien, voire Dieu qui fait d’elle un ange déchu. Blanche-Neige est

assis à la hauteur de l'artiste. On voit l’artiste de dos, assis sur un tabouret, se penchant pour se regarder dans un miroir posé sur une chaise (miroir où nous voyons son reflet presque comme il doit le voir lui-même), tandis que sa main reste levée avec le pinceau sur la toile qui est devant lui et où commence à apparaître son autoportrait. Le peintre et son image dans le miroir se correspondent parfaitement : même taille (le peintre de dos en entier, l’image de face et seulement en plan rapproché)

Le miroir. Voilà peut-être un sujet qui n’est peut-être pas le fruit du hasard, mais à y réfléchir, une suite aux premiers reflets que je pense vous avoir donné, avec le sourire… Au travers de cette planche, je vais vous présenter différents aspects du miroir, de son origine en passant par son symbolisme pour finir sur une vision plus personnelle. J’avoue qu’en travaillant sur cette planche beaucoup de nombreuses questions me sont venues, certaines sont encore sans réponses, mais je peux vous dire

Le narcissisme est tel que l’artiste considère son corps comme objet de façonnement puisqu’il se trouve être son propre chef d'œuvre, son objet fétiche qui mériterait d’être affiché partout ; son corps qu’il aimerait voir affiché « comme miroir du monde »[8]. Ce corps en mille morceaux qu’il est nécessaire d’exposer en public peut faire penser à d’autres artistes comme Antonin Artaud, Francis Bacon ou encore Samuel Beckett, Henri Michaux et Georges Bataille. Pour

qu’il n’était en rentrant. » Cette maxime bien évidemment m’interpelle sur mon engagement et itinéraire maçonnique depuis le cabinet de réflexion jusqu’aux trois coups frappés sur la pierre brut en passant par la découverte de mon reflet dans le miroir jusqu’à la contemplation de l’étoile flamboyante. Ce cheminement que fait tout maçon a pour but la réalisation de soi par la maitrise de son égo. A chaque voyage mystérieux il pourra s’interroger sur l’apparence du monde, par la découverte des

Le récipiendaire y rédige son testament philosophique, prélude à sa mort symbolique.En lisant cet article, vous découvrirez :· A quoi ressemble un Cabinet de réflexion· Son rôle dans l’initiation maçonnique· Quels sont les différents éléments symboliques qui le composent Au terme de cette lecture, cet endroit mythique vous semblera beaucoup moins mystérieux. Vous pourrez aborder l’ épreuve du Cabinet de Réflexion avec davantage de sérénité. Poussons la

le roi Béranger et Alexandre sont vieux et malades et donc condamnés à disparaître. Face à cette échéance, ils traduisent leur désespoir en exprimant leurs émotions : la peur pour Caligula et le roi : « j'ai peur », confesse le premier devant le miroir qui permet cette introspection, « au secours » s'écrie le second à la fenêtre en appelant son peuple à l'aide, puis « j'ai peur ». Mais tandis que Caligula ressent aussitôt du « dégoût » devant cette « lâcheté » et se ressaisit en défiant les patriciens

d’abord Caligula fait face à un miroir, il se parle à lui même : « Il tourne sur lui-même, hagard, va vers le miroir. » Cette situation est d'abord révélatrice de sa solitude puisqu'il a fait le vide autour de lui et que, faute d'avoir quelqu'un vers qui aller, à qui parler, il se tourne vers son miroir. Les didascalies, comme ses paroles, le soulignent bien : « il recule un peu, revient vers le miroir » de même que les jeux de scène qu'il effectue face au miroir comme s'il était face à quelqu'un