La Sémiotique Littéraire

- qui nous permet de parler de la littérature de cette époque Point de départ LE FOND ET LA FORME, C’EST LA MÊME CHOSE Il n’y a pas d’idée préalable qui est paraphrasée/ embellie. Le fond et la forme constituent ensemble une œuvre littéraire. Le contenu naît avec la forme : Laclos a commencé en écrivant des lettres et puis cette structure épistolaire est devenue une partie de l’intrigue. Liaisons Dangereuses est un roman qui exploite la lettre, l’épistolarité, les ressources

Montaigne, P., Champion, 2004 [2e édit., 2007]. VI Ouvrages généraux sur Les Essais. A Les « précis ». Compagnon (Antoine), Chat en poche. M. et l’allégorie, P., Seuil, 1993. Demonet (Marie-Luce), M. de M. - Les Essais, P., PUF, coll. « Etudes littéraires », 1985. Mathieu-Castellani (Gisèle), Montaigne, l’écriture de l’essai, P., PUF., 1988. Pouilloux (Jean-Yves), Lire les Essais, P., Maspéro, 1969. Tournon (André), Montaigne en toutes lettres, P., Bordas 1989. B Les « grands classiques ».

l’ouvrage antique Les Caractères de Théophraste, traduits du grec, avec les Caractères ou les Mœurs de ce siècle (début du IIIa). Il faut ajouter également que tout le XVIIe siècle a la passion des mœurs. Comédie, roman, poésie, tous les genres littéraires évoluent dans le sens d’une attention plus intensément accordée aux mœurs quotidiennes. Le cas de la comédie est certes plus connu ; l’exemple de Corneille dans les années 1630 peut ainsi être cité, ou celui de Molière vers 1660-1670. On peut donc

Normal Superior da Universidade de Coimbra (1911-1930). Lisboa: Instituto de Inovaçao Educacional. Friedrich, J. (sous presse-a). La linguistique au cœur d’une science de l’homme: le numéro spécial du Journal de Psychologie en 1933 sur la langue. Sémiotiques. Friedrich, J. (sous presse-b). L’unité de la psychologie: les années 20. Bulletin de Psychologie. Gaillard, J.-M. (1999, janvier). Le rêve éducatif du Front populaire. Le Monde de l’Education, de la Culture et de la Formation, 266, 30-31. Giordan

ses composantes de leur signification attendue qu’il parvient à les exposer « nues » et à révéler la vérité de ses héros lorsqu’ils les confrontent. L’attribution d’un nom à un objet d’observation le jette immédiatement dans les confins sémiotiques du signifiant et du signifié. Cela conditionne le mécanisme de perception en le rendant catégorique, où les objets observés sont classés en groupes. Ce classement forme leur identité, mais, en revanche, en voile l’ipséité (pour utiliser le système

personnalité INTRODUCTION Historiquement, la question de compréhension et de description de la personnalité a toujours préoccupé les êtres humains, et plus particulièrement les psychologues. Cette préoccupation peut se lire dans les travaux des littéraires tels Molière ou Shakespeare qui établissaient des profils très caractérisés de personnalité à travers des adjectifs comme l’avare ou le jaloux. Cette préoccupation peut aussi se lire dans les travaux des psychanalystes ou psychiatres qui utilisaient

– Sorbonne Nouvelle). En premier lieu, il paraît important de définir précisément le concept de séduction : Dans la langue courante contemporaine, le terme possède une axiologie majoritairement positive (1) : Le Sens propre distingue un sens « littéraire ou plaisant » : « En Parlant d’un homme, amener (une femme) à lui accorder ses faveurs hors mariage » et une extension de sens moderne précisément « sans connotations défavorables » : « Plaire à (qqn) et en obtenir amour ou faveurs ». Le sens figuré

.................................... 9 Eléments de biographie et d'Histoire........................................................ 11 Le substrat mythique et traditionnel ......................................................... 14 Le contexte littéraire................................................................................. 19 Les structures narratives 29 « Plan » du roman .................................................................................... 29 Lectures structurales.

.................................... 9 Eléments de biographie et d'Histoire........................................................ 11 Le substrat mythique et traditionnel ......................................................... 14 Le contexte littéraire................................................................................. 19 Les structures narratives 29 « Plan » du roman .................................................................................... 29 Lectures structurales..

n'est pas médiologique, c'est-à-dire qu'elle n'est axée ni sur les dispositifs de communication ni sur l'intermédialité que le terme d'entre-images semble appeler mais elle se construit sur des appareils et à partir des oeuvres, en dehors de toute sémiotique. Certes Raymond Bellour, dans un de ses essais (3), se penche longuement sur le travail de Christian Metz et sur la distinction que celui-ci opère entre le « perçu et le nommé » qui forme un parallèle évident avec le sous-titre de L'entre-images