La Tendance Selon Les Differents Philosophes

souligne Bartolomé de Las Casas dans l'Histoire des Indes. L’idée de génocide est clairement dénoncée par Montaigne dans les Essais. La supériorité que chaque peuple a tendance à s’attribuer sur les autres peut conduire à des actes de cruauté gratuite. Montaigne fait la critique d’un préjugé qui consiste à appeler barbare toute coutume différente des nôtres. « Or, je trouve qu’il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu’on m’en a rapporté, sinon que chacun appelle barbarie ce qui n’est

d’Amérique, au philosophe Sépulvéda qui lui au contraire les dénigrent. Dans un premier temps nous allons étudiez les arguments des deux adversaires, puis nous observerons les différentes stratégies argumentatives utilisées par les deux orateurs et dans un dernier temps, nous estimerons pour qui le cardinal qui préside le débat penche et qui semble l’emporter à la fin du débat. I. Les arguments des deux orateurs 1. Les thèses a) La thèse de Sépulvéda * Selon lui, les Indiens

réalité peut confirmer ou infirmer une théorie. Dans quelle mesure notre connaissance des faits économiques nous permet de tester la validité de nos théories ? Karl POPPER pensait qu’on ne peut jamais prouver la vérité d’une théorie par les faits. Selon lui, une vraie théorie est une forme de prédiction – les faits l’infirmeront ou pas, mais pour l’instant elle est valable. Le problème de l’interprétation de faits : souvent, on utilise les faits pour appuyer les théories. Or, les faits ne donnent

s’organiser naturellement en sociétés, en cité. Du début du texte, c'est-à-dire de « Il est manifeste », jusqu'à : « un tel homme est du même coup naturellement passionné de guerre, étant comme un pion isolé dans un jeu », Aristote énonce la thèse selon laquelle l’homme est un animal qui ne peut être sociable. De « C’est pourquoi il est évident que l’homme est un animal politique plus que n’importe quelle abeille » à « le langage existe en vue de manifester l’avantageux et le nuisible, et par suite

et de Montesquieu, Charles-Louis de Secondat, connu sous le nom de Montesquieu, est né le 18 janvier 1989 à la Brède en Guyenne, et est mort le 10 février 1755 à Paris. Il est moraliste, penseur politique mais aussi précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des lumières. Il étudie le droit et devient avocat puis conseiller au parlement de Bordeaux. Nommé président du parlement de Guyenne en 1716, il se consacre à l'écriture et effectue de nombreux voyages en Europe particulièrement

mettre en chemin vers un philosophe, à aborder une philosophie, il est bon de nous demander ce que nous y cherchons. Ce que nous en attendons. La chose semble absurde: ce n'est pas le lecteur qui apporte ses attentes, mais bien le philosophe qui offre un discours inédit, et la seule chose qu'a à apporter le lecteur, c'est sa disponibilité, sa capacité à recevoir ce que précisément il n'attendait pas, ne pouvait ni découvrir seul ni même s'y attendre: la parole du philosophe quel qu'il soit est originale

« Lumières », vient du mouvement culturel et philosophique qui a dominé le XVIIIe siècle. Il a été attribué aux penseurs du XVIIIe siècle, en particulier aux philosophes (philosophe des Lumières) de ce siècle. On peut prendre comme exemple Voltaire ou encore Rousseau..etc Grands auteurs du mouvement des Lumières : Diderot, Denis (1713-1784) : philosophe et écrivain français, le maître d’œuvre de l’Encyclopédie et l’un des principaux représentants de l’esprit des Lumières. Diderot est un auteur aux talents

L'origine de la division du travail selon Smith. Adam Smith, née en 1723 et mort en 1790 est philosophe et économiste écossais. Sa profession de précepteur lui permet de voyager dans toute l'Europe notamment en France. Il est le fondateur de l'école classique anglaise et du courant libéral. Cet homme est considéré comme le père de la pensée économiste moderne, grâce à son ouvrage : « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. » La division du travail est un mode d'organisation

penseurs se sont posé cette question, essayant de comprendre l’essors humain. Certaines écoles de pensée ont soutenu que l’humain est naturellement bon, tandis que d’autres ont avancé l’idée que l’homme est fondamentalement mauvais. D’autres philosophes modernes ont également mis en avant des théories plus nuancées, affirmant que l’humain a à la fois des traits positifs et négatifs, et la question de savoir s’il est bon ou mauvais est davantage une question de perspective et de contexte. La

gil-conflit Lundi 16 mai 2011 De la dialectique - Héraclite               Chez tous les philosophes grecs nommés "présocratiques" (en dépit parfois du bon sens chronologique...), le thème de la contradiction et des contraires constitue une sorte de fil rouge qui permet de situer "philosophiquement" 'mais aussi moralement et même politiquement) chacun d'entre eux (leur philosophie générale...). Ceci pour autant que leurs écrits, souvent cités dans le texte de détracteurs ou de "disciples", soient